Écaillon (Nord)
Écaillon est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Écaillon | |||||
L'église Notre-Dame-de-la-Visitation en 2018. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Douai | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Ostrevent | ||||
Maire Mandat |
Georges Cino 2020-2026 |
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Code postal | 59176 | ||||
Code commune | 59185 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Écaillonnais, Écaillonnaises | ||||
Population municipale |
1 910 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 478 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
333 383 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 05″ nord, 3° 13′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 19 m Max. 35 m |
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Superficie | 4 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Valenciennes (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Douai (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aniche | ||||
Législatives | Seizième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-ecaillon.fr | ||||
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Géographie
modifierÉcaillon est située à 10 km au sud de Douai. Situé sur le ruisseau Escaillon qui va former l'île où se situera l'abbaye d'Anchin[1].
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Ecaillon ou Scarpe, le Courant du Champs des Eaux[2], le fossé de la Rouge Croix[3], le Marais[4] et divers autres petits cours d'eau[5],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[6].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Écaillon est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 56 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), zones urbanisées (17,8 %), prairies (10 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par la ligne A du bus à haut niveau de service de Douai ainsi que par les lignes 20 et 108 du réseau urbain Évéole.
- Vers 1240 : Josué Broyart, chevalier sire d'Escaillon et Alexandra son épouse, firent des libéralités à l'Abbaye d'Anchin et y furent inhumés contre la chapelle de la Sainte-Vierge dehors l'église.
- 1304 : le comte du Hainaut à la tête des bourgeois de Valenciennes reprend le château à des brigands qui s'en étaient emparés.
- 1405 : la comtesse de Flandre Marguerite de Bourgogne, veuve du Duc de Bourgogne envoie des hommes d'armes assaillir le château contre Jean de Robersart à cause de traitements odieux qu'il a fait subir au chanoine de Cambrai.
- Par son mariage Jeanne de Lallaing (décédée en 1472) avec Philippe de Bourbon Escaillon et Bruilles passent dans la maison princière de Bourbon.
- 1510 : Jeanne de Bourbon, fille de Philippe de Bourbon, vend ces deux terres à son cousin Charles ; Baron de Lallaing
- 1511 : Escaillon et Bruilles furent esclissés de la seigneurie d'Haussy et réunis à la baronnie de Lallaing en faveur dudit Charles Doyen des pairs du Hainaut
Héraldique
modifierLes armes d'Écaillon se blasonnent ainsi : D'argent à la croix engrêlée de gueules. |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierLors du premier tour des élections municipales le , dix-neuf sièges sont à pourvoir ; on dénombre 1 402 inscrits, dont 678 votants (48,36 %), 8 votes blancs (1,18 %) et 664 suffrages exprimés (97,94 %). La liste Écaillon pour tous menée par le maire sortant Georges Cino[20] recueille 341 voix (51,36 %), la liste Écaillon, réunis pour réussir menée par l'ex-adjointe aux fêtes, qui avait claqué la porte avec cinq élus en 2018, Fabienne Giovannini[21] recueille quant à elle 323 voix (48,64 %). L'écart n'est que de dix-huit voix[22],[23]. Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde d'environ deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux[24]. Georges Cino est réélu maire pour un deuxième mandat le 23 mai avec quinze voix sur dix-neuf[25].
Liste des maires
modifierIdentité | Période | Durée | Étiquette | |
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Début | Fin | |||
François Masclet (d) | années 1800 | |||
Pierre François Boulangé (d) | 14 ans et 9 mois | |||
Augustin Chantreau (d) | 9 ans | |||
Nicolas Houriez (d) (XVIIIe siècle - ) | (mort en cours de mandat) | 2 mois | ||
Par intérim : Pierre André Masclet (d) ( - ) | 9 mois et 18 jours | |||
Pierre André Masclet (d) ( - ) | 22 ans et 7 mois | |||
Charles Tréca (d) | 2 ans et 2 mois | |||
Anselme Houriez (d) | 2 ans et 9 mois | |||
Adonis Brevet (d) | 5 ans et 2 mois | |||
Par intérim : Alexandre Moché (d) | 6 mois | |||
Alexandre Moché (d) | 1 an et 3 mois | |||
Philippe Antoine Masnin (d) | 1 an et 6 mois | |||
Isaïe Héroguer (d) | 2 mois | |||
Adonis Brevet (d) | 6 mois | |||
François Masclet (d) | 3 ans et 2 mois | |||
Honoré Lecouffe (d) | 6 ans et 4 mois | |||
Pierre Joseph Proust (d) (années 1820 - ) | 3 ans et 9 mois | |||
Par intérim : Édouard Houriez (d) ( - ) | 3 mois | |||
Édouard Houriez (d) ( - ) | 8 ans | |||
Honoré Lecouffe (d) | 3 ans | |||
Fleury Masnin (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 3 ans et 4 mois | ||
Édouard Houriez (d) ( - ) | (mort en cours de mandat) | 4 ans et 3 mois | ||
Joseph Lecouffe (d) | 12 ans et 8 mois | |||
André Masnin (d) | 3 ans et 1 mois | |||
Par intérim : Antoine Joseph Brevet (d) | 1 mois | |||
Antoine Joseph Brevet (d) | ||||
Paul Gambier (d)[26] ( - ) | 30 ans | Parti communiste français | ||
Pierre Dubois (d)[27] | 13 ans | Parti communiste français | ||
Georges Cino (d)[28],[29] (né le ) | En cours | 10 ans, 6 mois et 29 jours | divers gauche indépendant |
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2021, la commune comptait 1 910 habitants[Note 5], en évolution de −2 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 873 hommes pour 1 063 femmes, soit un taux de 54,91 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
modifier- La chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours.
- La chapelle Notre-Dame-de-la-Visitation.
- L'oratoire Notre-Dame-des-Orages.
- L'église Notre-Dame-de-la-Visitation, église neuve consacrée en 1816 fut bâtie sur l'emplacement de l'ancienne. Les fonts baptismaux en grès sont aux armes de Berlaymont avec date de 1598.
- Le donjon d'Escaillon est cité dans les annales des XIVe et XVe siècles. Il était tenu du chapitre de Saint-Amé de Douai, bien que le gros de la seigneurie fût soumis à une autre suzeraineté. Il était situé dans la partie élevée du village à proximité de l'église au bord de l'Escaillon. Vers 1855, un château à tourelles fut bâti en son emplacement[36].
- La motte, qui subsiste en partie, de profil tronconique, a un diamètre à sa base de 50 à 55 mètres pour 45 mètres au sommet et mesure 5 mètres de hauteur. Érigée probablement au XIIe siècle, elle est bordée au sud-est d'une basse-cour à côté de l'église. Les premières constructions ont été une tour carrée central en bois de 6 mètres de côté, une maison sur sablière basse, un fond de cabane avec la trace d'un métier à tisser et des fosses-dépotoirs. Il est probable qu'une palissade en bois ceignait la plateforme sommitale. Au XIVe siècle, ces bâtiments disparaissent et laissent place à un donjon en pierre carrée de 10 mètres de côté. Ce donjon présentait « deux nefs et trois travées reposant sur deux piliers centraux et couverts par des voûtes d'arêtes » au-dessus d'une cave. La plateforme sommitale quant à elle prenait appui sur un mur de chemise qui entourait la motte à son sommet, épais de 3 mètres et percé d'une porte large de 2 mètres à l'opposé du donjon[37].
Personnalités liées à la commune
modifierSeigneurs de Robersart
modifierSeigneurs hennuyers au service des rois d'Angleterre (1326-1450)[38] :
- Thierry de Robersart, fils du Borgne de Robersart seigneur des fiefs d'Ecaillon et de Bruille dit le "Chanoine d'Ecaillon", né en 1340 décédé le 14 décembre 1387
- En 1420, relaté par le chroniqueur Enguerrand de Monstrelet, Jean de Robersart (1370-1450), fils de Thierry de Robersart seigneur d'Escaillon et de Bruille, enlève la duchesse Jacqueline, comtesse de Hainaut, pour la conduire en Angleterre. Le roi d'Angleterre lui donna entre autres la ville de Saint-Sauveur-le-Vicomte[39].
- Loys de Robersart naturalisé anglais en 1416, chevalier de l'ordre de la Jarretière et Lord, frère de Jean de Robersart
Folklore
modifierLa commune a pour géant Fraisinou[40], créé en 2003 et reconstruit en 2011.
Fraison et Fraisette, créés en 2002, ont disparu[41], incendiés en 2014.
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Valenciennes (partie française) comprend une ville-centre et 55 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique d'Écaillon » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Page 614 Statistique archéologique du Département du Nord. Seconde partie-1867-archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Sandre, « le Courant du Champs des Eaux »
- Sandre, « le fossé de la Rouge Croix »
- Sandre, « le Marais »
- « Fiche communale d'Écaillon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Écaillon et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Page 615, Statistique archéologique du département du Nord-1875- archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Nello Benedetti, « Tête de la liste « Écaillon pour tous », Georges Cino brigue un second mandat », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. 25.
- Nello Benedetti, « « Écaillon, réunis pour réussir », slogan de Fabienne Giovannini », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24162, , p. 24.
- « Élections municipales, Écaillon », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24165, , p. 32.
- « Élections municipales 2020 - 1er tour, Écaillon », L'Observateur du Douaisis, no 897, , p. 8.
- « Cinquante-quatre maires du Douaisis installés entre le 23 et le 28 mai », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
- « Un deuxième mandat pour Georges Cino », L'Observateur du Douaisis, no 907, , p. 20.
- Odette Hardy-Hémery, « GAMBIER Paul, Henri », Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, : « Né le 28 janvier 1920 à Écaillon (Nord), mort en juin 2009 ; ouvrier du jour aux mines ; syndicaliste et militant communiste du Nord ; déporté ; maire d’Écaillon (1971-2001). »
- « Écaillon : Pierre Dubois surpris et déçu du résultat des municipales », La Voix du Nord, : « Le maire sans étiquette a en effet été balayé après trois mandats dès le premier tour par son adversaire divers gauche, Jacques Pereira, 60,11 % contre 39,89 %. »
- « Écaillon : Georges Cino succède à Pierre Dubois en tant que maire », La Voix du Nord, : « Georges Cino a été logiquement choisi par les membres du conseil, en l’absence des trois élus de l’opposition. »
- Benjamin Dubrulle, Julien Gilman et Stéphane Labdant (infographie), « Municipales : la nouvelle carte politique du Douaisis », La Voix du Nord, Lille, no 24270, , p. 10 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :
.« Écaillon : sans étiquette »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écaillon (59185) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- Page 615, Statistique archéologique du département du Nord. Seconde partie -1867- archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 351.
- Bibliothèque du Moyen Age ; Philippe le Bon, sa politique et son action par Paul Bonenfant, études présentées par A-M Bonenfant-Feytmans, De Boeck université numérisé par Google Books.
- Page 615, statistique archéologique du département du Nord, datant de 1875, archivé au Harvard College Library numérisé par Google Books.
- « Auberchicourt : Aubert le loup entre officiellement dans la cour des géants », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, : « Tous ses amis géants des communes alentour étaient là : le Baudet, de Monchecourt, Fraisinou, d'Écaillon, Floris de Montmorency, de Montigny-en-Ostrevent, Philipotte de Lannoy, d'Hordain et Kopierre, d'Aniche. ».
- Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596, , p. 14-15