Aller au contenu

Vironchaux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vironchaux
Vironchaux
La mairie, entrée.
Blason de Vironchaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Patricia Poupart
2020-2026
Code postal 80150
Code commune 80808
Démographie
Gentilé Vironchellois
Population
municipale
504 hab. (2021 en évolution de +5,44 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 23″ nord, 1° 49′ 22″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 72 m
Superficie 16,14 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vironchaux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vironchaux
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Vironchaux
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Vironchaux

Vironchaux est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

La commune fait partie des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Une entrée de la commune.

Vironchaux est un village picard du Ponthieu situé à vol d'oiseau, à 5,4 km au nord-ouest de Crécy-en-Ponthieu[3], à 8,9 km au nord-est de Nouvion[4], à 17,7 km au sud-ouest d'Hesdin[5], à 20 km au nord d'Abbeville[6], à 54,8 km au nord-ouest d'Amiens[7].

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes:


Sol, relief, climat, hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le sol est généralement de consistance sablonneuse, il se révèle plutôt perméable. Peu de relief sur le territoire majoritairement uni. Quelques mares suffisent pour abreuver les animaux en 1899. À cette époque, l'eau tirée des puits alimentés par une nappe souterraine satisfait les besoins ménagers.

Située à environ 24 km de la Manche, la commune bénéficie d'un climat tempéré et la grêle n'est pas particulièrement à redouter[8].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Vironchaux[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 865 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Abbeville à 20 km à vol d'oiseau[11], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 806,2 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Au , Vironchaux est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,7 %), forêts (9,9 %), zones urbanisées (4,4 %), prairies (3 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

[modifier | modifier le code]

En 1899, le village compte trois écarts, correspondant à des exploitations agricoles :

  • le Grand Mezoutre, 19 habitants, à 2,5 km du chef-lieu ;
  • le Petit Mezoutre, 6 habitants, à 3 km ;
  • le Tronquoy, 9 habitants, à 4 km[8].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

Elle est située entre les routes départementales D 938 et D 12, à un peu moins de 2 km de chacune de ces deux voies. L'autoroute A16 est accessible par la sortie 24 de Forest-Montiers, à 12 km.

La localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[20].

Au point de vue ferroviaire, la gare de Rue est située à environ 12 km.

D'après le Dictionnaire topographique du département de la Somme de la Société des Antiquaires de Picardie, Tome 2, page 402, le village de Vironchaux (Somme) s'est appelé, au cours des siècles, de la manière suivante :

VILLARCELLUM en 867, ce qui veut dire PETIT VILLAGE en latin

VILURCELS en 1123

VILURCELES en 1144

VILONCELS en 1160

VILONCELES en 1170

VILONCELLI en 1177

VIRONCELS en 1210

VIRONCEALS en 1210

VILONCHIAUS en 1276

VILONCHEAUS en 1253

VIRONCHEUS en 1300

VIRONCHIAUS en 1301

VIRONCEAU en 1420

VIRONCHEAULX en 1522 et 1557

CHRONCHEAUX en 1638

TIRONCHAUX en 1696

VIRONCHAU en 1710, 1733

VIRONCHAUX en 1646, 1757, 1763, 1766, an X

Depuis 1300, l'orthographe du nom se précise et en 1646, nous retrouvons l'orthographe actuelle.

Dans les langues d'oïl, comme le picard, jusqu'en 1350, VIRON signifie :

1) rond, cercle

2) le pays d'alentour

3) à peu près, environ (adverbe)

4) autour de (préposition).

CHAUX vient sans doute de calceata (via), chemin chaussé, c'est-à-dire butté ; calceata désigne à l'origine la voie romaine.

Etymologiquement, « chaussée » peut aussi être un dérivatif de calx, calcis, chaux (utilisée pour les routes).

VIRONCHAUX (VIRON-CHAUX) veut peut-être tout simplement signifier « autour de la Chaussée », ou « le pays d'alentour de la Chaussée ».

En effet la Chaussée Brunehaut, c'est-à-dire l'ancienne voie romaine, se situe à vol d'oiseau à seulement 3kms des limites de la commune et à 5kms de l'église du village, Vironchaux se situe donc sur le chemin pour y accéder.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villarcellum (867) ; Vilurcels (1123) ; Vilurceles (1144) ; Viloncels (1160) ; Vilonceles (1170) ; Viloncelli (1177) ; Vironcels (1210) ; Vironceals (11..) ; Vilonchaus (1239) ; Vironchaus (1244) ; Vilonchiaus (1276) ; Viloncheaus (1253) ; Vironcheus (1300) ; Vironchiaus (1301) ; Vironceau (1420) ; Vironcheaulx (1522) ; Chroncheaux (1638) ; Vironchaux (1646) ; Tironchaux (1696) ; Vironchau (1710)[21]. Villarcelus, Viloncels, Vilonchiaux sont mentionnés[8],[22].

Jean-Baptiste Ledieu interprète l'appellation par la déformation de Guillaume et de cella, chapelle ou petite habitation, vers le début du XIe siècle. Maurice Gysseling y voit plutôt le diminutif roman de Vron[23].

Les deux seigneuries de Vironchaux sous l'Ancien-Régime avant 1789

Dans son livre édité par la Librairie DUMOULIN à Paris en 1870 : « Les fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu », René de Belleval précise (page 332) que sous l'Ancien-Ravant 1789, Vironchaux était divisé en deux seigneuries :

1ère Seigneurie (Bois de Saint Saulve) : Tenue du Roi par :

1373 :Wibert des Mares écuyer

1381 : Jean de Grambus chevalier

1400-1435 : Jean Brégier chevalier, qui lègue la seigneurie à l'Abbaye de Saint Saulve à Montreuil et en laisse la jouissance à sa femme Béatrix de Bouffllers, à la charge d'une messe chaque jour.

1435 : l'Abbaye de Saint Saulve de Montreuil jusqu'en 1789.

2ème Seigneurie (maison seigneuriale et dépendances) : Tenue de la Pairie de Nouvion par:

1500 : Nicolas Aux-Couteaux

1520 : Nicolas Aux-Couteaux

1540 : François Aux-Couteaux

1550 : N… Aux-Couteaux, femme de Louis Roussel écuyer

1581: Nicolas Waignart bourgeois et échevin d'Abbeville

1613 : Nicolas Waignart élu en Ponthieu

1650 : Catherine Waignart femme de François de Mons d'Hédicourt écuyer

1740 : Pierre Foucques de Bonval écuyer, par achat sur M. de Mons d'Hédicourt

1789 : Pierre Foucques de Teuffles écuyer.

René de Belleval ajoute que l'Abbaye de Saint Josse nommait à la cure et que le village fut brûlé par les troupes espagnoles au mois d'août 1635.

  • Des tombelles celtiques ont été trouvées dans les bois de Vironchaux, attestant de l'ancienneté du village[8].
  • En 1503, un frère mineur de l'Observance né à Vironchaux, Jean Capet, fait don des reliques des 11 000 vierges à la paroisse[24].
  • Deux seigneuries d'importance inégale ont possédé le village. Celle du bois dépend de plusieurs familles avant d'appartenir, en 1435, à l'abbaye de Saint-Saulve. La seigneurie principale avec château et ferme dépend de 1500 à 1550 de la famille « Aux Couteaux ». Elle passe aux Waignart aux XVIe et XVIIe siècles. Dès 1740, les Foucques de Bonval puis les Foucques de Vironchaux sont les propriétaires des lieux, achetés auprès de Mons d'Héricourt qui avait épousé la dernière fille des Waignart. Leur blason comporte trois foulques dessinés avec des plumes de paons[25],[26].

Les Templiers

[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit Elcourt, les Templiers ont possédé un domaine[8].

Temps modernes

[modifier | modifier le code]
  • En , l'armée espagnole pille, dévaste, brûle la paroisse. Des habitants, faits prisonniers, sont rançonnés[8]. De là vient certainement le surnom donné aux habitants de Vironchaux, frappés de stupeur : « chés ahuris ed'Vironcheux »[24].
  • Dès 1787, le village a son école[8].
  • Les Allemands occupent la localité pendant six semaines en 1871[8].
  • 1849 : Comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel.
Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des 248 électeurs[27],[28] :
Cagnard Capet Caudron Chartrel Coffinier Dubos Dumesnil Dupuis Garbe Hervet Liège Maillard Warrin
6 17 13 4 4 5 9 6 19 9 11 12 5
  • Si des moulins ont pris en charge la mouture des céréales au temps jadis, ils n'existent plus en 1899[8].


  • En 1899, Vironchaux, complètement tournée vers l'agriculture, compte 440 bovins dont 295 vaches laitières, 920 moutons, 495 porcs, 26 ruches. Le tout est pris en charge par 113 exploitations dont 82 ont moins de cinq hectares[8].
  • Pendant la Deuxième Guerre mondiale, un site de lancement de V1 est bombardé par les Alliés

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
en cours en 1949 et 1955[29]   Ghislain Guilbart RS Cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
1995 avril 2014 Bernard Popot    
avril 2014[30] En cours
(au 16 juillet 2020)
Patricia Poupart LR Conseillère régionale des Hauts-de-France (2015 → )
Vice-présidente de la CC Ponthieu-Marquenterre (2020 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[31]

Drapeau de la Hongrie Öcsöd (Hongrie) depuis 1993[32].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 504 habitants[Note 2], en évolution de +5,44 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1846 avec 818 habitants.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
683784781746788792817818810
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
795772774743695659645623604
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
617599566527511502502504490
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
463421440452427383425441417
2014 2019 2021 - - - - - -
479498504------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 248 hommes pour 246 femmes, soit un taux de 50,20 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,51 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,0 
6,4 
75-89 ans
11,3 
18,0 
60-74 ans
20,2 
19,6 
45-59 ans
18,5 
18,4 
30-44 ans
16,5 
12,0 
15-29 ans
12,1 
24,8 
0-14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département de la Somme en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,8 
6,7 
75-89 ans
9,4 
17,2 
60-74 ans
18,1 
19,8 
45-59 ans
19,1 
18,2 
30-44 ans
17,5 
19,4 
15-29 ans
18 
18,2 
0-14 ans
16,2 

Enseignement

[modifier | modifier le code]

En matière d'enseignement primaire, pour l'année scolaire 2016-2017, les communes de Vironchaux, Machy, Machiel et Dominois sont associées au sein d'un regroupement pédagogique. Machiel relève du secteur de collège de Rue.

Essentiellement agricole, l'économie locale s'oriente également vers le maraîchage de plein champ et les serres de production, alimentant surtout les marchés locaux[39].

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Vironchaux Blason
De sinople au hêtre d'argent et à la scie de bûcheron du même brochant en fasce sur le fût de l'arbre ; chaussé d'or chargé de deux foulques adossés de sable, becqués de gueules.
Détails
Le conseil municipal adopte son blason à l'unanimité le . Celui-ci représente deux foulques sur fond jaune. La lettre V est censée représenter l'initiale de Vironchaux tandis que l'arbre qu'elle contient sur fond vert évoque le travail des bûcherons. La scie qui croise le tronc du hêtre blanc de la forêt de Crécy, sans le couper, symbolise la tâche qui attend le travailleur[25].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint-Maurice.
  • Chapelle Notre-Dame-des-Victoires, en mémoire de la « Sainte de Vironchaux », construite à l'emplacement de sa maison, fin XIXe siècle[40],[41].
  • Oratoire Notre-Dame-de-Lourdes, installé vers 1950[40].
  • La Vierge de Fatima de l'abbé Paul Platevoët, sanctuaire édifié vers 1960[40].
  • Site de lancement de V1 de la Deuxième Guerre mondiale.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Vironchaux » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
  2. Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d'art et d'histoire» », Courrier picard,‎ (lire en ligne)
  3. « Orthodromie entre Vironchaux et Crécy-en-Ponthieu », sur fr.distance.to (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Vironchaux et Nouvion », sur fr.distance.to (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Vironchaux et Hesdin », sur fr.distance.to (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Vironchaux et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Vironchaux et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
  8. a b c d e f g h i et j Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Vironchaux, M. Gavois, , Archives départementales de la Somme, Amiens.
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Vironchaux et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Abbeville » (commune d'Abbeville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. Insee, « Métadonnées de la commune de Vironchaux ».
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  21. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 402 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  22. La notice de M. Gavois sur le site des Archives départementales de la Somme, lire en ligne.
  23. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F. Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 27.
  24. a et b Claude Cailly, « Que la lumière soit ! », le Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 8, 30 octobre 2017.
  25. a et b Le Journal d'Abbeville, « Vironchaux, la commune a son blason », 30 novembre 2016, p. 23.
  26. René de Belleval, Nobiliaire de Ponthieu et de Vimeu, Paris, Bachelin-Deflorenne, 1876.
  27. Liste électorale de Vironchaux, Archives Départementales de la Somme, Amiens, 1849
  28. La liste électorale de 1849 sur le site des Archives départementales de la Somme, lire en ligne.
  29. Annuaire général d'Abbeville pour 1949 et 1955, p. 1 312.
  30. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 7 avril 2014, p. 13.
  31. Johann Rauch, « Ponthieu-Marquenterre : Qui à la tête de l'intercommunalité… : Focus sur la nouvelle gouvernance de l'intercommunalité Ponthieu-Marquenterre… », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Panneau d'entrée de village ».
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vironchaux (80808) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
  39. Florian Vanbremeersch, « Vironchaux, un maraîchage qui investit », Vivre en Somme, no 110,‎ , p. 9.
  40. a b et c André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 27.
  41. Ernest Prarond, Le canton de Rue.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier | modifier le code]