Compartiment N°6

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Résumés(1)

Cannes Grand Prix winner Compartment No. 6 follows young Finnish archaeology student Laura, who is convinced by her lecturer and lover to take a trip to an ancient site of petroglyphs near the Arctic Circle. However, when she boards the long-distance train to take her there, she finds that she has to share her carriage with Ljoha, a foul-mouthed, misogynistic drunk travelling to his new job as a miner. Initially, they seem to have nothing in common, but the more time Laura spends with Ljoha the more he thaws, revealing an unforeseen kindness beneath the macho façade. This chance meeting between the two occupants of compartment no. 6 brings about an awakening within them, forming a bond they will never forget. (Curzon Film World)

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Critiques (3)

Filmmaniak 

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français Une romance originale sur l'attraction progressive des contraires qui dispose d'excellents acteurs et d'un environnement poético-réaliste parfaitement mis en valeur, avec des intérieurs usés de trains russes (qui ressemblent beaucoup à ceux des chemins de fer tchèques), ainsi qu'un travail remarquable avec la caméra et la palette de couleurs. Cependant, une fois arrivé à destination, le film perd fondamentalement de son charme et l'évolution de la relation centrale du couple n'intéresse plus autant que leurs rencontres précédentes. Mais surtout, en raison de l'incompatibilité mutuelle des deux personnages, l'intrigue romantique entre une étudiante intellectuelle lesbienne et un mineur rustre et grossier (bien qu'avec un bon cœur), semble légèrement irréaliste dans leur cas. ()

Goldbeater 

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français Après les éloges qu’il a reçus à Cannes, j’ai eu une impression de pas assez en regardant Compartiment n° 6. Il s’agit d’un drame gentil et sobre sur le rapprochement de deux âmes esseulées, doublé d’un « rail-movie ». Un film qui ne fait pas tort, mais qui n’offre rien de très excitant non plus. Je dois juste ajouter que, malheureusement, même après avoir plus ou moins récupéré de l’agitation du festival, j’ai trouvé cette projection aussi longue et épuisante que le voyage à bord du train Moscou-Mourmansk qui est au centre du film. 107 minutes qui en paraissent plutôt 147. [KVIFF 2021] ()

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dubinak 

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anglais This time, the most hyped piece from Karlovy Vary is probably Coupé No. 6. I'm not saying that it was bad, it's just a slightly different story about friendship and love that benefits mainly from above-average acting performances, a confined environment, and as far as Yuri Borisov is concerned, I believe he deserves some recognition and we will hear more about him. Unfortunately, in terms of storytelling and depth, it's almost empty because the viewer actually gets just an emotional drama and nothing that should have more substance. The finale simply fizzled out too much, and one would expect more from the enthusiastic reviews. But I'm not criticizing it, it was a pleasant undemanding piece, except that my experience was ruined by a lady wearing half a bottle of the cheapest fragrance from the drugstore. It was really hard to breathe in the overcrowded Grand Hall. KVIFF 2021 ()

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