Groupe Ensemble pour la République
Le groupe Ensemble pour la République (abrégé en EPR) — dénommé entre 2022 et 2024 groupe Renaissance et de 2017 à 2022 groupe La République en marche[N 1] — est le groupe parlementaire de l'Assemblée nationale constitué autour du parti Renaissance.
Groupe Ensemble pour la République (EPR) | |
Chambre | Assemblée nationale |
---|---|
Législature(s) | XVe, XVIe et XVIIe (Cinquième République) |
Fondation | |
Ancien(s) nom(s) | La République en marche (2017-2022) Renaissance (2022-2024) |
Partis membres | Renaissance Parti radical Fédération progressiste Calédonie ensemble Générations NC Tapura huiraatira |
Président | Gabriel Attal |
Représentation | 94 / 577 |
Positionnement | Centre gauche à droite, voire extrême centre ou Centre liberal |
Idéologie | Social-libéralisme Fédéralisme européen Troisième voie Europhilie |
modifier |
Il est constitué à la suite des élections législatives de 2017, qui lui donnent la majorité absolue des sièges durant la XVe législature. Le groupe perd cette majorité le en raison de la constitution d'un nouveau groupe, Écologie démocratie solidarité et connaît la plus forte baisse d'effectif pour un groupe majoritaire sous la Ve République.
À la suite des élections législatives de 2022, il est le principal groupe sous la XVIe législature sans pour autant disposer de la majorité absolue, y compris avec ses alliés. Sous la XVIIe législature, le groupe devient l'une des trois composantes minoritaires de l'assemblée à la suite des élections législatives de 2024.
Activité législative
modifierVote des lois
modifierLes lois pour la confiance dans la vie politique sont les premiers textes adoptés, promulgués le . Celles-ci prévoient notamment la suppression de la réserve parlementaire, la prévention des conflits d’intérêt et un contrôle renforcé de l’indemnité représentative de frais de mandat.
Début 2018, à l’approche de la présentation du projet de loi asile-immigration par Gérard Collomb, une centaine de députés LREM s'oppose à une proposition de loi souhaitée par le gouvernement et portant sur les conditions du placement en centre de rétention des étrangers soumis au règlement européen sur l’asile[2]. Contexte relève que « c’est la première fois qu’un groupe de parlementaires LRM dépose des amendements contre l’avis du gouvernement et les défend en commission et dans l’hémicycle, exprimant ainsi publiquement un désaccord politique »[3]. Lors du vote final en première lecture du projet de loi asile et immigration, le député Jean-Michel Clément vote contre et quitte le groupe LREM[4]. Par ailleurs, 14 députés LREM s'abstiennent sur ce vote[5]. Mediapart ajoute que 99 députés LREM « n’ont pas participé au vote, dont une partie pour ne pas se prononcer sur un projet de loi qu’elles n’approuvaient pas »[5].
En , la députée Aina Kuric vote contre le projet de loi asile et immigration en deuxième lecture en raison de l'amendement ajouté qui modifie les conditions d'accès à la nationalité française à Mayotte[6],[7], ce qui lui vaut un avertissement[8].
En décembre 2018, en pleine crise des Gilets Jaune, le député Sébastien Nadot vote contre le budget qu'il juge muet sur les questions sociales et environnementales et est exclu du groupe LREM[9].
En , le groupe connaît un record d'abstention (50 députés de la majorité) lors du vote de la « loi anti-casseurs »[10]. Ce record est battu en avec le vote de ratification de l'Accord économique et commercial global, dit CETA : 52 députés LREM s'abstiennent, et neuf votent contre[11],[12]. Gilles Le Gendre assure cependant qu'il ne procédera pas à l'exclusion de ces neuf députés, indiquant : « L’exclusion est réservée à des cas précis prévus par [le] nouveau règlement intérieur. En l’occurrence, voter contre le budget, la confiance au gouvernement ou avoir une expression clairement identifiée comme contraire à la charte [du] groupe[13] ». En , le groupe connaît un nouveau record d'oppositions et d'abstentions à un texte : seulement 175 des 271 membres votent en faveur du texte prévoyant la réintroduction temporaire des néonicotinoïdes pour la filière betteraves ; 32 votent contre et 36 s'abstiennent[14].
Exceptionnellement, les députés LREM se voient accorder la liberté de vote sur le projet de loi bioéthique[15]. Lors du vote en deuxième lecture, où la plupart des groupes avait accordé la liberté de vote à ses députés[16], le groupe LREM avait selon le site Datan un taux de cohésion[17] de 0,73[18], un taux particulièrement faible (45 députés LREM ont voté pour, 7 contre et 3 se sont abstenus).
Volume d'activité
modifierAprès six mois de législature, un classement établi par Capital situe La République en marche ! comme le parti dont les députés sont les moins actifs en moyenne[19]. Les députés du groupe contestent la méthodologie de ce classement, qui serait structurellement plus favorable aux groupes d'opposition selon eux[20].
Après un an de législature, Contexte, s'appuyant sur sa comparaison « des données de l’Assemblée sur l’activité parlementaire entre la première année des députés marcheurs (juin 2017-juin 2018) et celle des élus socialistes de l’ère Hollande (juin 2012-juin 2013) », estime que « l’arrivée massive des nouveaux députés macroniens à l’Assemblée en juin 2017 a juste entraîné une accélération du rythme de travail, pas une révolution des pratiques »[21]. À la même période, Les Jours indique que la moyenne du taux de présence aux votes de l'Assemblée du groupe LREM est de 26 % ; il est le groupe le plus présent après celui de La France insoumise[22]. Les députés sortants sont, en moyenne, beaucoup plus absents que ceux élus pour la première fois en 2017[22].
Amendements
modifierAu début de la législature, les membres du groupe REM ont interdiction, selon l'article 16 de leur règlement, de signer des amendements proposés par d'autres groupes, y compris alliés, sous peine de sanctions[23],[24]. Cette interdiction avait été mise en place par Bruno Le Roux au sein du groupe socialiste, en 2012[24]. Tous les amendements du groupe doivent être soumis �� des « réunions de balayage » dirigées par le coordinateur du groupe sur le texte, les députés ne déposant leur amendement que s’il est validé[25] : ce dispositif a lui aussi été copié sur celui du groupe socialiste de la précédente législature[26]. Contexte indique en que « depuis le début de la législature, aucun responsable de texte n’a été mis sérieusement en difficulté par la pression des députés de base » lors de ces réunions de balayage[26].
Le groupe s'affranchit parfois de l'avis du gouvernement sur ses amendements : Mediapart relève ainsi que « dans un bras de fer au sujet du budget du Centre national pour le développement du sport (CNDS), les députés avaient réussi à faire plier l’exécutif » ; de même, ils parviennent, en , « contre l’avis du gouvernement, à faire interdire la rémunération des assistants parlementaires par les lobbies »[27]. En , en comparaison avec la première année du groupe PS en 2012-2013, Contexte observe que « le nombre d’amendements déposés et adoptés est aussi en hausse, notamment de la part de la majorité. Sur les 11 premiers mois d’activité, la majorité LRM-Modem a déposé 9 582 amendements, contre 4 403 pour la période 2012-2013, selon notre analyse »[21].
Selon Contexte qui cite « plusieurs observateurs », le classement de Capital de « a fait basculer les pratiques. Cet article répertoriait le nombre d’amendements déposés et de prises de parole en séance et en commission. Pour avoir respecté les règles de fonctionnement du groupe, de nombreux députés de la majorité se sont retrouvés mal évalués et critiqués sur le terrain par leurs électeurs. La réaction a été immédiate. Les élus LRM ont commencé à déposer des amendements de manière individuelle, au point d’amener le groupe à réfléchir, en juin, à revoir son dispositif, désormais dépassé »[21].
Le dépôt d'amendements individuels par des députés du groupe LREM augmente dans les semaines qui suivent l'adoption de la loi asile-immigration, au point que Richard Ferrand confie à deux de ses proches, les députés Gilles Le Gendre et Pacôme Rupin, la mission de réfléchir à la façon d’en réduire le nombre[28].
En , après que Marc Fesneau, candidat du groupe MoDem à la présidence de l'Assemblée, a recueilli les voix de certains députés du groupe LREM au détriment de Richard Ferrand, Christophe Castaner, délégué général du parti et ministre des Relations avec le Parlement, accepte que les députés MoDem puissent cosigner des amendements de députés LREM[29]. En , dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de budget pour 2019, l'Assemblée nationale adopte de justesse (par 22 voix contre 20) un amendement du groupe MoDem excluant l'huile de palme de la liste des biocarburants, contre l'avis du gouvernement et du rapporteur général : le groupe MoDem obtient en effet le soutien de tous les groupes d'opposition ainsi que 5 LREM, le groupe UDI, Agir et indépendants étant partagé[30].
En , dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), 34 députés LREM menés par Jean-François Cesarini défendent un amendement visant à rendre plus progressive la hausse de la contribution sociale généralisée (CSG) : celui-ci est adopté en commission des Affaires sociales grâce au renfort de députés de l’opposition et de certains MoDem, contre l’avis du groupe LREM et du rapporteur général du PLFSS, Olivier Véran, ce qui occasionne « un remontage des bretelles » de la part de Gilles Le Gendre, président du groupe LREM. Pour Libération, cet amendement vient « torpiller les efforts déployés par le gouvernement pour tenter de refermer une bonne fois pour toutes l’épineux dossier CSG » alors que « cette mesure, en vigueur depuis le 1er janvier 2018, est emblématique du début du quinquennat »[31].
Relations au sein du groupe
modifierLa presse fait état durant l'été 2017 d'une cohabitation difficile entre les 27 députés réélus et ceux élus pour la première fois, les premiers regrettant que les seconds ne cherchent pas à s'appuyer sur leur expérience[32]. Des députés d'autres formations jugent le groupe majoritaire « apathique » et peu enclin à débattre des amendements[33].
Dès , la gestion du président Richard Ferrand est contestée et ses inflexions pour préserver la réserve parlementaire ou remettre en cause le projet d'obliger les candidats à une élection à avoir un casier judiciaire vierge mal comprises[34].
À partir de l'été 2018, la presse observe une dégradation des relations au sein du groupe LREM, visible à travers des amendements votés contre l’avis du gouvernement, des tentatives d’infléchir la ligne à gauche ou vers plus d’écologie, des rivalités internes plus fortes pour les postes à responsabilités, ou encore une démobilisation croissante lors de la réunion hebdomadaire du groupe ou aux séances de questions d’actualité[35],[36]. Le Huffington Post indique que « s'ils ont pu remettre en cause la gestion de l'affaire Benalla par l'Élysée ou si certains ont émis des doutes sur la manière avec laquelle le dossier Aquarius a été géré, aucun parlementaire LREM ne critique frontalement Emmanuel Macron », contrairement aux députés frondeurs de la précédente législature qui étaient « très structurés avec des leaders et un courant qui pesait au sein du parti »[35]. Contexte indique que « contrairement au groupe PS entre 2012 et 2017, les marcheurs ne sont pas structurés en courants politiques. Les coalitions se montent de manière informelle, au gré des textes, mais également des rencontres dans les couloirs ou des affinités préexistantes »[26].
Collectifs
modifierFin 2017, un groupe d'une trentaine de députés se forme autour de Brigitte Bourguignon : celui-ci revendique une « fibre sociale » et apparaît comme l'aile gauche du groupe parlementaire[37]. Sonia Krimi prend la tête de ce groupe à l'automne 2018[38]. En , un « Collectif social-démocrate », composé d'une vingtaine de députés, se crée au sein du groupe avec pour objectif d'en réunir l'aile gauche[39],[40].
En , des députés du groupe LREM tentent de créer derrière François-Michel Lambert et Paul Molac un nouveau groupe parlementaire, plus impliqué sur les questions de changement climatique[41]. Cette démarche aboutit à la création du groupe Libertés et territoires à la rentrée.
En , une vingtaine de députés LREM élus en milieu rural créent, à l'initiative de Benoît Simian, le « Cercle girondin LREM » : celui-ci vise à répondre à la critique du « manque d’ancrage local de la majorité »[42].
En , un groupe de députés LREM fait part publiquement, sur Twitter, de son profond désaccord à l'égard de la proposition de Jean-Michel Blanquer d'instaurer des sanctions financières contre les familles d’adolescents à problèmes : selon Mediapart, « c’est la première fois que, dans le même temps, un tel collectif informel de parlementaires prend la parole de manière concomitante sur les réseaux sociaux »[43].
Plusieurs membres et anciens membres du groupe majoritaire fondent en un groupe parlementaire dissident, Écologie, démocratie et solidarité. Ils sont menés par Matthieu Orphelin et Paula Forteza[44].
Au sein du groupe se crée en 2020 le mouvement «En commun », d'abord constitué comme association puis comme parti politique, tout en restant membre de la majorité. Situé sur l'aile gauche de la majorité, à connotation écologique et sociale, il compte en environ 500 adhérents payants, dont une cinquantaine de parlementaires. Il est présidé par Philippe Hardouin, un dirigeant d'entreprise, et compte trois vice-présidents : Barbara Pompili, Hugues Renson et Jacques Maire[45].
Élections internes
modifierEn , à mi-mandat, quelque 90 députés de la majorité présidentielle sont candidats aux 22 postes remis en jeu au sein du groupe[46]. La plupart des sortants aux postes importants sont réélus, le renouvellement intervenant sur des fonctions de second rang : les sept postes de secrétaire siégeant au bureau de l'Assemblée changent de titulaire[47],[48].
Composition
modifierAprès avoir compté 314 députés au début de la législature, le groupe LREM en compte 268 en , (266 membres et 2 apparentés)[49],[50],[51]. Il s'agit d'une baisse record pour un groupe majoritaire sous la Ve République[49]. Le groupe perd la majorité absolue en [49].
Parmi les candidats présentés aux élections législatives 2017, 52 % appartenaient à la société civile et n'avaient jamais exercé de mandat électif[52].
Ces élections législatives vont avoir pour principal écho : le renouvellement significatif de l'Assemblée et de ses 577 membres. Avec 308 élus, La République en marche revendique deux tiers des nouveaux députés, soit 281 sur 424 novices[53]. Selon Le Parisien, au début de la législature, 169 députés LREM n'ont jamais exercé le moindre mandat (et 98 d'entre eux n'ont aucune couleur politique connue) ; la gauche (PS, PRG, écologistes, DVG) est de loin la plus représentée des tendances avec 126 députés, dont 83 ont été élus ou ont eu une activité partisane sous la bannière socialiste ; enfin, 48 élus viennent de la droite (UDI, LR, DVD) et 17 des centristes[54]. 77 députés LREM sont des anciens élus et/ou militants socialistes[55]. Le groupe est composé à 10 % de chefs d’entreprise et à 21 % de cadres du privé[56].
DÉPUTÉS ISSUS DE LA GAUCHE
- Parti socialiste et apparentés (87 députés)
- Anciens députés : Frédéric Barbier, Yves Blein, Éric Bothorel, Florent Boudié, Brigitte Bourguignon, Jean-Jacques Bridey, Christophe Castaner, Jean-Michel Clément, Yves Daniel, Françoise Dumas, Sophie Errante, Richard Ferrand, Monique Iborra, Jacqueline Maquet, Gwendal Rouillard, Jean-Louis Touraine, Stéphane Travert, Olivier Véran.
- Anciens élus ou adhérents: Saïd Ahamada, Gabriel Attal, Florian Bachelier, Delphine Bagarry, Didier Baichère, Belkhir Belhaddad, Pascale Boyer, Anne Brugnera, Danielle Brulebois, Carole Bureau-Bonnard, Céline Calvez, Lionel Causse, Jean-René Cazeneuve, Sébastien Cazenove, Anthony Cellier, Jean-François Cesarini, Philippe Chalumeau, Philippe Chassaing, Mireille Clapot, Jean-Charles Colas-Roy, Michel Delpon, Christophe Di Pompeo, Nicole Dubré-Chirat, Stella Dupont, Pascale Fontenel-Personne, Jean-Luc Fugit, Olivier Gaillard, Guillaume Gouffier-Cha, Benjamin Griveaux, Sacha Houlié, Hubert Julien-Laferrière, Fadila Khattabi, Rodrigue Kokouendo, Anne-Christine Lang, Didier Le Gac, Nicole Le Peih, Fabrice Le Vigoureux, Monique Limon, Mounir Mahjoubi, Jacques Maire, Jacques Marilossian, Sandra Marsaud, Marjolaine Meynier-Millefert, Richard Lioger, Patricia Mirallès, Jean-Michel Mis, Cécile Muschotti, Mickaël Nogal, Catherine Osson, Didier Paris, Alain Péréa, Pierre Person, Michèle Peyron, Jean-François Portarrieu, Éric Poulliat, Laurianne Rossi, Pacôme Rupin, Laurent Saint-Martin, Benoît Simian, Denis Sommer, Joachim Son-Forget, Aurélien Taché, Buon Tan, Adrien Taquet, Jean Terlier, Stéphane Testé, Valérie Thomas, Stéphane Trompille, Jean-Marc Zulesi.
- Divers gauche (17 députés)
- Ancien député : Paul Molac, Hervé Pellois (exclu du PS en 2012)
- Anciens élus ou candidats : Albane Gaillot, Bruno Fuchs, Olga Givernet, François Cormier-Bouligeon, Sereine Mauborgne, Fabienne Colboc, Anissa Kheder, Christelle Dubos, Christophe Lejeune, Daniel Labaronne, Didier Martin, Olivier Serva, Hélène Zannier, Liliane Tanguy, Christophe Arend.
- Parti radical de gauche (8 députés)
- Anciens députés : Joël Giraud, Alain Tourret, Jacques Krabal (également membre de Cap21)
- Ancien sénateur : Stéphane Mazars
- Anciens élus ou adhérents : Stéphanie Kerbarh, Anne Blanc, Bruno Questel, Marie-Ange Magne.
- Cap21 - Le Rassemblement citoyen (4 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Pierre Cabaré, Nicole Dubré-Chirat, Rémy Rebeyrotte, Mireille Robert
- Parti écologiste (3 députés)
- Anciens députés : François de Rugy, Barbara Pompili.
- Anciens élus ou adhérents : Guillaume Vuilletet.
- Europe Écologie Les Verts (3 députés)
- Ancien député : Éric Alauzet
- Anciens élus ou candidats : Matthieu Orphelin, Yannick Kerlogot.
- Mouvement des progressistes (2 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Cécile Rilhac, Sébastien Nadot.
- Union des démocrates et des écologistes - Front démocrate (1 député)
- Ancien député : François-Michel Lambert.
DÉPUTÉS ISSUS DU CENTRE
- Mouvement démocrate (10 députés)
- Ancien député : Jean-Pierre Pont (député UDF de 1993 à 1997)
- Anciens élus ou adhérents : Christine Hennion, Philippe Berta, Christophe Blanchet, Claire O'Petit, Erwan Balanant, Isabelle Florennes, Jean-Philippe Ardouin, Sandrine Josso, Sylvain Waserman.
DÉPUTÉS ISSUS DE LA DROITE
- Union des démocrates et indépendants (16 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Bertrand Bouyx, Bruno Studer, Martine Leguille-Balloy, Typhanie Degois, Aude Bono-Vandorme, Christine Cloarec, Frédérique Dumas, Isabelle Rauch, Jean-Bernard Sempastous, Laurence Gayte, Loïc Dombreval, Marion Lenne, Michèle Crouzet, Philippe Huppé (membre du Parti radical), Sylvain Maillard, Xavier Roseren.
- Divers droite (16 députés)
- Anciens élus ou adhérents : Jean-François Eliaou, Marie Lebec, Natalia Pouzyreff, Olivia Grégoire, Xavier Batut, Annie Vidal, Bérangère Abba, Christophe Jerretie, Fabien Matras, Thomas Gassilloud, Jean-Claude Leclabart, Corinne Vignon, Stéphane Buchou, Danièle Cazarian, Isabelle Muller-Quoy, Elisabeth Toutut-Picard.
- Les Républicains (10 députés)
- Ancien député : Bruno Le Maire
- Anciens élus ou adhérents : Amélie de Montchalin, Dimitri Houbron, Damien Pichereau, Hugues Renson, Romain Grau, Marie Guévenoux, Aurore Bergé, François Jolivet, Alexandra Valetta-Ardisson.
Le premier secrétaire général du groupe LREM, Jérôme Taillé-Rousseau, était auparavant secrétaire général-adjoint du groupe socialiste à l'Assemblée[24]. Après l'élection de Gilles Le Gendre à la présidence en , il est remplacé par Pierre Herrero, ex-directeur de cabinet à l’École polytechnique[58].
Effectifs et dénomination
modifierLégislature | Année | Nom | Nombre de membres |
Nombre d’apparentés |
Nombre de députés |
Évolution | Pourcentage |
---|---|---|---|---|---|---|---|
XVe | 2017 | La République en marche | 309 | 5 | 314 | Nv. | 54,42 % |
2022 (fév.) | 263 | 4 | 267 | 47 | 46,27 % | ||
XVIe | 2022 (juin) | Renaissance | 168 | 4 | 172 | 95 | 29,81 % |
XVIIe | 2024 | Ensemble pour la République[59] | 87 | 12 | 99 | 73 | 17,25 % |
2024 (sept.)[60] | 84 | 11 | 95 | 4 | 16,46 % | ||
2024 (oct.)[60] | 83 | 11 | 94 | 1 | 16,29 % |
Organisation
modifierPrésidents
modifierListe des présidents successifs
modifierPortrait | Nom | Dates du mandat | Notes | |
---|---|---|---|---|
Richard Ferrand | Député du Finistère, il est élu en 2017 et devient le premier président du groupe LREM à l'Assemblée nationale. Il quitte cette fonction en 2018 lorsqu'il est élu Président de l'Assemblée nationale. | |||
Gilles Le Gendre | Député de Paris, il est élu président en 2018 puis réélu en 2019. Il quitte cette fonction en 2020. | |||
Christophe Castaner | Député des Alpes-de-Haute-Provence, il est élu président en 2020. Il perd son mandat de député lors de l'élection législative de 2022. | |||
Aurore Bergé | Députée des Yvelines, elle est élue présidente du groupe désormais nommé Renaissance en 2022. Elle quitte cette fonction à la suite de sa nomination comme ministre des Solidarités et des Familles. | |||
Sylvain Maillard | 9 juin 2024 | Député de Paris, il est élu président du groupe Renaissance en 2023. | ||
Gabriel Attal | 18 juillet 2024 | En cours | Député des Hauts-de-Seine, il est élu président du groupe Ensemble pour la République en 2024. |
Élection du président du
modifierCandidat | Premier tour | ||
---|---|---|---|
Voix | % | ||
Gilles Le Gendre | 161 | 54,58 | |
Florent Boudié | 76 | 25,76 | |
Olga Givernet | 28 | 9,49 | |
Perrine Goulet | 17 | 5,76 | |
Christophe Jerretie | 12 | 4,07 | |
Stéphanie Do | 1 | 0,34 |
Élection du président des 9 et
modifierCandidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Christophe Castaner | 97 | 35,06 | 145 | 54,72 | |
Aurore Bergé | 81 | 30,11 | 120 | 45,28 | |
François de Rugy | 59 | 21,93 | |||
Coralie Dubost | 26 | 9,67 | |||
Patrice Anato | 6 | 2,23 |
Élection du président du
modifierCandidat | Premier tour | ||
---|---|---|---|
Voix | % | ||
Aurore Bergé | 88 | 57,52 | |
Guillaume Vuilletet | 29 | 18,95 | |
Rémy Rebeyrotte | 25 | 16,34 | |
Stella Dupont | 11 | 7,19 |
Élection du président du
modifierCandidat | Premier tour | ||
---|---|---|---|
Voix | % | ||
Sylvain Maillard | 132 | 80,00 | |
Frédéric Descrozaille | 33 | 20,00 |
Présidentes déléguées
modifierPériode | Identité | Parti | Qualité | ||
---|---|---|---|---|---|
22 juin 2022 | Aurore Bergé | LREM | Présidente du groupe LREM (2022-2023) | ||
Coralie Dubost | LREM |
Vice-présidents
modifierSecrétaires
modifierPériode | Identité | Parti | Qualité | ||
---|---|---|---|---|---|
13 septembre 2023 | 9 juin 2024 | Émilie Chandler | LREM puis RE | Députée de la 1re circonscription du Val-d'Oise (depuis 2022) | |
Laurence Cristol | Députée de la 3e circonscription de l'Hérault (depuis 2022) | ||||
Frédéric Descrozaille | Député de la 1re circonscription du Val-de-Marne (depuis 2017) | ||||
Emmanuel Lacresse | Député de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle (depuis 2022) | ||||
Christine Le Nabour | Députée de la 5e circonscription d'Ille-et-Vilaine (depuis 2017) |
Trésoriers
modifierPériode | Identité | Parti | Qualité | ||
---|---|---|---|---|---|
Pacôme Rupin | LREM | Député de la 7e circonscription de Paris (2017-2022) | |||
Stéphanie Do | Députée de la 10e circonscription de Seine-et-Marne (2017-2022) | ||||
Stella Dupont | LREM puis EC | Députée de la 2e circonscription de Maine-et-Loire (depuis 2017) | |||
9 juin 2024 | Béatrice Piron | LREM puis RE | Députée de la 3e circonscription des Yvelines (depuis 2017) | ||
Xavier Roseren | Député de la 6e circonscription de la Haute-Savoie (depuis 2017) |
Secrétaires généraux
modifier- 2017-2018 : Jérôme Taillé-Rousseau
- 2018-2020 : Pierre Herrero
- 2020-2022 : Fanny Le Luel
- 2022-2024 : Deborah Abisror-de Lieme
Porte-paroles
modifierMembres
modifierMembres
modifierSous la XVIIe législature
modifierListe des membres
modifierListe des apparentés
modifierSous la XVIe législature
modifierListe des membres
modifierListe des apparentés
modifierReprésentation partisane
modifierParti | Nombre | |
---|---|---|
Renaissance | 150 | |
En commun | 3 | |
Parti radical | 3 | |
Fédération progressiste | 2 | |
Horizons | 2 | |
Calédonie ensemble | 1 | |
Générations NC | 1 | |
Union des démocrates et indépendants | 1 | |
Divers droite | 1 | |
Divers centre | 1 | |
Total | 169 |
Sous la XVe législature
modifierListe des membres
modifierListe des apparentés
modifierNotes
- Xavier Batut (1976), quitte le parti le [61].
- Frédérique Lardet (1966), quitte le parti le [62].
- Patricia Mirallès (1967), quitte le parti le [63].
Représentation partisane
modifierParti | Nombre | ||
---|---|---|---|
Membres | La République en marche | 167 | |
Territoires de progrès | 49 | ||
En commun | 10 | ||
Parti radical | 7 | ||
Horizons | 5 | ||
Alliance centriste | 4 | ||
Divers centre | 4 | ||
Parti écologiste | 2 | ||
Guadeloupe unie, solidaire et responsable | 1 | ||
Cap sur l'avenir | 1 | ||
Divers gauche | 1 | ||
Sous-total | 251 | ||
Apparentés | La République en marche | 1 | |
Territoires de progrès | 1 | ||
Divers centre | 1 | ||
Divers droite | 1 | ||
Sous-total | 4 | ||
Total | 255 |
Membres du gouvernement retournés à l'Assemblée nationale
modifier# | Nom | Circonscription | Fonction(s) gouvernementale(s) | Date d'entrée au gouvernement | Date de retour | Durée au gouvernement | Source |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Stéphane Travert | 3e circonscription de la Manche | Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation | 1 an, 4 mois et 26 jours | |||
2 | Benjamin Griveaux | 5e circonscription de Paris | 1 an, 10 mois et 7 jours | ||||
3 | Mounir Mahjoubi | 16e circonscription de Paris | Secrétaire d'État chargé du Numérique | 1 an, 11 mois et 11 jours | |||
4 | François de Rugy | 1re circonscription de la Loire-Atlantique | Ministre de la Transition écologique et solidaire | 11 mois et 13 jours | |||
5 | Christophe Castaner | 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence | 3 ans, 2 mois et 18 jours | [64] | |||
6 | Christelle Dubos | 12e circonscription de la Gironde | Secrétaire d'État auprès du ministre des Solidarités et de la Santé | 1 an, 9 mois et 19 jours | [64] | ||
7 | Brune Poirson | 3e circonscription de Vaucluse | Secrétaire d'État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire | 3 ans, 1 mois et 14 jours | [64] |
Anciens membres
modifierMembres du gouvernement
modifierAutres
modifierMembres du bureau de l’Assemblée nationale
modifierLe président de l'Assemblée nationale a été élu le et il est issu du groupe :
- François de Rugy (1973), élu de la Loire-Atlantique (première circonscription) ;
- Richard Ferrand (1962), élu du Finistère (sixième circonscription), le remplace le après la nomination de de Rugy au ministère de la Transition écologique et solidaire.
Présidents de commission
modifierDepuis le , au début de la XVe législature, six des huit commissions de l’Assemblée nationale sont présidées par un membre du groupe[86] :
- Bruno Studer (1978), élu du Bas-Rhin (troisième circonscription), président de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation ;
- Roland Lescure (1966), élu des Français établis hors de France (première circonscription), président de la commission des Affaires économiques ;
- Fadila Khattabi (1962), élue de Côte d'Or (troisième circonscription), présidente de la commission des Affaires sociales.
- Jean-Jacques Bridey (1953), élue du Val-de-Marne (septième circonscription), président de la commission de la Défense nationale et des Forces armées ;
- Véronique Riotton (1969), élue de la Haute-Savoie (première circonscription), présidente de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire ;
- Yaël Braun-Pivet (1970), élue des Yvelines (cinquième circonscription), présidente de la commission des Lois.
Identité visuelle
modifier-
Première version du logotype (2017-2022).
-
Seconde version du logotype (2022).
-
Troisième version du logotype (2022-2024).
-
Quatrième version du logotype (2024).
-
Cinquième version du logotype (depuis 2024).
Notes et références
modifierNotes
modifier- Souvent abrégé en LREM (Le Figaro, Libération), REM, LRM (Le Monde) ou LaREM[1].
Références
modifier- « Communiqué de presse : nouveaux statuts de LaREM », sur en-marche.fr, .
- Manon Rescan, « Asile : la fronde anti-Collomb gronde au sein de la majorité », Le Monde, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « Les députés LRM entrent progressivement dans le moule parlementaire », sur contexte.com, (consulté le ).
- Agence France-Presse, « Loi asile : Jean-Michel Clément quitte la majorité après avoir voté contre le texte », sur Le Point, (consulté le ).
- Manuel Jardinaud, « A l’Assemblée, le groupe LREM secoué par son « aile gauche », sur Mediapart, (consulté le ).
- Alexandre Boudet, « Aina Kuric, nouvelle frondeuse au sein du groupe LaREM », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- « Une députée LREM en passe d'être exclue du groupe pour avoir voté contre le projet de loi immigration », sur France Info, (consulté le ).
- Arthur Berdah, « Ferrand épargne la députée LaREM qui a voté contre la loi asile-immigration », Le Figaro, (consulté le ).
- « Ils ont fait l'actu. Sébastien Nadot, exclu de LREM mais la conscience tranquille », sur France Info, (consulté le ).
- « Loi anti-casseurs: abstention record des députés LREM à l'Assemblée », sur rfi.fr, (consulté le ).
- « Le CETA voté par l'Assemblée : record d'abstention chez LREM », Marianne, (lire en ligne).
- Elisa Perrigueur, « Le Ceta est adopté par l’Assemblée nationale », mediapart.fr, (consulté le ).
- « Gilles Le Gendre : « La cohésion est un objectif constant, pas une crainte » », Le Figaro, no 23310, , p. 5 (lire en ligne, consulté le ).
- AFP, « Néonicotinoïdes: record de votes contre et d'abstentions parmi les députés LREM », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- Jean-Baptiste Daoulas, « Agnès Thill, missionnaire anti-PMA d'En Marche », sur lexpress.fr, (consulté le ).
- « Loi bioéthique : l’Assemblée adopte le projet de loi en deuxième lecture », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Simon Hix, « Power to the Parties: Cohesion and Competition in the European Parliament, 1979–2001 », British Journal of Political Science, , p. 215 (lire en ligne)
- « Vote no 2856 - Vote final - Bioéthique | Datan », sur Datan.fr (consulté le ).
- « Les députés d'En marche, cancres de l'Assemblée... Notre classement », sur Capital.fr, (consulté le ).
- Laure Equy, « Accusés de manquer d'assiduité, les députés LREM protestent », sur liberation.fr, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « En 2017, la surchauffe de l’Assemblée a été pire qu’en 2012 », sur contexte.com, (consulté le ).
- Wedodata, « Les députés En marche traînent les pieds », sur Les Jours, (consulté le ).
- « Un député LR fustige l'interdiction pour les LREM de signer des amendements d'autres groupes », Orange Actualités, (lire en ligne, consulté le )
- Étienne Girard, « Les députés LREM... interdits de collaborer avec leurs alliés à l'Assemblée », sur marianne.net, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « Le premier kilomètre des marcheurs à l’Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « La réunion de balayage, un lieu de pouvoir au sein du groupe LRM », sur contexte.com, (consulté le ).
- Loup Espargilière, « Les députés macronistes: une machine législative à l’identité politique incertaine », sur Mediapart, (consulté le ).
- Manuel Jardinaud et Ellen Salvi, « Richard Ferrand, l’homme qui ne voulait pas être là », sur Mediapart, (consulté le ).
- Samuel Le Goff, « Une rentrée tourmentée pour un groupe LRM en panne de leadership », sur contexte.com, (consulté le ).
- « L'Assemblée exclut l'huile de palme des biocarburants, contre l'avis du gouvernement », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- Laure Equy et Lilian Allemagna, « Sur la CSG, la vraie-fausse fronde des députés LREM », sur liberation.fr, (consulté le ).
- Alexandre Lemarié et Manon Rescan, « Les députés LRM, entre culture d’entreprise et discipline de parti », lemonde.fr, (consulté le ).
- Manon Rescan, « Les débuts difficiles des LRM à la commission des lois », lemonde.fr, (consulté le ).
- Marc de Boni, « Contesté dans sa majorité, Richard Ferrand voit naître un début de fronde », lefigaro.fr, (consulté le ).
- Alexandre Boudet, « Pourquoi les frondeurs LREM ne ressemblent pas encore à ceux du PS », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- Nathalie Segaunes et Caroline Vigoureux, « Entre députés En Marche, la fin de la bienveillance », sur lopinion.fr, (consulté le ).
- Arnaud Focraud, « L'aile gauche d'En Marche commence à prendre forme », sur lejdd.fr, (consulté le ).
- « La députée LRM Sonia Krimi reprend le « pôle social » de Brigitte Bourguignon », sur contexte.com, (consulté le ).
- Manuel Jardinaud, « Un «Collectif social-démocrate» se crée au sein du groupe LREM à l’Assemblée », sur Mediapart, (consulté le ).
- Les sept familles LREM à l'Assemblée, publicsenat.fr, 17 juin 2018, par Anne-Pascale Reboul, avec AFP
- Le JDD, « Des députés En marche tentent une nouvelle fois de créer un autre groupe parlementaire », lejdd.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Nathalie Segaunes, « Un «cercle girondin» au sein de la macronie », sur lopinion.fr, (consulté le ).
- Manuel Jardinaud, « A l’Assemblée, le groupe LREM chahuté par les tenants d’un virage social », sur Mediapart, (consulté le ).
- Anne-Charlotte Dusseaulx, « Assemblée nationale : voici le logo du nouveau groupe « Écologie démocratie solidarité » », Le Journal du dimanche, (consulté le ).
- Le Figaro avec AFP, « Majorité : le courant «En Commun!» de Pompili devient un parti », Le Figaro, (consulté le ).
- Le Figaro avec AFP, « Renouvellement des postes clés LREM : 90 candidatures in fine », Le Figaro, (consulté le ).
- « Assemblée: le renouvellement à LREM, ça eut payé », L'Opinion, (lire en ligne, consulté le ).
- Samuel Le Goff, « Renouvellement des postes à l’Assemblée, LRM choisit la stabilité » (consulté le ).
- Loris Boichot, « L’hémorragie des députés de la majorité est-elle inédite? », Le Figaro, (consulté le ).
- Laura Motet, Mariama Darame et Julie Carriat, « A l’Assemblée nationale, la lente érosion d’un bloc La République en marche de plus en plus fracturé », Le Monde, (consulté le ).
- « Groupe La République en Marche », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
- « En marche : la moitié des candidats et candidates issus de la société civile »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Libération, (consulté le ).
- « En marche : des députés aux bancs d'essai », sur Libération, (consulté le ).
- Pauline Théveniaud et Victor Alexandre, « Assemblée nationale : d'où viennent les députés marcheurs ? », sur Le Parisien, (consulté le ).
- Ellen Salvi, « Aux prémisses du macronisme », sur Mediapart, (consulté le ).
- Mathilde Mathieu, « A l'Assemblée, entre esquives et couacs, la moralisation à petits pas », sur Mediapart, (consulté le ).
- « Auberge espagnole, Ex-PS, LR, UDI et «sans étiquette»... la galaxie Macron sur les bancs de l’Assemblée ».
- « Briefing Pouvoirs », sur contexte.com, (consulté le ).
- « "Ensemble pour la République": les députés Renaissance se choisissent un nouveau nom à l'Assemblée », sur BFMTV (consulté le ).
- « Modifications à la composition des groupes » , sur Assemblée nationale (consulté le )
- Avec l’AFP, « LREM. Les députés Frédérique Tuffnell et Xavier Batut quittent le mouvement », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- « Haute-Savoie : la députée Frédérique Lardet quitte La République en marche et reste en course pour les municipales », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
- « Hérault : la députée Patricia Mirallès démissionne de La République En Marche », sur France 3 Occitanie (consulté le ).
- Composition de l'assemblée.
- Cyril Graziani, « Pourquoi Nadia Hai, qui n'y était pas obligée, a démissionné cette nuit de l'Assemblée nationale », sur France Inter, (consulté le ).
- « Modifications à la composition des groupes », sur Assemblée nationale (consulté le ).
- « À l'Assemblée, LRM exclut sa présidente de la commission des Affaires européennes », sur Le Monde, (consulté le ).
- « LREM perd une nouvelle députée : Paula Forteza », sur Libération, (consulté le ).
- « « Un sentiment de lassitude et d'inutilité » : deux députés LREM quittent le parti », sur France Info, (consulté le ).
- « Le groupe LRM perd deux députés, mécontents du recours au 49.3 pour la réforme des retraites », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Par Ph L. avec AFPLe 4 mars 2020 à 15h15 et Modifié Le 4 Mars 2020 À 15h30, « Retraites : après le recours au 49.3, une autre députée quitte le groupe LREM », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Martine Wonner exclue de La République en Marche », sur Rue89 Strasbourg, (consulté le ).
- « La République en Marche : un nouveau député quitte le groupe à l'Assemblée », sur RTL.fr (consulté le ).
- « Politique. Un 9e groupe est créé à l’Assemblée, LREM perd la majorité absolue », sur bienpublic.com (consulté le ).
- « Municipales à Paris : Cédric Villani exclu de LREM », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Le Figaro avec AFP, « Un 10e groupe politique, situé dans la majorité, se crée à l'Assemblée nationale », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
- Centre France, « Politique - Le député de la Corrèze Christophe Jerretie quitte LREM au profit du Modem à l'Assemblée nationale », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
- « Le député corrézien Christophe Jerretie quitte le groupe La République en Marche à l'Assemblée nationale », sur France Bleu, (consulté le ).
- Centre France, « Une nouvelle députée quitte le groupe LREM à l'Assemblée et rejoint le Modem », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Calvados. Le député Christophe Blanchet quitte LREM pour le MoDem ».
- « Calvados. Trois nouveaux députés quittent le groupe LREM pour le MoDem », (consulté le ).
- « Rentrée parlementaire : Castex souligne l'urgence d'une mobilisation unitaire de la majorité », (consulté le ).
- « Brune Poirson quitte la politique pour rejoindre le groupe hôtelier Accor », sur Les Echos, (consulté le ).
- « Benjamin Griveaux démissionne de son mandat de député », sur LEFIGARO (consulté le ).
- https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000045098415
- Loris Boichot, « Assemblée : quels présidents pour les commissions ? », Le Figaro, (lire en ligne).
Lien externe
modifier- Groupe La République en marche sur le site de l'Assemblée nationale.
- Groupe Renaissance sur le site de l'Assemblée nationale.