scelleur
Étymologie
modifierAttestations historiques
modifier- (XIIIe siècle) Et le [la] reson pourquoi li seeleres en doit estre escusés et descoulpés est telle qu’il peut estre deceus en tel cas. — (Philippe de Beaumanoir, XXXV, 25)
- (XIVe siècle) Ayoul de Rapine fu seelleur dudit arcevesque de Bordeaux par l’espace de dix ans. — (Du Cange, Glossarium mediae et infimae latinitatis sigillarius.)
- (XVIe siècle) Dites sans plus : il faut que le seelons [un brevet de pension]… Consideré que tant d’autres se seelent ; Mais si je touche argent par la scellure, Je benirai des fois plus de sept l’heur, Le chancelier, le seau et le seelleur. — (Clément Marot, II, 83)
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
scelleur | scelleurs |
\sɛ.lœʁ\ |
scelleur \sɛ.lœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : scelleuse)
- Celui qui scelle, qui appose le sceau.
Le scelleur de la chancellerie.
- Ouvrier qui scelle.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
Traductions
modifierPrononciation
modifier- La prononciation \sɛ.lœʁ\ rime avec les mots qui finissent en \œʁ\.
Anagrammes
modifier→ Modifier la liste d’anagrammes
Références
modifier- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (scelleur)
- « scelleur », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
- « scelleur » dans le Dictionnaire numérique Cordial.