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La Saussaye

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La Saussaye
La Saussaye
La porte des Chanoines.
Blason de La Saussaye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Didier Guérinot (d)
2020-2026
Code postal 27370
Code commune 27616
Démographie
Gentilé Saulcéens
Population
municipale
1 887 hab. (2021 en évolution de +1,94 % par rapport à 2015)
Densité 535 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 30″ nord, 0° 58′ 55″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 149 m
Superficie 3,53 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine La Saussaye
(ville-centre)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grand Bourgtheroulde
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Saussaye
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La Saussaye
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La Saussaye

La Saussaye est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Les habitants sont appelés Saulcéens.

Géographie

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Localisation

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La Saussaye est située à 3,7 km d'Elbeuf et à 21,5 km de Rouen.

Hydrographie

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La commune est traversée par l'Oison[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Louviers à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 719,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , La Saussaye est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Saussaye, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (44,8 %), prairies (25,4 %), forêts (18,7 %), terres arables (11,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Dans les actes anciens, le hameau de la Saussaye est mentionné sous plusieurs appellations : Salecia et Salceia en 1307 (la Roque), La Sauchoie en 1310 (cartulaire de Bonport), Saulceye et Salceya en 1311 (lettres patentes de Philippe le Bel), La Sausaye en 1319 (charte de Guill. d’Harcourt), Saucheia en 1327 (cart. de Bonport), Saint Loys de la Sauchoie en 1345 (ch. de Blanche d’Avaugour), La Sauchie au XIVe siècle (vitraux de la cathédrale d’Évreux), La Saussoye au XVe siècle (manuscrit de Saint-Victor ; rouleaux des morts, publiés par la Société de l’histoire de France), La Chaussaye au XVIe siècle (comptes de l’archevêché de Rouen), La Saulsaie en 1598 (déclaration du chapitre), La Saussay en 1782 (Dictionnaire des postes)[16].

La saussaie, du latin salis, suffixé au féminin, est un nom plus que fréquent en toponymie, les saussaies sont des lieux humides, où prospèrent les saules[17].

Origine du nom et du hameau

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Dans les actes anciens, le hameau de la Saussaye est mentionné sous plusieurs appellations : la Saucée, la Saulcée, la Chaussaye, parfois la Saucoye… Il est probable que le village doive son nom à la présence de nombreux saules qui ont toujours poussé spontanément dans ses terres humides et argileuses.

Quant à l'origine du hameau lui-même, l'examen d'objets et de vestiges divers remontants à l'époque gauloise permet de penser que les premiers habitants seraient venus d'Elbeuf-sur-Seine[18].

À la hauteur du château d'eau existait un petit village appelé Saint-Nicolas du Bosc Asselin, de part et d'autre de la rue Frédéric-Raux, mais surtout au sud. Vers le nord, et dès l'époque celte, on trouvait un groupement de foyers appelé depuis toujours le Canoel ou Canouel (Cann désignant un lieu humide garni de roseaux et EL signifiant l'eau en celtique). Au sud de Saint-Nicolas du Bosc Asselin, un troisième hameau s'était établi : Saint-Martin la Corneille. Dans les anciens titres, cette paroisse était appelée la « Carnaye » et même la « Carnage ». On y découvrit de nombreux tombeaux et débris humains, ce qui valut au village voisin le nom de Saint-Pierre-des-Cercueils. Vers l'est, en partant de Saint-Martin la Corneille, on trouve un autre groupe de maisons, de constitution récente : le hameau de Villeneuve. On peut y voir, dans un vallon boisé, la plus jolie mare de La Saussaye : la « Mare au Vivier ». À l'est encore, depuis la mare et depuis le labour des « Vingt Acres », s'étend la forêt d'Elbeuf-sur-Seine. Lors de l'apparition de la province appelée Normandie, elle s'appelait la forêt des Monts Le Comte et faisait partie du domaine ducal que Rollon se réserva à la suite de la conquête de la Neustrie. La Neustrie occidentale prit le nom de Normandie lorsque fut ratifié le traité de Saint-Clair-sur-Epte signé par Rollon, 1er duc normand et Charles III le Simple, roi de France en 911.

En 1808, la commune est absorbée par celle voisine de Saint-Martin-la-Corneille[19].
Le , le chef-lieu de la commune est transféré à La Saussaye et la nouvelle commune absorbe celle de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin[19] ; cette dernière porta provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de Bosc-Asselin[20].

Anciennes voies d'accès

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À l'époque, on montait d'Elbeuf-sur-Seine vers la forêt et vers La Saussaye par la « cavée » (chemin) du tapis vert. Aujourd'hui, la rue du Tapis-Vert débouche encore sur la « route du Bas » ou « petite côte » pour la même destination. Une autre voie montait d'Elbeuf-sur-Seine vers Le Neubourg. Il s'agit d'une voie ancienne datant des empereurs romains Domitien et Vespasien d'après des monnaies trouvées sur son tracé en 1832. Elle quittait Elbeuf-sur-Seine par la rue des Échelettes (actuel quartier de l'hôpital), grimpait dans la forêt et gagnait tout droit Saint-Pierre-des-Cercueils (appelé depuis 1924, Saint-Pierre-des-Fleurs). On peut encore la suivre au milieu de la plaine, en partant du château d'eau, tout droit, vers Saint-Pierre.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1941 1970
(décès)
Ernest Schneider (d)
(1897-1970)
Rad. Professeur de culture physique
Conseiller général d'Amfreville-la-Campagne (1962 → 1970)
1970 1990
(décès)
Jean Schneider (d) Ind. puis RI
puis RPR
Ancien kinésithérapeute à Elbeuf
Conseiller général d'Amfreville-la-Campagne (1970 → 1990)
1er vice-président du conseil général
Suppléant du député Philippe Pontet
Fils du précédent
1990 juin 1995 Pierre Dolpierre    
juin 1995 mars 2008 Jean-Marie Dransart    
mars 2008 En cours Didier Guérinot (d) SE Agent technique, ancien adjoint au maire

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 1 887 habitants[Note 2], en évolution de +1,94 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1846 1851 1856 1861 1866 1872
595746777702708681744715
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
708657630597503491490475484
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
4554594154635507731 3701 5421 502
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
1 8401 9541 9321 9281 8601 8831 887--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • La collégiale Saint-Louis (fondée aux XIVe, XVIe et XIXe siècles, reconstruite après l'incendie de 1875) ;
  • Le puits des Chanoines et la maison du Sonneur (place du Cloître) ;
  • Le manoir des Saules (ancienne auberge datant de 1922) ;
  • L'église Saint-Martin ;
  • La maison d'André Maurois (manoir Saint-Nicolas) ;
  • Le monument aux morts, œuvre de Robert Delandre (1921)[24].

Patrimoine naturel

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Site classé

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  • L'if sur la propriété de M. Picard, en bordure du chemin de Saint-Martin-la-Corneille à Saint-Cyr-la-Campagne, Logo des sites naturels français Site classé (1928)[25].

Site inscrit

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Patrimoine historique (sauvegarde)

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L'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Saulcéen (A.S.P.S.) a pour but de contribuer, avec les moyens qui sont les siens, à la sauvegarde et à la valorisation du Patrimoine immobilier, mobilier, culturel et environnemental de la commune de La Saussaye[27].

Manifestation culturelle

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Le salon du livre de La Saussaye se tient chaque année depuis 2010. Organisé par l'association locale « Mieux Vivre », il se tient, en principe, en mars[28].

Héraldique

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Les armoiries de La Saussaye se blasonnent ainsi :
Coupé de un parti de trois : au I fascé d'argent et de gueules de huit pièces, au II d'azur semé de fleurs de lis d'or brisé en chef d'un lambel de gueules, au III d'argent à la croix potencée d'or et cantonnée de quatre croisettes du même, au IV d'or à quatre pals de gueules, au V d'azur semé de fleurs de lis d'or, à la bordure de gueules, au VI d'azur au lion contourné d'or à la queue fourchue, armé, lampassé et couronné de gueules, au VII d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, au VIII d'azur semé de croisettes recroisetées au pied fiché d'or, à deux bars adossés du même brochants, sur le tout d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent. [Armes pleines de Lorraine]; au lambel de gueules brochant; le tout enfermé dans une bordure de gueules chargées de huit besants d'or.

Personnalités liées à la commune

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  • Alexandre Le Bienvenu du Busc Rabasse (1781-1852)[29], aide de camp (alias Ferdy) d'Hingant de Saint-Maur, pendant la chouannerie normande, y est mort le .
  • L'abbé François-Marie-Alfred Blanquart, curé local érudit, membre éminent de la Société des amis des arts du département de l'Eure au début du XXe siècle[30].
  • Émile Herzog alias André Maurois (1885-1967), l'écrivain et industriel vécut à La Saussaye dans les années 1920.

Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Oison (H5009000) ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre La Saussaye et Louviers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Louviers » (commune de Louviers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de La Saussaye », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 209 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
  17. – Marianne Mulon –Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 (ISBN 2862532207).
  18. Histoire de La Saussaye, document rédigé par Bernard Plumey pour la mairie de la Saussaye.
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « La Saussaye », Journal de Rouen, no 195,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  25. « L'if à La Saussaye », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  26. « La place de la Saussaye avec l'église,le cimetière », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
  27. « Association de Sauvegarde du Patrimoine Saulcéen ».
  28. « Mieux Vivre à La Saussaye - Salon du Livre », sur mieux-vivre-lasaussaye.org via Internet Archive (consulté le ).
  29. « Souvenirs du chevalier LE BIENVENU DU BUSC, aide de camp du comte Hingant de Saint-Maur », sur shenandoahdavis.canalblog.com (consulté le ).
  30. Voir son exposé en 1903 relatif à la chapelle de Bethléem (Aubevoye).