Aller au contenu

Tintin (périodique)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Tintin (magazine))

Tintin
Le Journal Tintin
Image illustrative de l’article Tintin (périodique)

Pays Drapeau de la Belgique Belgique

Drapeau de la France France

Langue Français
Périodicité Hebdomadaire
Format A4
Genre bande dessinée franco-belge
Prix au numéro 50 BEF

12 FRF

Fondateur André Sinave, Hergé, Albert Debaty, Georges Lallemand et Raymond Leblanc
Date de fondation
Date du dernier numéro
Ville d’édition Bruxelles

Propriétaire Les Éditions du Lombard, Studios Hergé

Tintin, également nommé Le Journal Tintin dans le langage francophone courant ou encore Kuifje, dans la version néerlandaise — du nom du personnage de Tintin dans cette langue —, est une publication hebdomadaire de bande dessinée de la seconde moitié du XXe siècle, édité par Le Lombard. Sous-titré « Le journal des jeunes de 7 à 77 ans » puis « Le super journal des jeunes de 7 à 77 ans » et enfin « L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans », il diffuse des séries comme Blake et Mortimer, Alix, Michel Vaillant, Ric Hochet, Thorgal et bien sûr les deux œuvres principales de Hergé, Les Aventures de Tintin et Milou ainsi que Quick et Flupke.

Le premier numéro de l'édition belge est publié le . Cette édition fut également distribuée au Canada. Le même jour, la version néerlandaise, Kuifje, est également publiée. Le premier numéro de l'édition française, également distribuée en Suisse, sort le 28 octobre 1948.

L'idée de publier cet hebdomadaire vient d'André Sinave[1], qui désire capitaliser sur le succès de la série Tintin créée en 1929 pour Le Petit Vingtième par Hergé. Par la suite, une rencontre entre Hergé, André Sinave et Raymond Leblanc est organisée[1]. C'est Raymond Leblanc et Georges Lallemand qui fondent à Bruxelles la maison d'édition Le Lombard, chargée de publier le périodique.

Le journal cesse de paraître le car les ayants droit d'Hergé ont décidé de lancer, sans les Éditions du Lombard, un nouveau journal intitulé Tintin reporter. Celui-ci disparaît au bout de 9 mois, faute de succès. Le Lombard lance à son tour un nouveau périodique destiné à remplacer Tintin, Hello Bédé, qui paraît jusqu'au 26 juin 1993. Cependant, la version néerlandaise, Kuifje, persista jusqu'au dernier numéro d'Hello Bédé.

Rédacteurs en chef

[modifier | modifier le code]
Rédacteurs en chef successifs[2]

Caractéristiques de publication

[modifier | modifier le code]
Caractéristiques de publication du Journal de Tintin[4]
Date Année No  Nombre de pages Format (cm) Belgique (FB) Canada ($) Congo et étranger (FB) Espagne (pesetas) France (FF) Luxembourg (FL) Suisse (FS) Slogan
1er 1 12 21x29,5 3,50 - - - - - - Chaque jeudi
1er 13 16 21x29,5 4,00 - - - - - - Chaque jeudi
3e 38 20 21x29,5 5 - - - - - - Chaque jeudi
4e 45 20 21x29,5 5 - 6 - - - - Chaque jeudi
5e 45 20 21x29,5 5 - 6 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans (l'idée de ce slogan provient de Karel Van Milleghem, rédacteur en chef de Kuifje)
6e 27 20 21x29,5 6 - 7 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
10e 42 32 21x29,5 8 0,15 10 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
14e 14 32 21x29,5 8 0,15 19 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
14e 50 32 21x29,5 8 0,15 11 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
15e 8 48 21x29,5 8 0,15 10 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
15e 9 48 21x29,5 10 0,20 12 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
17e 1 52 21x29,5 10 0,20 12 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
19e 24 52 21x29,5 10 0,25 12 - - - - Le journal des jeunes de 7 à 77 ans
20e 1 52 21x29,5 10 0,25 12 - - - - Le super journal des jeunes de 7 à 77 ans
22e 1 52 21x29,5 12 0,25 - - - - - Le super journal des jeunes de 7 à 77 ans
25e 6 52 21x29,5 12 0,25 - - - - - L'hebdomadaire des jeunes de 7 à 77 ans
25e 10 52 21x29,5 12 0,25 - - - - - Le super hebdomadaire des jeunes de 7 à 77 ans
26e 1 52 21x29,5 15 0,25 - 25 - - - L'hebdomadaire des jeunes de 7 à 77 ans
26e 2 52 21x29,5 15 0,25 - 25 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
28e 30 52 21x29,5 15 0,30 - 25 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
28e 44 52 21x29,5 15 0,30 - 30 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
29e 1 64 21x29,5 15 0,30 - 30 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
29e 13 64 21x29,5 18 0,35 - 30 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
29e 15 64 21x29,5 18 0,35 - 30 - - - L'hebdomadaire qui a du nez !
29e 40 64 21x29,5 20 0,40 - 35 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
30e 1 68 21x29,5 20 0,40 - 35 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
31e 1 52 21x29,5 20 0,50 - 40 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
31e 41 52 21x29,5 25 0,60 - 50 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
33e 1 52 21x29,5 25 0,60 - 60 - - - L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
34e 1 52 21x29,5 25 0,75 - 60 4 25 2,5 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
34e 2 52 21x29,5 25 0,75 - 60 4 26 2,5 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
34e 6 52 21x29,5 25 0,75 - 60 4 26 2,0 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
34e 29 52 21x29,5 25 0,75 - 75 4 26 2,5 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
35e 27 52 21x29,5 25 1,00 - 75 4 26 2,0 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
35e 42 52 21x29,5 25 1,00 - 75 5 26 2,0 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans
35e 45 52 21x29,5 25 1,00 - 75 5 26 2,5 L'hebdomadaire des super-jeunes de 7 à 77 ans

Le début : 1946-1949

[modifier | modifier le code]
Buste d'Alix sur la tombe de Jacques Martin au cimetière de Céroux (Belgique).

Le premier numéro, daté du , comporte douze pages et réunit des artistes de bandes dessinées de renom :

Dès le treizième numéro (), le Journal de Tintin passe à seize pages.

Les années suivantes, Hergé reprend Jo, Zette et Jocko, apparus pour la première fois dans Cœurs Vaillants. Étienne le Rallic fournit une variation humoristique avec Jojo Cow-Boy et Teddy Bill.

En 1947, Tonet Timmermans dessine des couvertures puis une bande dessinée.

En 1948, Jacques Martin arrive avec Alix, en même temps que Dino Attanasio et Willy Vandersteen.

En , le Journal de Tintin passe de seize à vingt pages.

Pendant plusieurs décennies, Hergé garde le contrôle artistique du magazine, d'où ses interférences dans, par exemple, Le Fantôme espagnol de Willy Vandersteen, premier épisode de Bob et Bobette publié dans le journal, (Suske en Wiske en néerlandais en est à son dixième récit à cette époque) ; cet épisode et les suivants publiés dans le Journal de Tintin sont redessinés dans une ligne plus claire et épurée.

Le , est publiée la première version française du Journal de Tintin. Bien que les versions belge et française comportent presque les mêmes bandes dessinées, il y a des lignes éditoriales distinctes. De plus, alors que l'édition belge recommence la numérotation à chaque année, l'édition française utilise une numérotation continue d'une année à l'autre.

En 1949, Bob de Moor rejoint le Journal de Tintin et y dessine quelques pages de gags.

Le chèque Tintin

[modifier | modifier le code]

Pour fidéliser ses lecteurs, le journal crée une sorte de point de fidélité qu'il nomme le chèque Tintin (qui se nommera en Belgique le timbre Tintin) et dont on trouve un point dans chaque exemplaire du journal. On peut obtenir des cadeaux divers, tous hors commerce (ce sera l'idée de génie) en échange d'un nombre donné de points pour chaque cadeau. Des marques de produits alimentaires, devant l'engouement des lecteurs du journal, s'affilient elles aussi au chèque Tintin : on en trouve sur des boîtes de farine, de semoule, des soupes, des entremets et il existe même une boisson soda de marque Tintin puis des chaussures Tintin.

Parmi les cadeaux, les très beaux chromos de la collection Voir et savoir ayant pour thèmes l'aviation, les bateaux, l'automobile illustrés d'images originales et un jeu de l'oie dont chaque case est une image extraite d'un album et plus ou moins en rapport avec la case en question. Le jeu porte extérieurement une vignette dorée représentant un chèque Tintin géant.

La SNCF se met elle-même de la partie en proposant d'échanger huit cents chèques Tintin contre cent kilomètres en chemin de fer.

Les années 1950

[modifier | modifier le code]

Les années 1950 voient l'arrivée de nouveaux artistes :

Nouveaux artistes des années 1950
Nom Avec les séries
Raymond Reding Jari (1957, sports)
Vincent Larcher (1963, sports)
Section R (1972, sports)
Albert Weinberg Dan Cooper (1957, aviation)
Tibet Chick Bill (western humoristique)
Ric Hochet
Raymond Macherot Chlorophylle
Clifton (détective) repris plus tard par Turk, De Groot et Bedu
François Craenhals Pom et Teddy
Liliane et Fred Funcken Le Chevalier blanc
Jacques Martin Lefranc
Jean Graton Michel Vaillant
Albert Uderzo et René Goscinny Oumpah-Pah
Dino Attanasio Signor Spaghetti
Berck Strapontin

Rivalité entre Tintin et Spirou

[modifier | modifier le code]

Pendant des années, les journaux Spirou et Tintin sont en émulation mutuelle jusqu'à la disparition de ce dernier au début des années 1990, avec un apogée dans les années 1950 et 1960. Les deux hebdomadaires ont d'abord des tons totalement différent, Spirou axé sur la fantaisie et l'humour, Tintin d'un aspect plus sérieux et éducatif[5]. Tintin commence à modifier sa ligne éditoriale au milieu des années 1950, en débauchant André Franquin qui vient de se disputer avec Dupuis[6] et surtout au milieu des années 1960, en recrutant Michel Greg comme rédacteur en chef. Dès lors, les différences éditoriales des deux hebdomadaires ne vont plus être aussi nettes[7]. L'autre grosse différence est le style graphique, Spirou étant adepte de la caricature et du dessin instinctif (style dit de l'école de Marcinelle du nom de la commune de Charleroi où résidait Dupuis), alors que Tintin possède un style plus académique et réaliste (l'école de Bruxelles, la ligne claire)[8]. L'ambiance au sein des deux rédactions est également très différente, car chez Spirou les auteurs sont indépendants et travaillent chez eux en toute liberté, alors que chez Tintin les auteurs travaillent souvent avec des horaires de bureau[9].

Entre les deux périodiques existe un accord tacite de « non-agression » qui fait qu'une maison d'édition ne peut débaucher un auteur du concurrent[10]. Les deux maisons d'édition préfèrent se livrer concurrence sur la qualité du papier d'impression ou le nombre de pages, plutôt qu'à une surenchère sur les auteurs qui ferait grimper le prix des planches[11]. Quelques exceptions cependant, la plus spectaculaire étant le passage chez Tintin d'André Franquin, qui collabore pendant quelques années aux deux hebdomadaires en même temps[10]. D'autres transfuges de Spirou à Tintin suivront, Michel Greg[12] et Will (qui fait le chemin inverse quelques années plus tard)[13], Eddy Paape[14], ou de Tintin à Spirou, comme Raymond Macherot[15]. Lorsque les auteurs changent d'employeur, ils sont obligés d'abandonner tous leurs droits sur leurs séries et personnages précédents et bien souvent ils se contentent de recréer une série similaire en changeant simplement la forme graphique et le nom des personnages[16]. Les ventes des deux hebdomadaires n'ont jamais connu de gros écarts[11].

André Franquin crée la série Modeste et Pompon pour le Journal de Tintin alors qu'il poursuit d'autres séries chez Spirou. André Franquin quitte le Journal de Tintin après ses obligations contractuelles, mais la série Modeste et Pompon est poursuivie plusieurs années par Dino Attanasio, Mittéï, Griffo ainsi que Walli et Bom.

Certains artistes passent de Spirou vers Tintin tels que Eddy Paape, Jean Graton et Liliane et Fred Funcken. D'autres passent de Tintin vers Spirou tels que Raymond Macherot et Berck.

Statue de Cubitus, personnage de Dupa à Limal (Belgique).

Un nouvel élan humoristique est donné avec l'arrivée des artistes suivants :

Au numéro 9 de la 15e année (), le Journal de Tintin passe à 48 pages pour accueillir, entre autres, toutes ces nouvelles séries.

En 1968, 1969 et 1970, le journal participe, avec les firmes Apollinaris et Torck, à l'organisation des trois dernières éditions des jeux de plage publicitaires Les Rois du volant à la côte belge.

Les années 1970

[modifier | modifier le code]
Le supplément trimestriel Tintin Sélection 1955 (0) et les numéros 1 (1968) à 38 (1978).

Le magazine retourne à la bande dessinée réaliste avec :

Mais l'humour n'est pas oublié avec :

Les années 1980, le déclin

[modifier | modifier le code]

Dans les années 1980, les ventes déclinent ; peu d'artistes rejoignent le magazine, tels :

La fin du titre original Tintin eut lieu le . Il continua le 9 décembre 1988 sous le nom Tintin reporter, publié par Yeti Presse.

La version française avait déjà été arrêtée en 1972 et continuait sous différents noms (Tintin l'Hebdoptimiste, Nouveau Tintin et Tintin Hebdo) jusqu'au 29 novembre 1988. Tintin l'Hebdoptimiste fût publié du au 1er juillet 1975, cette formule (un peu particulière et différente), était axée sur les stars de l'époque (du sport, de la musique, du cinéma), toutefois, durant un peu plus d'1 an, Tintin l'Hebdoptimiste gardera la numérotation venant de l'ancienne formule Tintin, le journal avait également changé son jour de parution, passant du jeudi au mardi et la numérotation a été remise à zéro. Le journal fût renommé Tintin jusqu'au . Le , le premier numéro de Nouveau Tintin paraît, à l'occasion de la première pré-publication de Tintin et les Picaros. La numérotation a été remise pour la seconde fois à zéro, mais note tout de même la numérotation de Tintin l'Hebdoptimiste (par exemple pour le 1er numéro : n°1-141). Le journal rechangera de nom le en Tintin, dès lors, la numérotation ne sera plus jamais remise à zéro. Le , le journal change de nom en Tintin Hebdo et le nom restera jusqu'au numéro du (exceptés les numéros du et du , où ils ont été renommés en Tintin). Ces cas de changements de formule ne se sont jamais produits en Belgique (que ce soit pour la version française et néerlandaise). Ceci pour une raison inconnue. Par la suite dans la version française, le nom Tintin restera jusqu'au dernier numéro du 29 novembre 1988[17].

Tintin reporter ne survécut que 9 mois et fut suivi par Hello Bédé en .

La version finale, de nouveau publiée par Le Lombard, continua jusqu'au 29 juin 1993.

Les années 2020, un numéro spécial unique

[modifier | modifier le code]

Le , lors d'une conférence de presse au 50e Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, les éditions du Lombard annoncent, pour fêter leur 77 ans d'existence, qu'un numéro spécial unique du Journal de Tintin sera publié le , en collaboration avec la société Moulinsart[18],[19],[20],[21],[22],[23],[24].

Identité visuelle (logo)

[modifier | modifier le code]

Bandes dessinées publiées dans la version française de Tintin

[modifier | modifier le code]

La liste ci-dessous ne mentionne pas les aventures qui se résument à un seul no  de Tintin (à l'exception de bandes - plusieurs pages - mettant en scène les héros légendaires de l'hebdomadaire) ; il en est de même pour Les Aventures du Professeur Troc (par Bob de Moor), Les Aventures de son Altesse Riri (par Willy Vandersteen), Signor Spaghetti exterminateur (par Dino Attanasio), Modeste et Pompon (par Franquin, seul, ou en collaboration avec Greg ou Goscinny ou Loulou ou Tibet ou Greg ou Gody, puis Dino Attanasio, Mittéï, etc.), Prudence Petitpas (par Maréchal, seul, ou en collaboration avec Macherot ou Goscinny ou Greg ou Mittéï), Indésirable Désiré (par Mittéï, scénario Vicq), Balthazar (par Bob de Moor), Fleurdelys par Mazel, seul, ou en collaboration avec Vicq, Les gags à Taka Takata (par Jo-El Azara), Le Skblllz (par Géri), Max l'explorateur par Bara, Robin Dubois (par Turk et Bob de Groot), La Tribu terrible (par Gordon Bess), L'Espion jovial par Lhun et Lôtre, Rififi (par Guy Mouminoux), Trois hommes en marmite (par Bara), Cubitus (par Dupa), Benjamin (par Hachel), etc.

Elle se termine au no 1262 du 04/01/1973 qui précède le premier no  de Tintin - l'hebdoptimiste daté du 09/01/1973.

Plusieurs bandes dessinées parues dans le Journal Tintin sont adaptées par Jean Maurel pour les éditions Festival dans la collection Le disque d'aventure :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Philippe Goddin, Hergé, Lignes de vie, Éditions Moulinsart, Bruxelles, 2007.
  2. Histoire des éditions du Lombard de 1970 à 1979, sur le site lelombard.com
  3. Daniel Couvreur, « Jean-Luc Vernal était le dernier rédacteur en chef du journal Tintin », Le Soir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  4. « Le journal de Tintin éditions belge et canadienne par année » (consulté le )
  5. Le Duel Tintin-Spirou, p. 25.
  6. Le Duel Tintin-Spirou, p. 241.
  7. Le Duel Tintin-Spirou, p. 26.
  8. Le Duel Tintin-Spirou, p. 264.
  9. Le Duel Tintin-Spirou, p. 284.
  10. a et b Le Duel Tintin-Spirou, p. 23.
  11. a et b Le Duel Tintin-Spirou, p. 24.
  12. Le Duel Tintin-Spirou, p. 197.
  13. Le Duel Tintin-Spirou, p. 283
  14. Le Duel Tintin-Spirou, p. 378.
  15. Le Duel Tintin-Spirou, p. 200.
  16. Le Duel Tintin-Spirou, p. 360.
  17. Daniel Schoorens, « Le journal de Tintin », sur lejournaldetintin.free.fr (consulté le ).
  18. Hugues Dayez, « Le mythique Journal Tintin va renaître de ses cendres », sur RTBF, .
  19. « Le journal Tintin de retour pour un numéro spécial », sur toutenbd.com,
  20. « Le magazine Tintin renaît pour un numéro spécial », sur toutenbd.com,
  21. Agence France-Presse, « Le magazine Tintin revivra pour un seul numéro spécial », sur toutenbd.com, .
  22. « Le magazine Tintin renaît pour un numéro spécial », sur La Presse,
  23. Olivier, « Le mythique journal Tintin de retour pour un numéro spécial », sur journaldugeek.com, .
  24. Charles-Louis Detournay, « Angoulême 2023 : Le "Journal Tintin" revient, le temps d’un numéro unique qui s’annonce mythique ! », sur ActuaBD, .
  25. Ce titre de couverture alterne parfois avec le suivant.
  26. Ce titre de couverture alterne parfois avec le précédent.

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]