Réalisation:
Panos CosmatosPhotographie:
Benjamin LoebMusique:
Jóhann JóhannssonActeurs·trices:
Nicolas Cage, Andrea Riseborough, Linus Roache, Bill Duke, Richard Brake, Ned Dennehy, Olwen Fouéré, Isaiah C. Morgan, Paul PainterVOD (3)
Résumés(1)
Pacific Northwest, 1983. Red Miller et Mandy Bloom mènent une existence paisible et empreinte d'amour. Quand leur refuge est sauvagement détruit par les membres d'une secte dirigée par le sadique Jérémie Sand, Red est catapulté dans un voyage fantasmagorique marqué par la vengeance, le sang et le feu... (Entract Films)
Vidéo (2)
Critiques (14)
Je suis sûr que le film en coproduction intitulé « Mandy » avec Nicolas Cage dans le rôle principal, mais brillamment accompagné par Linus Roache, ne plaira pas à tout le monde. Mais honnêtement, c’est l’un des meilleurs films avec Cage ces derniers temps. Il est tout simplement génial par sa différence, sa profondeur et son exécution impeccable. J’étais littéralement fasciné par chaque seconde du film qui m’a captivé. ()
Voici la quintessence de ce que le public attend d’un festival de cinéma pour la projection de minuit, sans presque jamais l’obtenir. Une boucherie pleine à craquer spécialement conçue pour les fans de films d’horreur. Qui plus est, filmée avec passion. Et avec le meilleur Nicolas Cage depuis de nombreuses années. Après, si vous vous dites, au cours de la première moitié, que le jeu de Cage est modeste et intimiste, attendez que la suite vous prouve le contraire en vous faisant découvrir l’une des créations les plus frénétiques de sacarrière ! Chapeau bas au réalisateur Panos Cosmatos pour avoir réussi à ficeler tout ça ; je suivrai de près l’annonce de sa prochaine sortie ! Enfin, je me dois de tirer mon chapeau également à feu Jóhann Jóhannsson pour sa musique – un splendide adieu. Mandy est une véritable perle ! [KVIFF 2018] ()
Panos Cosmatos a enfin trouvé un sujet approprié pour ses expérimentations LSD uniques et visuellement extravagantes - un cauchemar de bûcherons sous l'emprise de mauvaises drogues avec des orgies sauvagement sanglantes, des tronçonneuses et des motards de l'enfer. Seuls les passages hallucinogènes et la musique démoniquement psychédélique de Jóhann Jóhannsson sauvent la première moitié lancée à un rythme extraordinairement relâché, mais ensuite il se lance dans un massacre trash metal sectaire auquel il est difficile de ne pas succomber, même si une résistance à l'extrême violence est nécessaire. La performance folle de Nicolas Cage relève de la catégorie du plaisir coupable en voyage. Mandy est un film cruel et méchant, mais tout aussi marquant et singulier. ()
Une boucherie grindhouse hallucinogène dans laquelle un cœur amoureux s’abîme dans les ténèbres cosmiques. Malgré ses filtres cheap et son budget de série B, Mandy est captivant et tient la route conceptuellement parlant. C’est aussi un rafraîchissement agréable par rapport à l’état d’esprit général du festival. Quant à la scène phare, c’est – forcément – celle avec Cage bourré en short blanc et t-shirt orange orné d’un tigre. [Cannes] ()
It's like Jodorowsky fathered a child with Panos's daddy George. Definitely a distinctive film, visually impressive, from a man with a vision. Interesting color palette, functionally applied filters, but at least in the first half (which many here criticize, but I liked it better) brimming with atmosphere and remarkable visual ideas, all underscored by a unique soundtrack. The second half is grindhouse carnage, uncompromisingly straightforward and simple, but still retaining a visual identity. The half-deranged Cage is a casting triumph, Riseborough has something magical in his intriguing, deadpan face, and Roache is a charismatic villain but also a woefully comic figure, and this is not an easy thing to grasp as an actor. Mandy is a remarkable film, it's not for everyone, certainly not for the mainstream, but it beats with the heart of a filmmaker who’s not bland and loves to tell simple stories through atmospheric imagery. PS: I enjoyed it even more on a second screening. This film is so out of step with 99% of filmmaking, and yet it's not stupid; hats off to it. I'm not surprised by the worldwide enthusiastic critical response (currently 8.2 on Metacritic) and I’m happy for Cosmatos from the bottom of my heart. ()
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