Mirvaux
Mirvaux | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Camille Corsyn 2020-2026 |
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Code postal | 80260 | ||||
Code commune | 80550 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mirvalois | ||||
Population municipale |
123 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 00′ 12″ nord, 2° 23′ 45″ est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 132 m |
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Superficie | 2,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Corbie | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://mirvaux.fr | ||||
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Mirvaux est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village est situé à une quinzaine de kilomètres au nord-est d'Amiens, il est accessible par la route départementale 11 (RD 11).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Rubempré | ||||
Pierregot | N | Beaucourt-sur-l'Hallue | ||
O Mirvaux E | ||||
S | ||||
Molliens-au-Bois | Montigny-sur-l'Hallue |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 771 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Mirvaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[8]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %)[11]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par la ligne d'autocars no 23 (Doullens - Beauquesne - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[12].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le lieu est désigné Mirowaut dans un texte de 1184[13], puis sous les formes Mirvalt (1203) ; Mirouaut (1301) ; Mirovaut (1301) ; Mirrevault (1390) ; Mirevvaut (1390) ; Mirvaulx (1547) ; Miruault (1579) ; Mirvault (1610) ; Mirvastu (1621) ; Mirwa (1657) ; Mirevault (1728) ; Mireveault (1757) ; Mirvant (1753) ; Millegaut (1761) ; Mireveaut (1764) ; Mirvaux (1764) ; Mirevaux (1826-27)[14].
De l'ancien occitan mirar « regarder », avec le terme germanique wald « bois »[15], désignait un « domaine situé prés d'un bois ».
Histoire
[modifier | modifier le code]Mirvaux a été le siège d'une seigneurie appartenant à l'évêque d'Amiens, et comprenant un manoir avec moulin et four banaux.
Des fabricants de grès exercent dans le village au Moyen Âge et ont produit matériaux pour le soubassement de la cathédrale d'Amiens au XIIIe siècle.
Le village subit des destructions de guerre au XVIIe siècle : incendie en 1636, lors de la guerre de Trente Ans, pillage en 1650, pendant la Fronde. Les muches (souterrains-refuges), redécouverts à la fin du XIXe siècle par le curé de Mirvaux, témoignent de cette histoire tumultueuse.
Un ermitage mentionné au XVIIIe siècle, a disparu[13].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Villers-Bocage[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Corbie.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune était membre de la communauté de communes Bocage Hallue créée le .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, les Bernavillois, du Doullennais et de Bocage Hallue fusionnent pour former le la communauté de communes du Territoire Nord Picardie.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 123 habitants[Note 3], en évolution de −18 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église placée sous le vocable de saint Martin, se dresse dans la partie sud du village, au pied d'une colline dont le bas était jadis occupé par le cimetière ainsi qu'en témoignent les bases de croix funéraires.
- Les arcades en arc brisé, aujourd'hui murées, qui forment la façade septentrionale de la nef sont la partie la plus ancienne de l'église (XVIe siècle)[24]. Elles témoignent de la présence d'un ancien collatéral.
- Le chœur et le portail occidental paraissent avoir été reconstruits au XVIIIe siècle (travaux d'agrandissement signalés en 1733). Le mur pignon à l'ouest fait un large emploi du grès (remploi de matériaux du collatéral détruit ?).
- La sacristie en brique qui flanque l'abside du côté sud est une adjonction réalisée en 1888. Elle a remplacé un bâtiment que le desservant avait fait construire à ses frais. Auparavant, il n'existait pas de sacristie : les ornements du culte étaient conservés dans les maisons voisines[25],[26].
- L'église comprend notamment des fonts baptismaux du XIIe siècle[27],[28], un autel et son tabernacle en bois sculpté peint du XVIIIe siècle[29] ainsi qu'une chaire en chêne taillé et gravé du XVIIIe ou du XIXe siècle[30] et un grand Christ en Croix en bois taillé, peint, polychrome du XIXe siècle[31].
- On peut noter de nombreux autres objets cultuels et décorations, dont une Vierge à l'Enfant au livre, en pierre polychrome du XVe siècle[32] et deux Vierge à l'enfant, l'une en bois peint polychrome du XIXe siècle[33] et l'autre en craie peinte polychrome du XVe siècle[34], une statue en bois polychrome du XIXe siècle de saint Nicolas de Bari[35] eu une de sainte Catherine d'Alexandrie[36] faisant face à celle de saint-Martin, en bois du XVIIIe siècle[37], un ciboire en argent ciselé de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle[38], et un tableau d'autel peint par l'abbé Roger, curé de Frettemolle au XIXe siècle, représentant la Charité de saint Martin[39].
- La mairie-école, construite sur les plans de l'architecte Charles Billoré par l'entrepreneur Gente, de Vignacourt, a été réceptionnée en 1884. Elle a été réalisée en briques et pierre blanche, avec un corps central de trois travées souligné par la présence d'une horloge, d'un épi de faîtage, et d'un étage carré. Deux ailes en rez-de-chaussée présentant un toit à longs pans, avec des pignons découverts en pas de moineau encadrent le corps central. Il s'agit d'un équipement municipal soigné représentatif des mairies-écoles élevées dans les années 1880 dans les petites communes rurales[40].
- Le cimetière, transféré à son emplacement actuel en 1860, est dominé par la chapelle funéraire édifiée par le chanoine Valembert, et par une croix en ferronnerie érigée dans la partie orientale, sur une base en grès[41].
- Mirvaux se signale notamment par la prédominance des constructions en torchis datant du XIXe siècle. On peut notamment remarquer :
- ancienne ferme, 10 rue de la Chaussée et 2 rue de Bruges, comprenant deux logis traditionnels édifiés en torchis sur solin de brique, du XIXe siècle, et désormais convertis en dépendances[42] ;
- ancienne ferme, 2 rue de l'Église, comprenant deux logis : l'un, en torchis, date du XIXe siècle et occupe la position en fond de cour traditionnelle, et l'autre a été édifié en brique le long de la rue de l'Église, en 1913[43] ;
- ancien café et ferme, 9 rue de Festonval, en torchis et en briques, du XIXe siècle[44].
-
L'église Saint-Martin.
-
Vue du clocher.
-
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Annexes
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Mirvaux sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Mirvaux (80550) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Mirvaux » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mirvaux et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mirvaux ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Présentation de la commune de Mirvaux », notice no IA80000267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 57 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Paul Lebel, Appellatifs forestiers dans le nord de la France, t. 46, coll. « Revue des Études Anciennes », , p. 140.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Mirvaux », sur francegenweb.org (consulté le ).
- « Avis de décès », Courrier picard, , p. 20.
- Benoît Delespierre, « Le maire de Mirvaux démissionne avec fracas ! : « Lassée des insultes » et après un budget refusé par le conseil, Jocelyne Souart claque la porte de la mairie », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Lassée des insultes et menaces régulièrement subies de la part de certains élus, j'ai démissionné la semaine dernière de mes fonctions électives, laissant une situation financière dont je suis fière ». Elle n'y va pas par quatre chemins, Jocelyne Souart, maire depuis 2001 de Mirvaux, un village de 150 âmes situé à une vingtaine de kilomètres d'Amiens ».
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Mirvaux, 8 juin 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Itinéraires du Patrimoine no 181. Direction régionale des Affaires culturelles de Picardie, Amiens
- « L'église paroissiale Saint-Martin », notice no IA80000178, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les fonts baptismaux », notice no PM80000906, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Fonts baptismaux (cuve baptismale à infusion) », notice no IM80000253, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Autel, tabernacle et gradin d'autel (maître-autel) », notice no IM80000261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Chaire à prêcher », notice no IM80000266, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Croix : Christ en croix », notice no IM80000262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue : Vierge à l'Enfant au livre », notice no PM80000907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statuette : Vierge à l'Enfant, 2 », notice no IM80000260, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (petite nature) : Vierge à l'Enfant, 1 », notice no IM80000259, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (petite nature) : Saint Nicolas de Bari », notice no IM80000256, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Sainte Catherine d'Alexandrie », notice no IM80000263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue (petite nature) : Saint Martin de Tours », notice no IM80000257, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Ciboire », notice no IM80000268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Tableau : La Charité de saint Martin », notice no IM80000258, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La mairie-école », notice no IA80000219, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le cimetière », notice no IA80000222, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA80000220, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no référence, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Café et ferme », notice no IA80000189, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.