Dobie Gillis
Dobie Gillis (The Many Loves of Dobie Gillis) est une série télévisée américaine en 147 épisodes de 25 minutes, en noir et blanc, créée par Max Shulman et diffusée du au sur le réseau CBS.
Titre original | The Many Loves of Dobie Gillis |
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Genre | Sitcom |
Création | Max Shulman (en) |
Acteurs principaux |
Dwayne Hickman Bob Denver Frank Faylen Florida Friebus (en) |
Pays d'origine | États-Unis |
Chaîne d'origine | CBS |
Nb. de saisons | 4 |
Nb. d'épisodes | 147 |
Durée | 25 minutes |
Diff. originale | – |
En France, la série a été diffusée à partir du sur la RTF Télévision.
Synopsis
modifierCette série met en scène les déboires amoureux du jeune étudiant rêveur, Dobie Gillis, et de son ami beatnik, Maynard G. Krebs.
La série met en scène des situations très proches de la célèbre nouvelle Love is a fallacy[1], du même Max Schulman, et le même type d'humour fataliste.
Dans les premiers épisodes, Dobie entamait invariablement l'épisode dans la position du penseur de Rodin en dessous de la statue du même nom, énonçant le contexte de celui-ci, et dans la même position à la fin, pour en tirer une sorte de moralité douce-amère, comme en une sorte de debriefing.
Distribution
modifier- Dwayne Hickman (VF : Michel François) : Dobie Gillis
- Bob Denver : Maynard G. Krebs
- Frank Faylen : Herbert T. Gillis
- Florida Friebus (en) : Winifred « Winnie » Gillis
- Sheila Kuehl (en) : Zelda Gilroy
- William Schallert : Leander Pomfritt
- Tuesday Weld : Thalia Menninger (1959-1960)
- Warren Beatty : Milton Armitage (1959-1960)
- Tommy Farrell : Riff Ryan (1959-1960)
- Darryl Hickman : Davey Gillis (1959-1960)
- Michael J. Pollard : Jerome Krebs
- Steve Franken : Chatsworth Osborne Junior (1960-1963)
- Robert Paget : Max Perkins
- David Bond : Tremblay (1960-1963)
Épisodes
modifier1.0 Pilote (Pilot) (1959)
Téléfilms
modifierCommentaires
modifierDobie Gillis fut la première série télévisée centrée sur la vie et les problèmes de jeunes adultes. Son générique était un dessin animé stylisé accompagné par des chœurs sur une musique entraînante.
Notes et références
modifier- http://www1.asknlearn.com/ri_Ilearning/English/631/elang-ilearning/page3a.htm : cette nouvelle avait été traduite dans le magazine Elle sous le titre : On ne comprend jamais rien au cœur des filles
Liens externes
modifier- « Dobie Gillis » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database
- « Whatever Happened to Dobie Gillis? (1977) » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database
- « Bring Me the Head of Dobie Gillis (1988) » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database
- « Dobie Gillis » (fiche série), sur Allociné
- Fiche de la série sur Annuséries