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Mongauzy

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Mongauzy
Mongauzy
L'hôtel de ville (juil. 2009).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Clara Delas
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33287
Démographie
Gentilé Mongauzyns
Population
municipale
645 hab. (2021 en évolution de +7,32 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 05″ nord, 0° 02′ 05″ est
Altitude Min. 13 m
Max. 110 m
Superficie 6,84 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Marmande
(banlieue)
Aire d'attraction La Réole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Mongauzy
Géolocalisation sur la carte : France
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Mongauzy
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Mongauzy
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Mongauzy
Liens
Site web www.mongauzy.fr

Mongauzy (Mont Gausir en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Mongauzyns[1].

Géographie

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Localisation

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La commune de Mongauzy se situe dans l'extrême est du département, en limite du département voisin de Lot-et-Garonne, au nord (rive droite) de la Garonne, à 67 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 25 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 6,5 km à l'est-sud-est de La Réole, ancien chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes en sont Fossès-et-Baleyssac au nord-est, Saint-Michel-de-Lapujade à l'est, Lamothe-Landerron au sud-est, Jusix (Lot-et-Garonne) à l'extrême sud-sud-est sur environ 700 m, Bourdelles au sud-ouest, Montagoudin à l'ouest et Saint-Hilaire-de-la-Noaille au nord-ouest.

Communes limitrophes de Mongauzy
Saint-Hilaire-de-la-Noaille Fossès-et-Baleyssac
Montagoudin Mongauzy Saint-Michel-de-Lapujade
Bourdelles

            Jusix (L. & G.)
Lamothe-Landerron

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 16,42 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Mongauzy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marmande[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant dix communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,4 %), cultures permanentes (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (6,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 1113, ancienne route nationale 113 qui mène à Montagoudin et La Réole vers l'ouest et à Lamothe-Landerron et Marmande vers l'est.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès Sortie 4 La Réole est distant de 12 km par la route vers le sud-ouest.
L'accès Sortie Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 31 km vers le sud-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante d'un km par la route vers l'est, de gare de Lamothe-Landerron sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. La gare de La Réole présentant plus de trafic se trouve à 5,5 km par la route vers l'ouest.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Mongauzy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Medier. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999, 2000, 2009, 2018 et 2021[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mongauzy.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 290 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de Grandval, un ouvrage sur la Truyère de classe A[Note 4] soumis à PPI et disposant d'une retenue de 270,6 millions de mètres cubes[23]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Seigneurie de La Mothe-Mongauzy.

À la Révolution, la paroisse Saint-Jean de Mongauzy forme la commune de Mongauzy. La paroisse Saint-André-du-Garn forme la commune de Saint-André-du-Garn. Le , la commune de Saint-André-du-Garn est rattachée à celle de Mongauzy[25], soit une augmentation de population de 186 habitants (recensement de 1962)[26].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1837 1870 Morrat    
       
mars 2008 En cours Clara Delas[27] PS Agricultrice
Les données manquantes sont à compléter.

Communauté de communes

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Le , la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Mongauzy s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 645 habitants[Note 5], en évolution de +7,32 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
618479596553512513542592508
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
555552534523519512511482501
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
477490466402407411431432406
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
406555538537531568579580604
2017 2021 - - - - - - -
595645-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Jean, à proximité de la route départementale D 1113, date des XIe et XIIIe siècles ; elle est inscrite au titre des monuments historiques et protégée depuis 1925[32].
  • Église Saint-André de Saint-André-du-Garn. L'ancienne commune de Saint-André-du-Garn possède sa propre église sur les hauteurs au nord de Mongauzy.
  • Le château de la Providence sur l'ancienne commune de Saint-André-du-Garn

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Marmande, il y a une ville-centre et neuf communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 28 juin 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 56,9 km pour Bordeaux, 22,5 km pour Langon et 5,7 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 28 juin 2011.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Mongauzy et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Marmande », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mongauzy ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Réole », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Mongauzy », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mongauzy », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « barrage de Grandval », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. Historique des communes, p. 35, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-André-du-Garn », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. Commune de Mongauzy sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 28 juin 2011.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Inscription MH de l'église Saint-Jean », notice no PA00083635, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 27 janvier 2010.