Dette : la vieille angoisse de la banqueroute de l’Etat
Par Rémi Noyon
Publié le , mis à jour le
Vous voulez participer au débat ?
S’abonner permet de commenter les articles. Et pas que : vous pouvez les consulter et les offrir à vos proches.
Vous avez envie d’offrir cet article ?
S’abonner permet d’offrir les articles à vos proches. Et pas que : vous pouvez les consulter et les commenter.
Abonné
Décryptage La dette de l’Etat a toujours fait figure d’épouvantail. Une peur qui a souvent conduit à favoriser les uns au détriment des autres.
En cette fin d’année, la dette ressurgit dans les conversations, avec ce mélange d’intensité et de mélancolie qu’elle acquiert aux moments critiques. Deux scènes résument la polarité de ce débat. Le 27 septembre, à l’Assemblée nationale, des chercheurs discutent de « La décroissance contre l’austérité », à l’invitation de la députée Delphine Batho.
Publicité
Sur scène, l’économiste Alma Monserand propose de changer de logiciel : on ne peut plus attendre de la croissance qu’elle remplisse nos caisses et finance la Sécurité sociale. Le 13 octobre, à Blois, lors d’une discussion organisée dans le cadre des Rendez-vous de l’histoire, le directeur général de l’Insee, Jean-Luc Tavernier, balaie ce qu’il juge être des contes pour enfants : il n’y a pas de remède magique, il faudra faire des choix difficile…
Vous voulez lire la suite de cet article ?
S’abonner permet de consulter tous les articles. Et pas que : vous pouvez les commenter et les offrir à vos proches.
Exclu : 1€
pour 3 mois