La saison 2012-2013 de Ligue 1 sera la soixante-quinzième édition du championnat de France de football et la onzième sous l'appellation « Ligue 1 ». Le premier niveau du championnat oppose vingt clubs français en une série de trente-huit rencontres jouées durant la saison de football. Elle débutera le 10 août 2012 et se terminera le 26 mai 2013.
Les quatre premières places de ce championnat sont qualificatives pour les compétitions européennes que sont la Ligue des Champions et la Ligue Europa. Les deux autres places sont attribuées au vainqueur de la coupe nationale, et à celui de la Coupe de la Ligue.
Contrairement aux années précédentes, le troisième du championnat de la saison 2012-2013 devra passer par un tour de qualification supplémentaire pour accéder à la phase de poules de la Ligue des Champions 2013-2014.
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Nouvelles de la semaine
18 août : en inscrivant deux buts dans les dernières minutes du match, Lorient s'impose 2-1 contre le champion en titre, Montpellier.
Entretien de la semaine
Comme beaucoup de contributeurs avant moi, je vais répondre en partie à cette question pour garder un minimum d'anonymat. Je me prénomme donc Loïc et je vis dans les Bouches-du-Rhône. Né en France, j'ai des origines croates et anglaises. Fan de football depuis de nombreuses années, je participe principalement et largement au projet football.
J'ai été titulaire d'une licence de football assez tard puisque j'ai commencé à jouer à l'âge de 13 ans. J'ai dû arrêter sept ans plus tard à cause de problèmes personnels. Je jouais au poste de gardien de but d'abord dans la région de Salon-de-Provence, puis dans la région d'Avignon, ce qui explique mon côté pro-gardiens parfois. Je suis par ailleurs admiratif de portiers tels que Mickaël Landreau, Stipe Pletikosa, Petr Čech, Fabien Barthez, Edwin van der Sar ou encore Cédric Carrasso. J'ai d'ailleurs évolué dans le même club que le frère cadet de ce dernier au milieu des années 2000.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
L'attaquant Carlos Bianchi, revenu au Stade de Reims l'été précédent pour terminer sa carrière de footballeur, remplace le technicien en place au poste d'entraîneur. L'Argentin, novice sur le banc, replace le Stade de Reims dans le peloton de tête du championnat et le mène à deux demi-finales de Coupe de France en 1987 et 1988.
Albert Batteux est entraîneur du Stade de Reims dans les années 1950 puis de l'AS Saint-Étienne entre 1967 et 1972, il y remporte respectivement six et cinq trophées nationaux. De 1955 à 1962 il est également sélectionneur de l'équipe de France, avec laquelle il est demi-finaliste de la Coupe du monde de football 1958. Selon un vote du journal France Football, il est l'un trois meilleurs entraîneurs français du XXe siècle.
Dans les années 1950, le Stade de Reims s'impose comme le principal club français, amassant en quelques années un palmarès prestigieux. Porté par des personnalités emblématiques (l'entraîneur Albert Batteux, le président Henri Germain ou encore le meneur de jeu Raymond Kopa), il remporte à six reprises le championnat de France et deux fois la coupe de France entre 1949 et 1962. Représentants français à la première édition de la Coupe des clubs champions européens en 1956, les coéquipiers du capitaine Robert Jonquet s'inclinent de justesse en finale face au Real Madrid. L’histoire se répète trois ans plus tard, face au même adversaire.
Le licenciement de Batteux en 1963 coïncide avec le recul sportif du club, relégué en deuxième division en 1964 et 1967. De retour dans l'élite dans les années 1970, le club rémois ne parvient pas à retrouver l'éclat du passé, malgré les exploits de l'Argentin Carlos Bianchi. Sauvé de justesse de la faillite en 1978, relégué l'année suivante, il devient un pensionnaire régulier de la D2 jusqu'à sa liquidation judiciaire en 1991.
Le Stade de Reims repart en Division d'honneur du Nord-Est, 6e échelon du football français, d'où il lui faudra dix saisons pour remonter en Ligue 2, où il se stabilise. En 2012, le Stade de Reims fait finalement son retour dans l'élite, 33 ans après sa dernière saison au plus haut niveau national.
Présentée le sur le circuit de Catalogne en Espagne, la Prost AP03, composée de près de 3 000 nouvelles pièces, était porteuse d'espoir pour l'écurie d'Alain Prost qui se donnait alors pour objectif de terminer la saison à la cinquième place du championnat des constructeurs.
Seulement, la Prost AP03 se révèle être une monoplace lente et peu fiable qui ne rallie l'arrivée qu'à douze reprises sur trente-quatre engagements, principalement en raison du moteur Peugeot A20 qui essuie cinquante-trois casses sur toute la saison. Une crise entre le motoriste français et l'écurie se profile alors, mettant fin à une collaboration de trois ans. Prost Grand Prix connaît en parallèle une crise budgétaire, obligeant Alain Prost à rechercher d'éventuels repreneurs pour son écurie.
À la fin de la saison, l'écurie Prost Grand Prix termine onzième du championnat des constructeurs, sans avoir marqué de points, signant la plus mauvaise saison de l'histoire de l'équipe.
Le Football Club de Mulhouse, couramment abrégé en FC Mulhouse ou FCM, est un club de footballfrançais fondé en 1893 sous le nom de FC Mülhausen 1893, dans la mesure où l'Alsace était alors sous obédience allemande. Il dispute ses premières compétitions officielles à partir de 1903 au sein de la fédération allemande, avant de prendre son nom actuel et de rejoindre les compétitions françaises en 1919, après la reconquête de l'Alsace-Lorraine par la France. Le club emménage en 1906 au stadevélodrome de Mulhouse, puis déménage en 1921 au stade de Bourtzwiller, avant de s'installer définitivement à Dornach, où est construit le Stade de l'Ill.
Le club obtient le statut professionnel en 1932 et devient alors un des premiers clubs professionnels français. C'est paradoxalement pendant la période allemande (1940-1944) qu'il réalise ses meilleures performances, avec trois titres en Gauliga Elsass. Redevenu amateur en 1946, il retrouve la Division 2 en 1970 puis le statut professionnel en 1981 ; il atteint à deux reprises la Division 1 en 1982 et 1989, puis stagne en Division 2 dans les années 1990.
Les résultats intéressants du FC Mulhouse s'arrêtent avec la relégation en championnat National, le troisième niveau du football français, en 1998. Les problèmes financiers récurrents du club aboutissent à un dépôt de bilan prononcé en 1999 et une relégation administrative en championnat de France amateur. Après avoir touché le fond lors de l'exercice 2004-2005 où le club évolue en CFA 2, les ambitions de remontée en National et Ligue 2 n'ont pas encore été satisfaites. Depuis, le club mulhousien évolue en championnat de France amateur, soit au quatrième échelon footballistique français.
Son histoire est mouvementée : en 1907, l'OL absorbe l'Iris Club lillois et le Stade lillois. L'Iris Club décide de reprendre son indépendance en 1924 avant de revenir vers l'OL en 1941 pour former l'Olympique Iris Club lillois. Quelques mois après une seconde scission avec l'Iris Club début 1944, l'Olympique lillois disparaît en fusionnant avec le rival du Sporting Club fivois (aussi connu sous le nom de SC Fives ou SCF) pour fonder le Stade lillois, futur Lille Olympique Sporting Club.
L'OL est résident du terrain de l'avenue de Dunkerque, connu ensuite comme le stade Victor-Boucquey puis stade Henri-Jooris ; son siège social est basé au café Bellevue, sur la Grand'Place de Lille. C'est un club populaire (il compte 2 000 membres adhérents en 1921) et une des valeurs sûres du football du Nord-Pas-de-Calais, dont il glane sept titres régionaux en vingt ans. Les « Dogues » (surnom des joueurs évoluant au club) parviennent même à se faire une place sur le plan national en remportant en 1914 le championnat de France USFSA et le Trophée de France. Le trophée de France mettant aux prises les champions des quatre fédérations françaises de football concurrentes, l'Olympique lillois peut être considéré comme le meilleur club de France cette année-ci.
D'abord favorables au professionnalisme, l'OL et son président emblématique Henri Jooris se rétractent ensuite par peur de perdre leur influence régionale. Poussé par la professionnalisation du SC Fives, le club franchit finalement le pas à son tour en 1932. Ce choix s'avère bénéfique puisque l'OL remporte la première édition du championnat de France de football professionnel en 1933, en battant en finale l'AS Cannes. Après avoir raté le doublé championnat-coupe de France en 1934, les derniers coups d'éclat de l'OL sont une deuxième place du championnat 1935-1936 et un parcours jusqu'en finale de la coupe de France 1938-1939.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1960, officiellement connus comme les VIIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Squaw Valley aux États-Unis, du 18 au . En 1955, le Comité international olympique fait le choix inattendu d'attribuer les Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. La station est alors très peu développée. Tous les équipements sportifs et les infrastructures sont construits ou améliorés entre 1956 et 1960 pour un coût de 80 millions de dollars. Les athlètes logent dans le premier véritable village olympique et les organisateurs conçoivent les sites pour que les spectateurs et les athlètes puissent les atteindre à pied. Les cérémonies d'ouverture et de clôture sont produites par Walt Disney et diffusées par la chaîne CBS. C'est la première fois que les droits de télévision pour diffuser les Jeux olympiques sont vendus au plus offrant. C'est aussi la première fois depuis 28 ans que les Jeux sont organisés en Amérique du Nord.
665 athlètes de 30 nations participent à 4 sports et 27 épreuves. Le patinage de vitesse féminin et le biathlon font leurs débuts olympiques. Les organisateurs décident de ne pas construire de piste de bobsleigh à cause des coûts élevés et du faible nombre de participants. C'est la seule fois de l'histoire que ce sport n'est pas au programme des Jeux d'hiver. L'Union soviétique est de loin la nation la plus médaillée : elle gagne 21 médailles, dont 7 en or. Les patineurs de vitesse soviétiques Evgueni Grichine et Lidia Skoblikova sont les seuls doubles champions olympiques. Le bûcheron suédoisSixten Jernberg ajoute une médaille d'or et une d'argent aux quatre récompenses obtenues aux Jeux d'hiver de 1956. Avec ses trois médailles gagnées quatre ans plus tard, il finit sa carrière avec 9 médailles olympiques. En 1964, c'est l'athlète le plus médaillé de l'histoire aux Jeux d'hiver.
La situation politique affecte la préparation des Jeux. Les tensions entre les États-Unis et l'Union soviétique s'intensifient et le CIO est obligé de débattre sur la participation de la Chine, de Taïwan, de la Corée du Nord et de l'Allemagne de l'Est à cause de la Guerre froide. En 1957, le gouvernement américain menace de refuser les visas aux athlètes des pays communistes. Le CIO menace donc de retirer l'organisation des Jeux d'hiver de 1960 à Squaw Valley. Sous la pression internationale, les États-Unis autorisent la participation des sportifs des pays communistes.
À la suite de l'arrêt de la WCHL en 1926, Fredrickson, comme la majorité des joueurs de la ligue, passe dans la LNH. Il joue ensuite pour les Cougars de Détroit, les Bruins de Boston puis les Pirates de Pittsburgh dont il devient entraîneur pour la saison 1929-1930. Il met fin à sa carrière en 1931 à l'âge de 36 ans.
Les Jeux olympiques d'hiver de 1956, officiellement connus comme les VIIes Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Cortina d'Ampezzo en Italie, du 26 janvier au . Cortina est d'abord retenue pour accueillir les Jeux olympiques d'hiver de 1944, mais ils sont annulés à cause de la Seconde Guerre mondiale. Elle bat la ville de Montréal au Canada et celles de Colorado Springs et Lake Placid aux États-Unis pour obtenir l'organisation des Jeux de 1956. Ces Jeux sont uniques dans la mesure où presque tous les sites sont séparés par des distances très courtes. Le comité d'organisation reçoit un soutien financier du gouvernement italien pour améliorer les infrastructures, mais le reste des coûts doit être financé par le Comité olympique italien, qui est aidé par des sponsors.
Pas moins de 821 athlètes parmi 32 nations, un record pour les Jeux d'hiver, concourent dans quatre sports et vingt-quatre épreuves. L'Union soviétique, qui fait des débuts aux Jeux olympiques d'hiver, est la nation la plus médaillée. L'AutrichienToni Sailer devient le premier à remporter les trois médailles d'or de ski alpin la même année. Le SuédoisSixten Jernberg gagne quatre médailles en ski de fond, ce qui fait de lui l'athlète le plus médaillé de ces Jeux. Les épreuves de patinage artistique sont disputées pour la dernière fois à l'extérieur. Le seul problème logistique est le manque de neige sur les pistes de ski alpin. Pour y remédier, l'armée italienne transporte de grandes quantités de neige.
La politique n'a pas d'impact sur les Jeux d'hiver de 1956, comme c'est le cas lors des Jeux d'été, à Melbourne, en Australie, où la réponse soviétique à la Révolution hongroise et la crise du canal de Suez causent le boycott des Jeux de nombreuses nations. Les Jeux de Cortina sont les premiers à bénéficier d'une diffusion télévisuelle internationale. Comme les pays communistes ont des technologies plus avancées, des pays d'Europe de l'Ouest comme l'Allemagne de l'Ouest et la Finlande ne reçoivent les images des Jeux que par les diffuseurs communistes. C'est une victoire significative des Soviétiques dans leur propagande pendant la Guerre froide.
Refusé :
Relecture demandée :
Chainons manquants
Sélection partielle et partiale d'articles manquants sur la wikipédia en français :
Lors de la saison 2009/2010 il était pressenti pour jouer en France en Pro-A dans le club de Levallois.
Il est classé no 4 mondial en mai 2010, et no 5 en août 2010.
Il est devenu champion du monde en simple à Rotterdam le 15 mai 2011 en éliminant en 1/2 finale l'allemand Timo Boll, puis en battant en finale son compatriote Wang Hao tenant du titre 2009.
Il a également remporté la coupe du monde à Paris le 13 novembre 2011 en battant son compatriote Wang Hao tenant du titre en 2010.
Il remporte la médaille d'or aux Jeux Olympiques d'été de 2012 à Londres en battant son compatriote chinois Wang Hao, il gagne aussi la médaille d'or en par équipes contre la Corée du Sud avec ses compatriotes chinois Ma Long et Wang Hao.
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