Esclavelles
Esclavelles est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Esclavelles | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC Communauté Bray-Eawy | ||||
Maire Mandat |
Denis Gueville 2020-2026 |
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Code postal | 76270 | ||||
Code commune | 76244 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Esclavellais, Esclavellaises | ||||
Population municipale |
386 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 42′ 28″ nord, 1° 23′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 236 m |
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Superficie | 9,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Neufchâtel-en-Bray | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est un village rural situé au carrefour de l'ancienne RN 28 et du tracé initial de la RN 15 (actuelles RD 928 et RD 915), et jouxtant la Forêt d'Eawy.
Le village se trouve à 33 km au sud-est de Dieppe, à 38 km au nord-est de Rouen et à 60 km au nord-ouest de Beauvais.
Elle dispose d'un accès sur l'Autoroute A28.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierLa commune est drainée par plusieurs ruisseaux, dont le Radegueule et le Vingtlaine, affluents de la Béthune.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bouelles à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 838,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Esclavelles est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,3 %), terres arables (39,7 %), forêts (1,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et écarts
modifierLa commune compte de nombreux hameaux ou écarts : Les Hayons, Les Défens, la Folie, le mont Edeline, La Loquette, Beauséjour, Radegueule, le Mont Rémont, Rochard
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Esclaveles entre 1017 et 1021, Sclavellis vers 1065[13],[14], Esclavelles en 1400 et 1402 (Archives départementales de la Seine-Maritime, tab. Rouen reg. 9 f. 21)[15].
Du gallo-roman sclavu « slave » (latin médiéval Sclavus « slave », moyen français Sclave « Slave »); ce nom évoquerait un établissement de Slaves de l'époque du Bas-Empire romain[14]. Cependant, selon Albert Delahaye, il s'agirait d'une confusion avec les Slavi désignant un peuple germanique mentionné par Aimoin de Fleury[16], mais mal documenté.
Histoire
modifierOn a retrouvé un dépôt de monnaies en or qui fut vendu vers 1803, ainsi que des antiquités et médailles romaines trouvées en grand nombro au harneau de Morimont et conservées au musée de Neufchâtel, avec entre autres un vase en terre noire contenant trois cent quatre-vingts monnaies d'Antonin, de Faustine, de Marc-Aurèle, de Trajan, d'Adrien, de Commode et de Septime-Sévère, découvert en 1835, et quatre cent trente-huit monnaies de bronze du Haut-Empire renfermées dans un vase, découvertes la même année dans un ancien chemin dénommé rue aux vaches entre le plateau des Hayons et la route de Dieppe. Un grand nombre de tuiles à rebord antiques ont été retrouvées en 1853 près de la nationale 28[17],[18].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierLa commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Neufchâtel-en-Bray[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui n'est plus qu'une circonscription électorale et dont la commune est fait toujours partie, est modifié, passant de 23 à 70 communes.
Intercommunalité
modifierLa commune était membre de la communauté de communes du Pays Neufchâtelois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1998 et qui succédait à l'ancien SIVOM de Neufchâtel, constitué le 26 octobre 1977.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], celle-ci a fusionné avec la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Bray et huit communes issues de la communauté de communes du Bosc d'Eawy pour former le la communauté Bray-Eawy, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 386 habitants[Note 2], en évolution de +2,39 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Petite enfance
modifierLa Maison d’assistantes maternelles (MAM) associative Baby Safaris a ouvert en février 2021[29]
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Notre-Dame.
- Des circuits de randonnée ont été aménagés dans la commune.
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Paysage de la commune
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Maison ancienne.
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Le monument aux morts.
-
balisage de chemins de randonnée.
Personnalités liées à la commune
modifier- Pierre-Étienne-Georges Patry (30 avril ou 1er mai 1743 - Paris, 8 juillet 1820), auteur de La création d'Éve, conte moral et historique (Didot l'aîné, Paris, 1806), y vécut dans son domaine du Mont-Édeline. Il fut maire de la commune jusque juin 1816[21],[30].
- Bernard Oli Ziguinchor Casamance, soldat au 53e régiment d'infanterie coloniale sénégalaise (RICMS), Mort pour la France, et un autre soldat sénégalais resté inconnu, exécutés en juillet 1940 au début de l'occupation Nazie par une unité d'aviation allemande en cantonnement aux Hayons, parce qu'africains. La commune leur a donné en 1941 une sépulture décente dans le cimetière communal, et une plaque honore désormais leur mémoire devant le monument aux morts[22].
- Paul Lesueur, Jean Auriol, Christian Barrais, Louis Fromager et Maurice Maugis, résistants fusillés par les Allemands le , deux jours avant la libération du pays de Bray par les soldats canadiens[31].
Héraldique
modifierBlason | Divisé en chevron: au 1er d'azur au listel d'or chargé de l'inscription « ESCLAVELLES » de sable, au 2e de gueules au léopard d'or, armé et lampassé d'azur; au chevron d'argent brochant sur la partition; à deux paires de menottes de sable affrontées et posées en barre à dextre et en bande à senestre, les bracelets supérieurs ouverts, brochant sur le tout[32]. |
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Détails | Le léopard d'or rappelle les armoiries de la Normandie. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Esclavelles sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune d’Esclavelles (76244) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- « Esclavelles »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Esclavelles et Bouelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bouelles » (commune de Bouelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite), p 139.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150 passage=73)
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 346.
- Albert Delahaye, « Les règles de la toponymie, La Germania est la Flandre française, La Frisia et la Saxonia, Les Dani de Normandie »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur archief.semafoor.info, (consulté le ), p. 196 - Note 267-1.
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen,, Paris, Imprimerie nationale, , 652 p. (lire en ligne), p. 236-237, lire en ligne sur Gallica.
- « Archéologie (supplément) », L'Écho du monde savant, no 67, , p. 321 (lire en ligne, consulté le ); lire en ligne sur Gallica.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- Louis Bergeron et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire: notices de biographie sociale, CNRS Éditions, 1993, p.71-72
- « Danièle Capot ressuscite le souvenir de deux tirailleurs sénégalais enterrés à Esclavelles : Danièle Capot vient de rédiger un article sur l'histoire de deux tirailleurs sénégalais enterrés à Esclavelles. Ils ont été tués en 1940. A l'approche du 8 mai, le Souvenir français exhume cette histoire », Le Réveil, no 3657, , p. 9 (lire en ligne, consulté le ).
- « André Vieuxbled, maire d'Esclavelles, est décédé : Maire d'Esclavelles, André Vieuxbled, est décédé vendredi 21 juin 2019, à l'âge de 72 ans, des suites d'une maladie », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3612, , p. 11 (lire en ligne, consulté le ) « Elu conseiller municipal il y a 25 ans, André Vieuxbled avait ensuite occupé le poste de premier adjoint pendant 2 mandats. Il était maire depuis 2014 ».
- « Esclavelles : Denis Gueville a été élu maire le 12 septembre 2019 : Le nom du successeur du défunt maire d'Esclavelles André Vieuxbled, près de Neufchâtel-en-Bray, est désormais connu. Il s'agit de l'ancien premier adjoint, Denis Gueville », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Denis Gueville, 1er adjoint et maire par intérim depuis le décès d’André Vieuxbled, était le seul candidat au poste de maire. Il a été élu avec 10 voix. Delphine Angreville a obtenu une voix ».
- « À Esclavelles, Denis Guéville a été réélu maire : Denis Guéville a été réélu maire d'Esclavelles en début de semaine. Il est entouré de deux adjoints : Jean-Marc Clément et Vincent Trousse », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Denis Guéville qui avait succédé à André Vieuxbled décédé en juin 2019, s’est représenté en tant que maire ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Près de Neufchâtel-en-Bray : lancé il y a peu, Baby Safaris accueille les enfants jusqu'à 3 ans : Malgré quelques problèmes avant d'ouvrir leur Maison d'assistantes maternelles, Axelle et Céline n'ont rien lâché. Leur association Baby Safaris pouvait alors être créée », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
- Félix Clérembray, Pocholle, troisième sous-préfet de Neufchâtel-en-Bray, Patry, maire d'Esclavelles, et le préfet Beugnot, épisodes de l'affaire Cadoudal : extraits documentés d'une biographie manuscrite de Pocholle, Rouen, Lestringant, , 30 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
- « Esclavelles: recueillement devant la stèle des fusillés », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=20678