Réalisation:
Albert SerraScénario:
Albert SerraPhotographie:
Artur TortActeurs·trices:
Benoît Magimel, Pahoa Mahagafanau, Sergi López, Montse Triola, Lluís Serrat, Marc Susini, Praxedes de Vilallonga, Laurent BrissonnaudVOD (4)
Résumés(1)
Sur l’île de Tahiti, en Polynésie française, le Haut-Commissaire de la République De Roller, représentant de l’État Français, est un homme de calcul aux manières parfaites. Dans les réceptions officielles comme les établissements interlopes, il prend constamment le pouls d’une population locale d’où la colère peut émerger à tout moment. D’autant plus qu’une rumeur se fait insistante : on aurait aperçu un sous-marin dont la présence fantomatique annoncerait une reprise des essais nucléaires français. (Cannes Film Festival)
(plus)Vidéo (6)
Critiques (2)
Avec son histoire et ses personnages originaux, Tourment sur les îles est un « drame paisible » alternatif et intéressant sur le plan de l’atmosphère, qui se déroule dans le cadre tropical attrayant des îles pluvieuses de Tahiti. Le besoin de l’auteur de faire des déclarations politiques peut toutefois s’avérer agaçant. Et le rythme lent des presque trois heures de l’intrigue, avec des dialogues parfois insipides, est soporifique. Cette désinvolture reflète toutefois le mode de vie des personnages et complète le caractère insulaire unique du film. Les scènes surprenantes de surf sur des méga-vagues, au son excellent, sont agréablement rafraîchissantes. ()
Lost Highway/Only God Forgives/Inherent Vice/I Come With the Rain/La Gomera mashup with the awareness that three fifths of the mentioned films bothered me to a total extent, while two I exemplary love. Otherwise a first-class trololo on the viewer expecting anything that offers him any summary of the plot (for example, the distribution text here from Film Europe only proves that even they themselves do not watch the films they distribute). "Pacification" is a general reminder to me of why I had my elitist arthouse period at an early age. Because I arrogantly adored slow, incomprehensible films, which with their arrogance constantly give the impression that there is more to them than there actually is, but should I really expect any modesty from European auteurs? Oh, and one of the parameters of such films is that they often incidentally contain the visually most opulent scene of the year across genres and budgets, which is fulfilled here (when the ships sail into the waves). I don't give five stars just because someone might take it as if I understood what was happening there most of the time, which I wouldn't want. ()
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