En Haïti, la mission multinationale de soutien à la police prolongée d’un an
Par Sarah Halifa-Legrand (correspondante à Washington)
Publié le
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Portrait Encore inconnu il y a quelques semaines, le colistier de Kamala Harris, un ancien entraîneur de football américain, a conquis l’Amérique démocrate en se faisant le héraut de la classe moyenne.
Pour aller plus loin
« My god, mais que faites-vous là ? Le match est dans deux heures ! » En une phrase, le tribun à la tête ronde comme un ballon et au crâne blanc dégarni a déjà conquis son public, rassemblé sur une pelouse face au lac Erie, à l’extrême nord-ouest de la Pennsylvanie. En ce soir de lancement de la saison de NFL, la ligue nationale de football américain, comme à chaque fois qu’il monte sur scène, Tim Walz a préparé un « pep talk », un discours de vestiaire.
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Le sexagénaire a troqué sa casquette d’entraîneur pour une veste noire de candidat à la vice-présidence, mais il s’adresse aux électeurs comme à l’équipe de football américain qu’il coachait au lycée autrefois : « Il va falloir mouiller la chemise les gars, tout est encore possible. » Face à lui, une forêt de pancartes « Coach Walz ». « Qu’est-ce que je l’aime ! » s’exclame Lawrence Monocello, retraitée à la silhouette d’athlète, une main sur le…
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