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Lamalou-les-Bains

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Lamalou-les-Bains
Lamalou-les-Bains
Panorama de la commune.
Blason de Lamalou-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Guillaume Dalery
2020-2026
Code postal 34240
Code commune 34126
Démographie
Gentilé Lamalousien(ne)(s)
Population
municipale
2 454 hab. (2021 en évolution de −4,74 % par rapport à 2015)
Densité 397 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 35′ 55″ nord, 3° 04′ 50″ est
Altitude 458 m
Min. 175 m
Max. 600 m
Superficie 6,18 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bédarieux
(banlieue)
Aire d'attraction Bédarieux
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lamalou-les-Bains
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Lamalou-les-Bains
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Lamalou-les-Bains
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Lamalou-les-Bains
Liens
Site web Site officiel de la ville
Entrée de la ville (ancien viaduc ferroviaire).

Lamalou-les-Bains (en occitan L'Amalon ou Vilacèla) est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orb, le Bitoulet et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « grotte du Trésor ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Lamalou-les-Bains est une commune rurale qui compte 2 454 habitants en 2021. Elle est dans l'unité urbaine de Bédarieux et fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux. Ses habitants sont appelés les Lamalousiens ou Lamalousiennes.

Géographie

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Carte

La ville est située au confluent du Bitoulet (9,6 km), affluent rive droite (donc au Nord) du fleuve côtier l'Orb, et de ce même fleuve[1]. Lamalou est la commune la plus peuplée du canton de Saint-Gervais-sur-Mare dont elle fait partie.

Localisation

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Communes limitrophes de Lamalou-les-Bains
Taussac-la-Billière
Combes Lamalou-les-Bains Hérépian
Le Poujol-sur-Orb Les Aires

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 54 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].

Statistiques 1981-2010 et records Station LES AIRES (34) Alt: 190m 43° 35′ 00″ N, 3° 06′ 30″ E
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,6 2,3 4,3 6,7 10 13,4 15,5 15,3 11,6 10,2 5,3 2,4 8,3
Température moyenne (°C) 6,7 7,2 9,8 12,4 16,1 20,2 22,6 22,2 18 14,9 9,7 6,6 13,9
Température maximale moyenne (°C) 10,8 12,1 15,3 18,1 22,2 27,1 29,7 29,1 24,4 19,7 14,1 10,8 19,5
Record de froid (°C)
date du record
−10
19.2017
−10
28.2018
−10,4
02.2005
−6,1
08.2021
−1,6
07.2019
4
13.2019
6,7
17.2000
5,6
30.1998
2,2
21.2017
−3,1
30.2012
−9,4
22.1998
−9,4
19.2001
−10,4
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
20,3
02.2003
24,5
24.2020
27,8
31.2012
31,1
08.2011
35,5
29.2001
41,3
28.2019
38,2
21.2015
41,2
12.2003
37,2
04.2016
32,1
03.2011
24,5
09.2015
21
11.1997
41,3
2019
Précipitations (mm) 128 93,3 57,1 98,3 80,2 43,8 31,6 51,7 101,7 154,6 126,2 162 1 128,5
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 8,8 6 6,1 7,6 7,3 4,2 3,6 5,1 5,8 7,9 6,9 8,5 77,8
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 4,3 2,7 2,9 3,6 3,9 2,1 1,7 2,4 3,4 4,4 3,1 4,6 39,3
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 3 2,1 1,7 2,3 2,3 1,4 1,1 1,7 2,4 3,3 2,4 3,1 26,9
Source : [MétéoFrance] « Fiche 34008001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/06/2021 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].

Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « grotte du Trésor »[20], d'une superficie de 43,95 ha, un site majeur pour la reproduction du Minioptère de Schreibers dans ce secteur du haut Languedoc[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[22] : la « grotte du Trésor » (51 ha), couvrant 2 communes du département[23] et la « vallée de l'Orb entre Hérépian et Colombière-sur-Orb » (156 ha), couvrant 6 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] : le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[25].

Au , Lamalou-les-Bains est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bédarieux[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune du pôle principal[Note 8],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (38,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (44,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,6 %), zones urbanisées (28,5 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), cultures permanentes (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Transports en commun

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Lamalou-les-bains est desservi par le réseau Hérault Transport :

  • ligne 655 : Béziers - Lamalou les Bains - Bédarieux
  • ligne 663 : Montpellier - Le Poujol Sur Orb
  • ligne 682 : Bédarieux - St Pons de Thomières
  • ligne 685 : Montpellier - St Pons de Thomières

Sur la ligne de Castres à Bédarieux, la commune a été desservie par le train de 1889 à 1972 pour les voyageurs.

L'ancienne voie ferrée entre Mazamet et Bédarieux qui desservait la commune a été reconvertie en voie verte : Voie Verte du Haut-Languedoc (« Passa Païs »)[27]

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Lamalou-les-Bains est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Orb. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1987, 1988, 1992, 1995, 1996, 1997, 2014, 2016 et 2019[30],[28].

Lamalou-les-Bains est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 9],[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamalou-les-Bains.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[32]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 841 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 739 sont en aléa moyen ou fort, soit 88 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2016[28].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[35].

La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 10] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[37].

Risque particulier

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L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[38]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[39].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lamalou-les-Bains est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[40].


Contrairement à de nombreuses stations thermales, Lamalou-les-Bains n’a pas une origine romaine. Son nom vient tout simplement du ruisseau traversant la cité qui s’appelait Malou ou Betoulet pour devenir aujourd’hui Bitoulet.

En 1845[41], la commune de Villecelle est créée à partir des sections de Villecelle et Bardejean distraites de la commune de Mourcairol[42] (aujourd'hui disparue, voir les Aires). La paroisse était Saint-Pierre-de-Rhèdes, paroisse mère des églises des Aires, d'Hérépian et du Poujol.

Le [43], Villecelle prend le nom de Lamalou-les-Bains.

De nos jours, la rééducation fonctionnelle et le thermalisme occupent une place importante dans la vie de la cité auxquels s’ajoutent le tourisme de pleine nature avec les massifs du Caroux et de l’Espinouse et les nombreuses infrastructures de loisirs, dont notamment son casino. De création récente, Lamalou-les-Bains ne manque donc pas d’intérêt pour les amateurs de l’architecture du XIXe siècle et de la Belle Époque. En effet, depuis les grands hôtels en passant par les thermes jusqu’au théâtre et au casino, tout l’éclectisme de l’époque y est représenté.

Thermalisme

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Les sources de Lamalou-les-Bains sont apparues à la suite du percement de galeries minières aux XIe et XIIe siècles. La tradition veut qu’un paysan souffrant de douleurs se soit baigné dans la mare boueuse formée par ces eaux et en ait retiré une sédation appréciable de son mal.

Plus de quinze sources s'échelonnent le long de la faille géologique qui traverse le vallon. Les eaux de Lamalou-les-Bains sont utilisées à l'état natif, elles sont de type bicarbonaté calcique et sodique, ferrugineuses, riches en magnésium et en potassium et renfermant du dioxyde de carbone. Elles sont indiquées dans le traitement des rhumatismes, de la névropathie et de la chloro-anémie[44].

Lamalou est évoquée pour la première fois en qualité de ville d'eau dans un texte de 1702 comme « une maison servant de bains et tronçon de terre, appelé les bains de La Malou[44] ». Plusieurs établissements thermaux sont créés après 1792. À partir des années 1880, la station est ouverte toute l'année et devient un lieu de prédilection d'hommes célèbres ; l'un des établissements, Lamalou-le-Bas, comprenait dix piscines pouvant contenir plus de 170 personnes ; Lamalou est alors la 4e station française par le nombre de ses visiteurs[44].

En 1947, la ville rachète cet établissement thermal. Il sera repris en 1986 par la Chaîne thermale du Soleil. L'établissement thermal de Lamalou-le-Hauta est acheté en 1954 par la Caisse nationale de Sécurité sociale, qui le transforme en centre de rééducation pour enfants, tandis que Lamalou-le-Centre est transformé en centre de rééducation pour adultes en 1957 et prend le nom de Bourgès.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 28 février 1951 Fernand Gouges    
5 mai 1951 1953 Philippe Carratier    
1953 18 octobre 1959 Paul Coste-Floret MRP Professeur de droit
Ministre (1947-1954)
Député (1946-1958)
4 novembre 1959 1971 Andrée Railhac    
1971 27 août 1979
(décès)
Paul Coste-Floret CD puis
UDF-CDS
Professeur de droit
Ministre (1947-1954)
Député (1946-1958)
septembre 1979 mars 1983 Jean-Jacques Barrault   Médecin de rééducation fonctionnelle, Centre de rééducation motrice du Docteur Ster.
mars 1983 mars 2014 Marcel Roques UDF-CDS
puis NC
Député (1993-1997)
Conseiller régional (1998-2010)
Conseiller général (1979-1993)
Maire de Bédarieux (1977-1983)
avril 2014 mai 2017 Philippe Tailland DVG Retraité
mai 2017 en cours Guillaume Daléry DVD Consultant AMO

Lamalou-les-Bains est jumelée avec

Population et société

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Démographie

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Ses habitants sont appelés les Lamalousiens et Lamalousiennes[45].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[47].

En 2021, la commune comptait 2 454 habitants[Note 11], en évolution de −4,74 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
361381330327376378390468753
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
7378098789159391 0191 0241 0471 030
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
1 1331 3552 0712 0292 0672 2022 1942 1562 247
2007 2012 2017 2021 - - - - -
2 2562 6632 5092 454-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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  • Golf (9 trous)
  • Centre équestre
  • Piscine découverte
  • Stand de tir
  • Tennis
  • Trail

Le sentier de grande randonnée 7 reliant le ballon d'Alsace à Andorre passe sur la commune.

En 2018, la commune compte 1 039 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 1 903 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 590 [I 6] (20 330  dans le département[I 7]). 45 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 13] (45,8 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 6,6 % 8,4 % 9,1 %
Département[I 9] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 257 personnes, parmi lesquelles on compte 63,7 % d'actifs (54,6 % ayant un emploi et 9,1 % de chômeurs) et 36,3 % d'inactifs[Note 14],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction de Bédarieux[Carte 3],[I 11]. Elle compte 1 536 emplois en 2018, contre 1 641 en 2013 et 1 586 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 703, soit un indicateur de concentration d'emploi de 218,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 36 %[I 12].

Sur ces 703 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 397 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 72,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 17,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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246 établissements[Note 15] sont implantés à Lamalou-les-Bains au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 16],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 246 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
13 5,3 % (6,7 %)
Construction 26 10,6 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
79 32,1 % (28 %)
Information et communication 3 1,2 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 6 2,4 % (3,2 %)
Activités immobilières 16 6,5 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
24 9,8 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
52 21,1 % (14,2 %)
Autres activités de services 27 11 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,1 % du nombre total d'établissements de la commune (79 sur les 246 entreprises implantées à Lamalou-les-Bains), contre 28 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[50] :

  • Centre De Reeducation Motrice Du DR Ster, activités hospitalières (23 154 k€)
  • La Petite Paix, activités hospitalières (5 094 k€)
  • Developpement Conseil Investissement Strategie - Decis, hébergement social pour personnes âgées (2 292 k€)
  • Societe D'appareillage Du Centre Ster, fabrication de matériel médico-chirurgical et dentaire (1 161 k€)
  • Source Capus, location de logements (533 k€)

Agriculture

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1988 2000 2010 2020
Exploitations 26 17 10 2
SAU[Note 17] (ha) 58 85 102 31

La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 4]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 19] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 31 ha[53],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Armes de Lamalou-les-Bains

Les armes de Lamalou-les-Bains se blasonnent ainsi :

d'azur au soleil d'or se levant derrière une chaîne de montagnes de sable, d'où coule une rivière d'argent dans une plaine de sinople[58]

Le casino.
Les thermes.
L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul.
Établissement thermal : carte postale (1905).

Bibliographie

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  • Gérard Alzieu, « Lamalou-Les Bains : genèse d'une paroisse », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 15,‎ , p. 127-137
  • P.-C. Collot, Lamalou-l'Ancien dit le Bas, Hérault : thermes, Nîmes, Lacour-Ollé, coll. « Rediviva », , 48 p.
  • Louis Dulieu, Lamalou-les-Bains : son histoire, son livre d'or, Montpellier, Causse, , 40 p.
  • Gilbert Massol et Marcel Roques, Chroniques lamalousiennes, Paris, [s.n.], , 117 p.
  • Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives communales de Lamalou-les-Bains, Montpellier, Mission Archives 34, , 162 p.

Fonds d'archives

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bédarieux, il y a une ville-centre et huit communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[36].
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  12. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  13. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  15. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  16. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  17. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  18. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  19. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Bédarieux », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Lamalou-les-Bains ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bédarieux », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lamalou-les-Bains » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamalou-les-Bains » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamalou-les-Bains » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lamalou-les-Bains » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

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  1. SANDRE, « Fiche fleuve l'orb (Y25-0400) » (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
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  9. « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  40. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
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  42. « Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage de la commune de Mourcairol modifié en 1845 » (1827, 1845). Fonds : Cadastre et remembrement; Cote : 3 P 3436. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne, lire en ligne)..
  43. Bulletin des lois, 1879, XVIII-6
  44. a b et c Site officiel de la mairie de Lamalou-les-Bains.
  45. habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises - Lamalou-les-Bains (34240) » (consulté le ).
  46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. « Entreprises à Lamalou-les-Bains », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  51. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  52. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  53. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lamalou-les-Bains - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  54. « Eglise Saint-Pierre-de-Rhèdes », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  55. Office de tourisme intercommunal Pays des Sources - Lamalou-les-Bains, « Office de tourisme du Pays des sources »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  56. (en-US) « Stanley Hoffmann, 86 », sur Harvard Gazette, (consulté le ).
  57. https://www.autrement.com/comment-luniversite-broie-les-jeunes-chercheurs/9782080270474
  58. Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 46.