Souk Oufella
Souk Oufella | ||||
Siège de l'APC de Souk-Oufella | ||||
Noms | ||||
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Nom arabe | السوق أوفلا | |||
Nom amazigh | ⵙⵓⵇ ⵓⴼⴻⵍⵍⴰ | |||
Nom kabyle | Ulzuz Ufella | |||
Administration | ||||
Pays | Algérie | |||
Wilaya | Béjaïa | |||
Daïra | Chemini | |||
Chef-lieu | Souk Oufella[1] | |||
Président de l'APC Mandat |
M. Nabil Tareb 2022-2027 |
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Code postal | 06042 | |||
Code ONS | 0630 | |||
Indicatif | 034 | |||
Démographie | ||||
Population | 8 931 hab. (2008[2]) | |||
Densité | 646 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 36° 36′ 22″ nord, 4° 38′ 20″ est | |||
Superficie | 13,82 km2 | |||
Localisation | ||||
Localisation de la commune dans la wilaya de Béjaïa. | ||||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
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Souk Oufella est une commune de la wilaya de Béjaïa en Algérie, située à environ 50 km au sud-ouest de Béjaïa.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Souk Oufella se situe à l'ouest de la wilaya de Béjaïa.
Relief, géologie, hydrographie
[modifier | modifier le code]Transports
[modifier | modifier le code]La commune de Souk Oufella dispose des bus communaux réservés au transport scolaire. Ces bus effectuent le trajet Chemini - Sidi-Aïch en passant par le chef-lieu de la commune. Une autre navette assure le transport des élèves vers les autres villages.
Les usagers des transports empruntent des mini-bus privés.. L'aller-retour entre Sidi Aich - Souk-Oufella et la commune de Chemini coûte 20 dinars algériens et le trajet Souk Oufella vers Sidi-Aïch coûte 40 dinars algériens (tarifs en 2016). Des bus de sociétés privées assurent aussi le trajet Chemini - Béjaïa pour 75 dinars l'aller-retour.
Les principaux axes routiers de la commune sont :
- Le Chemin Wilayal n°173 (CW173)
- La Route Nationale n° 26 (RN26) passe par le village de Takrietz.
Lieux-dits, quartiers et hameaux
[modifier | modifier le code]Outre son chef-lieu Souk Oufella-centre, la commune de Souk Oufella est composée des villages suivants[3] : Takrietz, Tiliouacadi, Iabdounène, Badjou, Aourir, Tasga, Taourirt, Laazib Aït Aouati, Lazib Aballache, Ayaten, Zountar et Berkouk.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de Souk Oufella est un toponyme composé issu pour la base du mot « souk », de l'arabe classique sūq et en arabe algérien suq, signifiant « marché » et du composant « oufella », mot kabyle signifiant « d'en haut » ; le nom complet de la localité signifie donc « le marché d'en haut »[4].
Histoire
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Administration et politique
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Équipements
[modifier | modifier le code]La commune compte un certain nombre d'équipements éducatifs et administratifs, on compte ainsi quelques écoles primaires : l'école primaire du Vieux Marché (rebaptisée École primaire des frères Saïghi en 2013), une école primaire à Ayaten, une école primaire à Takrietz et une école primaire à Aourir ; des collèges (CEM) , un collège à Takrietz et le collège: Chahid GHERBI Salah sise au chef-lieu. Des sièges d'administration locale comme le siège de la mairie et une annexe administrative à Takrietz; une bibliothèque communale à Tiliouacadi, un bureau de poste à Tiliouacadi avec son annexe à Takrietz; deux dispensaires: l'un à Tiliouacadi et l'autre à Takrietz ainsi qu'une maison de jeunes à Takrietz et une autre à Iabdounene.
Patrimoine
[modifier | modifier le code]Personnalités
[modifier | modifier le code]- Mohand Cherif Sahli (1906-1989), écrivain, historien et ancien ambassadeur de l'Algérie;
- Mohand Saïd Hanouz, l’un des membres fondateurs de l’académie berbère de Paris, dont il était président;
- Cherif Souami, militant de la cause amazighe et ancien membre du Haut commissariat à l'amazighité (HCA);
- Hachemi Souami, ancien journaliste de la RTA (Ancien sigle de la TV algérienne), devenu député de l’émigration;
- Maitre Bouzida Arezki, maquisard durant la guerre d’Algérie et avocat;
- Mahdi Belhaddad, haut fonctionnaire français, y est enterré.
Sources, notes et références
[modifier | modifier le code]- Code des agglomérations : 5e recensement général de la population et de l'habitat, vol. 169/2012, Alger, Office national des statistiques, coll. « Collections statistiques », , p. 24.
- « Wilaya de Béjaïa : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- « Décret no 84-365 du fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes », Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire, no 67, , p. 1486 (lire en ligne).
- Foudil Cheriguen, Toponymie algérienne des lieux habités (les noms composés), Alger, Épigraphe, , p. 98, 137.
- Service de la planification et de l'aménagement du territoire, La wilaya de Béjaïa en quelques chiffres, Wilaya de Béjaïa, , p. 5.
- Population des communes algériennes en 2002 à partir des données de l'ONS.