13e division d'infanterie (France)
13e division d'infanterie | |
Insigne de la 13e division d’infanterie | |
Pays | France |
---|---|
Branche | Armée de terre |
Type | Division d'infanterie |
Rôle | Infanterie |
Guerres | Guerres napoléoniennes Première Guerre mondiale Seconde Guerre mondiale Guerre d'Algérie |
Batailles | Bautzen 1914 - Bataille du Donon 1914 - Bataille de la trouée de Charmes 1914 - Bataille du col de la Chipotte 1914 - 1re bataille d'Artois 1915 - 2e bataille d'Artois 1915 - 3e bataille d'Artois 1916 - Bataille de Verdun 1916 - Bataille de la Somme 1917 - Bataille de la Malmaison |
Commandant historique | Général de Castelnau Général Foch Général de Lattre de Tassigny |
modifier |
La 13e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé aux guerres napoléoniennes, à la Première Guerre mondiale, à la Seconde Guerre mondiale et à la Guerre d'Algérie.
Les chefs de la 13e division d'Infanterie
[modifier | modifier le code]- : général Pacthod
- - : général Jeanningros
- .
- - : général d'Auerstaedt
- .
- : général Derroja
- - : général Delebecque
- - : général de Bouillé
- .
- : général Davenet
- - : général Ferron
- - : général Thomas
- - : général Giovanninelli
- .
- : général Garcin
- - : général Rau
- .
- : général Rossin
- : général Lacroisade
- : général de Castelnau
- - : général Foch
- - : général Toutée
- .
- - : général Bourdériat[1]
- : général Baquet
- : général de Cadoudal
- : général Albert Marie Gabriel Martin des Bouillons
- : général Tabouis
- : général Caron
- - : général Jacquemot
- .
- - : général Sisteron
- .
- 1938 - 1940 : général Desmazes
- 1940 : général Baudouin
- - : général de Lattre de Tassigny
- 1956 - 1957 : général Aubert
- 1957 - 1958 : général Couzes[2]
- 1958 - 1958 : général Paquette[2]
- 1958 - 1959 : général Buffin
- 1959 - 1959 : général Crépin
- 1959 - 1960 : général Mirambeau[3],[4]
- 1960 - 1961 : général Philippe Ginestet
- 1961 - 1962 : général Cazelles
Guerres napoléoniennes
[modifier | modifier le code]En 1813, la 13e division fait partie du 12e corps d'armée. Elle compte 2 brigades.
Avant 1914
[modifier | modifier le code]Composition en août 1914
[modifier | modifier le code]- Quartier-général à Chaumont, général Bourdériat
- 25e brigade d'infanterie (général Barbade) :
- 17e régiment d'infanterie ; colonel Brue, cantonnement à Épinal,
- 17e bataillon de chasseurs à pied ; commandant Carrère, cantonnement à Baccarat,
- 20e bataillon de chasseurs à pied ; commandant Michaut, cantonnement à Baccarat,
- 21e bataillon de chasseurs à pied ; commandant Rauch, cantonnement à Raon-l'Étape.
- 26e brigade d'infanterie (colonel Hamon) :
- 21e régiment d'infanterie ; colonel Frisch[5], cantonnement à Langres,
- 109e régiment d'infanterie ; colonel Aubry[6], cantonnement à Chaumont,
- 62e régiment d'artillerie de campagne ; colonel Griache, cantonnement Épinal.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Composition
[modifier | modifier le code]- Infanterie :
- 17e régiment d'infanterie d' à .
- 17e bataillon de chasseurs à pied d' à .
- 20e bataillon de chasseurs à pied d' à la fin de la guerre.
- 21e bataillon de chasseurs à pied d' à la fin de la guerre.
- 21e régiment d'infanterie d' à la fin de la guerre.
- 109e régiment d'infanterie d' à la fin de la guerre.
- Cavalerie :
- Un escadron du 4e régiment de chasseurs à cheval d' à décembre 1915.
- Deux escadrons du 4e régiment de chasseurs à cheval de janvier à décembre 1917
- Artillerie :
- 62e régiment d'artillerie de campagne (3 groupes de 75) d' à la fin de la guerre.
- 9e groupe du 121e régiment d'artillerie lourde (rénommée 5e groupe en ) de à la fin de la guerre.
- Génie :
- 11e régiment du génie : compagnie 21/1 d' à la fin de la guerre, 21/1 bis (renommée 21/51) de à la fin de la guerre et 21/21 de à la fin de la guerre.
- Sapeurs-pionniers du 1er régiment du génie de janvier à décembre 1917.
- Un bataillon de pionniers du 143e régiment d'infanterie territoriale d' à la fin de la guerre.
Historique
[modifier | modifier le code]1914
[modifier | modifier le code]- Mobilisée dans la 21e région.
- – : transport par V.F. dans la région de Baccarat. À partir du , en couverture en rive droite de la Meurthe, Flin - Montigny - Badonviller - Celles-sur-Plaine - Senones - col de Saales. À partir du , passage d'un dispositif de couverture à un dispositif de bataille.
- 14 - : offensive du 21e Corps d'armée sur la frontière. La 13e DI progresse entre la vallée de la Plaine et celle de la Bruche ; prise par la 25e Brigade des cols du Donon, de Prayé, la 26e Brigade s'empare du col de Saales, du Hantz puis offensive dans la haute vallée de la Bruche, Schirmeck : Combat de Plaine.
- 19 - : engagée les 20 et dans la bataille du Donon, Petit Donon, Fallenberg. En infériorité numérique (une partie de la 25e brigade) après l'échec de la tentative de reprise du Petit Donon, les forces françaises doivent se replier après de lourdes pertes. Les troupes allemandes équivalentes à une division, également très éprouvées n'exploitent pas leur victoire. Repli sur la Meurthe, vers Raon-l'Étape, par le Donon et la vallée de la Plaine.
- 23 - : combats de Celles et de Badonviller. À partir du , repli vers l'est de Rambervillers.
- : combats vers Raon-l'Étape.
- – : engagée dans la bataille de La Mortagne. Reprise de l'offensive :
- 2 - : retrait du front, transport par voie ferrée de la région d'Épinal, à celle de Wassy : puis mouvement vers le sud de Sompuis.
- 8 - : engagée dans la Première bataille de la Marne.
- 8 - : bataille de Vitry : combats vers le camp de Mailly et vers Sompuis. À partir du 10, poursuite en direction de Souain, par Vésigneul-sur-Marne et Bussy-le-Château.
- – 1er octobre : combats à l'est de Souain, puis stabilisation et occupation d'un secteur de cette région.
- 1er - : retrait du front et transport par V.F. de la région de Châlons-sur-Marne, à celle d'Armentières, puis mouvement vers Lille.
- : combat de Fives-Lille.
- 6 - : mouvement, par la Bassée, en direction de Loos. Engagée dans la 1re bataille d'Artois. Combats vers Loos et Liévin et au nord du plateau de Notre-Dame-de-Lorette.
- – : occupation d'un secteur vers Noulette et Vermelles, étendu à droite, le , jusque vers Notre-Dame-de-Lorette : Combats à Vermelles, au Rutoire et vers Angres. Le , front réduit, à gauche jusque vers la fosse Calonne.
- 16 - : attaques françaises vers Notre-Dame-de-Lorette.
- : front réduit, à gauche, jusqu'à l'ouest d'Angres.
1915
[modifier | modifier le code]- – : retrait du front et repos au sud de Houdain.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Ablain-Saint-Nazaire et l'ouest d'Angres.
- 5 - et du 15 - : combats sur le plateau de Lorette.
- - : placée en 2e ligne ; travaux.
- – : engagée dans la 2e bataille d'Artois, vers Ablain-Saint-Nazaire et Notre-Dame-de-Lorette ; Le , prise de la chapelle de Notre-Dame-de-Lorette. À partir du , placée en 2e ligne, prête à intervenir dans la bataille. À partir du , occupation d'un secteur à l'est de Notre-Dame-de-Lorette et d'Ablain-Saint-Nazaire :
- 16 - : attaques françaises sur le plateau de Lorette, et avance jusqu'aux abords ouest de Souchez.
- – : engagée dans la 3e bataille d'Artois : prise de Souchez et du fortin du bois de Givenchy. Puis occupation du terrain conquis vers Souchez et la lisière ouest du bois de Givenchy.
- – : retrait du front : repos à l'ouest de Saint-Pol.
- – : occupation d'un secteur entre le nord de Souchez et l'ouest d'Angres. Au repos du 25 au , puis occupation d'un secteur vers Souchez et le bois de Givenchy.
- – : retrait du front et transport par camion dans la région d'Humières : repos.
1916
[modifier | modifier le code]- 1er février – : mouvement vers le nord d'Abbeville ; à partir du , séjour au camp Saint-Riquier. Le , transport par V.F., dans la région de Villers-Brûlin, puis, à partir du , dans celle de Bar-le-Duc. Repos vers Vaubecourt.
- 3 - : transport par camions à Verdun. À partir du 4, engagée dans la bataille de Verdun, entre le sud du village de Douaumont et l'étang de Vaux.
- 8, 10 et : attaques allemandes.
- : contre-attaque française.
- – : retrait du front et regroupement vers Bar-le-Duc : repos. À partir du , transport par V.F. dans la région de Châlons-sur-Marne : repos vers Mourmelon-le-Grand.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la butte de Souain et le sud de Tahure.
- – : retrait du front et mouvement vers le nord-ouest de Châlons-sur-Marne : repos. À partir du , transport par V.F. dans la région de Marseille-en-Beauvaisis : repos.
- 15 - : transport par camions vers le front. Engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
- : attaque française.
- – : retrait du front : transport par camion au sud de Moreuil.
- – : transport par camion vers le front. À partir du , engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
- : attaque française.
- : prise de Deniécourt.
- : front étendu, à droite, jusqu'au sud de Soyécourt. Les 10 et , attaques françaises sur Ablaincourt-Pressoir.
- – : retrait du front au nord de Beauvais : repos et instruction.
- – : transport par camions vers le nord, et occupation d'un secteur vers Ablaincourt-Pressoir et Génermont.
- 17 – : retrait du front, mouvement vers Grandvilliers : repos.
- – : transport par V.F. dans la région de Vesoul : repos et instruction au camp de Villersexel.
1917
[modifier | modifier le code]- – : transport par V.F. dans la région de Belfort, Petit-Croix : travaux. À partir du , mouvement, par Ronchamp, vers Villersexel : instruction au camp. À partir du , mouvement par étapes vers Héricourt, puis vers Belfort et Montreux-Vieux : travaux. À partir du , mouvement vers Villersexel : instruction. À partir du , transport par V.F. de la région de Belfort, dans celle d'Épernay et de Château-Thierry. Repos et instruction vers Condé-en-Brie. À partir du , mouvement par étapes vers la région de Soissons : repos.
- – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la ferme de Mennejean et le moulin de Laffaux
- : secteur étendu, à gauche, jusqu'au sud de Vauxaillon et réduit à droite, jusqu'au nord de Nanteuil-la-Fosse.
- – : retrait du front, mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.
- 4 – : mouvement vers le front. Éléments en secteur vers Nanteuil-la-Fosse et éléments aux travaux (préparatifs d'attaque)
- – : mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.
- 20 – : occupation d'un secteur vers la ferme Mennejean et le nord de Nanteuil-la-Fosse. À partir du , engagée dans la bataille de la Malmaison.
- 23 - : combats, puis organisation et défense des positions conquises, sur le Canal de l'Oise à l'Aisne, dans la partie est de la forêt de Pinon.
- – : retrait du front, transport par camions vers Crécy-la-Chapelle : repos et instruction.
- – : transport par V.F. de la région de Meaux, dans celle de Lure et de Villersexel. À partir du 13, mouvement vers Delle : travaux vers Héricourt.
1918
[modifier | modifier le code]- – : mouvement par étapes vers Le Thillot. À partir du , occupation d'un secteur vers Metzeral et le ballon de Guebwiller, étendu à droite, à partir du , jusque vers Leimbach.
- 20 – : retrait du front, et, à partir du , transport par V.F. vers Ville-en-Tardenois : repos.
- – : engagée dans la 3e bataille de l'Aisne : Résistance à la poussée ennemie dans la région de Fismes, puis dans celle de Châtillon-sur-Marne[7].
- – : retrait du front, transport par V.F. en Champagne. À partir du , occupation d'un secteur vers la ferme Navarin et l'Épine de Vedegrange : le 1er juillet, front déplacé à droite, entre la cote 193 et l'est de l'Épine de Vedegrange.
- : engagée dans la 4e bataille de Champagne. Puis contre-attaques et réorganisation du front vers le Trou Bricot et la ferme des Wacques.
- – : retrait du front : repos vers Saint-Germain-la-Ville.
- – : occupation d'un secteur vers le Trou Bricot et Le Mesnil-lès-Hurlus, déplacé à gauche, le , entre Perthes-lès-Hurlus et l'est de Souain. À partir du , engagée dans la bataille de Champagne et d'Argonne, d'abord en 2e ligne, puis, à partir du , en 1re ligne, vers Manre et Aure : progression vers Monthois.
- 3 - : attaques en 2e ligne.
- 12 – : retrait du front : mouvement vers Dommartin-sur-Yèvre : repos.
- – : transport par camions vers Reims, puis vers Asfeld-la-Ville.
- 1er novembre : occupation d'un secteur au nord-ouest de Condé-lès-Herpy, et progression jusqu'à la région de Saint-Fergeux.
- 5 – : engagée dans la poussée vers la Meuse : Progression vers la région de Signy-l'Abbaye, puis vers celle de Belval.
Rattachements
[modifier | modifier le code]Affectation organique : 21e CA d' à .
- –
- –
- 2e armée :
- 1er -
- –
- –
- 3e armée :
- 4 -
- 25 –
- 4e armée :
- 7 –
- –
- –
- 24 –
- –
- 5e armée :
- –
- –
- –
- 6e armée :
- –
- 27 -
- 7e armée :
- –
- –
- 9e armée :
- 14 -
- –
- 19 –
- –
L'entre-deux-guerres
[modifier | modifier le code]En 1920, la division a son quartier général à Épinal et est organisée comme suit[8] :
- 25e brigade d'infanterie (Épinal) :
- 26e brigade d'infanterie (Langres) :
- Artillerie : 62e régiment d'artillerie de campagne
La loi du , sur l’organisation générale de l’armée, et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. Ces dernières sont considérées comme des forces de territoire affectées à la défense du sol métropolitain. Ces grandes unités d’infanterie sont de trois types, dix divisions d’infanterie de type « nord-est », sept divisions d’infanterie motorisées et trois divisions d’infanterie alpine.
La 13e division d'infanterie, stationnée à Besançon, est de type « nord-est ». Sa composition est la suivante :
- 21e régiment d'infanterie : Chaumont
- 60e régiment d'infanterie : Besançon
- 8e régiment de tirailleurs marocains : Belfort
- 28e régiment d'artillerie divisionnaire : Chaumont
En 1934, elle est rattachée au 7e corps d'armée et engage les unités suivantes lors des manœuvres annuelles[9] :
- quartier général, à Besançon ;
- 21e régiment d'infanterie, de Chaumont et Langres ;
- 60e régiment d'infanterie, de Besançon et Lons-le-Saulnier ;
- 305e régiment d'artillerie portée, de Besançon ;
- un escadron du 11e régiment de chasseurs à cheval d'Épinal ;
- une compagnie du 506e régiment de chars de combat de Besançon ;
- une compagnie du 1er régiment du génie de Besançon ;
- une escadrille de la 32e escadre d'observation de Dijon ;
- 121e escadron du train, de Lure.
La Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Composition
[modifier | modifier le code]Le la 13e DI, sous les ordres du général Desmazes, est en réserve du GQG détachée au 7e corps d'armée.
À cette date, la 13e division d'infanterie se compose de :
- 21e régiment d'infanterie : Chaumont
- 60e régiment d'infanterie : Besançon
- 8e régiment de tirailleurs marocains : Belfort
- 28e régiment d'artillerie divisionnaire : Chaumont
- 228e régiment d'artillerie lourde divisionnaire
- 17e GRDI (Groupe de reconnaissance de division d'infanterie)
- et tous les services (Sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation etc.)
Historique
[modifier | modifier le code]En date du , dans une convention militaire française, secrète, avec la Suisse, le général Prételat fait allusion au détachement formé par les 13e, 27e division d'infanterie et la 2e brigade de Spahis du 7e corps de la 8e armée chargé de prendre contact avec l'aile gauche de l'armée suisse, vers Bâle dans la trouée de Gempen[réf. souhaitée]. À cette date, la 13e DI est envoyée auprès de la 10e armée dans la Somme[10].
Il tient les rives et les marais de la Somme à l'ouest d'Amiens et y freine le les 27. et 46. Infanteriedivisionen du 38. Armeekrops de Manstein qui essaie de percer à Breilly. Dispersés dans un secteur trop étiré, les Français résistent jusqu'au lendemain[11].
La division se replie sur l'Oise. Les ponts du secteur sont détruits par le génie, sauf une écluse à L'Isle-Adam dont la destruction risquerait de faire baisser le niveau de l'Oise[12]. La division repousse le 11 juin trois assauts consécutifs de la 8. Infanteriedivisionen, entre 10 h et 14 h. Un quatrième assaut lancé à 18 h 25 permet aux Allemands de prendre pied sur une île au milieu de l'Oise mais ils en sont chassés par une contre-attaque française à 22 h[13].
Sous Vichy
[modifier | modifier le code]L'après Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Guerre d'Algérie
[modifier | modifier le code]La 13e D.I. est recrée en 1956. Division occupant la Zone Sud Oranais pendant la guerre d'Algérie. Quartier Général situé à Méchéria. Elle est dissoute en 1962.
Elle comprend les unités suivantes[réf. nécessaire] :
- le 2e REI
- le commando Georges
- le commando Cobra
- le 1er RCC
- le 8e RIMa
- le 8e RIM (infanterie motorisée)
- le 23e spahis
Personnalités
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]- Limogé par Joffre fin août 1914 à la suite de l'affaire du Donon, il est remplacé par le général Baquet.
- « LE GÉNÉRAL PAQUETTE va prendre le commandement de la 13e division d'infanterie », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « LE GÉNÉRAL MIRAMBEAU », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Rejet d'une requête du général Mirambeau contre sa mise en disponibilité. », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- Gravement blessé lors du combat de Plaine le 14 août 1914, dans le massif forestier de la « Chatte Pendue ». Remplacé par le Commandant Faivre.
- Tué le 19 août 1914 à la bataille des Chênes, nord-ouest de Wisches. Remplacé par le Commandant Boreau de Roincé
- « Les offensives allemandes en 1918 : L'Aisne et le Chemin des Dames; mai 1918 », sur chtimiste.com (consulté le ).
- France Ministère de la guerre, Annuaire officiel des officiers de l'armée active, (lire en ligne), p. 110
- « Le maréchal Pétain assistera aux plus importantes manœuvres françaises de l'année », Paris-Midi, no 2573, , p. 1&3 (lire en ligne)
- Philippe Garraud, « Le rôle de l' « hypothèse Suisse » dans la défaite de 1940 ou comment une simple possibilité théorique a pu affecter la réalité », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 230, no 2, , p. 59 (ISSN 0984-2292 et 2101-0137, DOI 10.3917/gmcc.230.0059, lire en ligne, consulté le )
- Forczyk 2017, p. 287.
- Forczyk 2017, p. 341.
- Forczyk 2017, p. 348.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Ministère des Armées, État-Major de l'Armée de Terre, Service Historique, Inventaire sommaire des archives de la Guerre 1914-1918, Imprimerie « LA RENAISSANCE » — TROYES - Dépôt légal : 4e trimestre 1969 — No 19.982
- Laure, (Lt-col.) - Jacottet (cdt), Les étapes de guerre d'une division d'infanterie (13e division) 1914 - 1918, Paris, Berger-Levrault, 1928, 414 p.
- AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
- (en) Robert Forczyk, Case red : The collapse of France, 1940, Osprey Publishing, (ISBN 978-1-4728-2442-4 et 1-4728-2442-3, OCLC 1002657539, lire en ligne)