Ambacourt
Ambacourt | |
Vue aérienne d'Ambacourt. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes de Mirecourt Dompaire |
Maire Mandat |
André Oswald 2020-2026 |
Code postal | 88500 |
Code commune | 88006 |
Démographie | |
Gentilé | Ambacurtiens |
Population municipale |
279 hab. (2021 ) |
Densité | 41 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 20′ 52″ nord, 6° 08′ 32″ est |
Altitude | 260 m Min. 252 m Max. 357 m |
Superficie | 6,76 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Mirecourt |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
modifier |
Ambacourt Écouter (/ɑ̃.ba.kuʁ/) est une commune française située dans le département des Vosges, en Lorraine, dans l'actuelle région Grand Est.
Les habitants sont nommés les Ambacurtiens[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le village se situe à l’extrémité nord du département des Vosges à 4 km de son chef-lieu de canton : Mirecourt. Le village s’est développé à flanc de coteau sur la rive gauche du Madon.
Le bas du village se situe à une altitude de 259 mètres tandis que le haut culmine à plus de 280 mètres. Cette situation en hauteur permet aux visiteurs de le voir de très loin.
Bouzanville (Meurthe-et-Moselle) |
Diarville (Meurthe-et-Moselle) |
Pont-sur-Madon, Vomécourt-sur-Madon |
||
Puzieux | N | Bettoncourt | ||
O Ambacourt E | ||||
S | ||||
Poussay | Chauffecourt |
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Bassin versant du Rhin au sein du Bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Madon, le ruisseau du Xouillon, le ruisseau des Vrayes et le ruisseau le Hainvau[2],[Carte 1].
Le Madon, d'une longueur totale de 96,9 km, prend sa source dans la commune de Vioménil et se jette dans la Moselle à Pont-Saint-Vincent, après avoir traversé 47 communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[4].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Ambacourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,5 %), forêts (22,9 %), terres arables (18,8 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), cultures permanentes (5,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Autoroute A31 : Échangeur Châtenois.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]Transports aériens
[modifier | modifier le code]- Aéroport d'Épinal-Mirecourt « Vosges Aéroport ».
- À partir de l'été 2021, l’aéroport d’Épinal-Mirecourt devient le pélicandrome[17] de la Zone Est et servira ainsi de base de ravitaillement et d’intervention pour les avions bombardiers d’eau Q Series ou de Havilland Canada DHC-8, aussi connu sous le nom de Dash 8.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Ad Humbert curtem (1051) ; Eccl. de Ymberti curtie (1119) ; De Ymbercurte (1122) ; Imbericurt (1123) ; Allodium Imberticuriæ (1148) ; Imbecurt (1187) ; Embercourt, Ymbercort, (1224) ; Enbercour (1248) ; Embaycourt, Embercourt (1327) ; Embaycourt (1597) ; Ambaicourt 1656) ; Ambacourt (1711)[18].
Histoire
[modifier | modifier le code]- L'histoire d’Ambacourt débute dans l’Antiquité. La présence humaine est attestée par des tumuli datant de 1 000 à 500 ans av. J.-C. répartis dans les bois avoisinants. Les Romains étaient également présents sur le site mais les vestiges de cette époque sont rares, à peine quelques pièces de monnaie.
- C’est en 1119, dans une bulle du pape Calixte II, que l’on trouve pour la première fois le nom de Ymbercurte. On y apprend que le village est à l’abbaye de Chaumousey. L'étymologie pourrait être Humbert curtem du nom d'homme germanique Humbert et du latin cortem (domaine).
- En 1390, une bataille opposa les seigneurs bourguignons et le duc de Lorraine.
- Comme dans toute la région, Ambacourt subit les ravages des Suédois lors de la Guerre de Trente Ans ; en 1638, le meunier reste l’unique occupant du village.
- Village de l’ancien duché de Lorraine, c’est en 1594 qu’il est rattaché au bailliage des Vosges. Il dépend d’abord de la prévôté de Mirecourt et Remoncourt pour passer en 1751 au bailliage de Mirecourt. En 1790, il devient commune du canton de Charmes pour terminer en 1832 dans le canton de Mirecourt.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]Par arrêté préfectoral du , la commune est retirée le de l'arrondissement d'Épinal et rattachée à l'arrondissement de Neufchâteau[19].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[21] :
- total des produits de fonctionnement : 103 000 €, soit 1 375 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 51 000 €, soit 673 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 129 000 €, soit 1 726 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 6 000 €, soit 76 € par habitant ;
- endettement : 0 €, soit 7 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 28,04 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 46,10 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 28,03 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 500 €[22].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2021, la commune comptait 279 habitants[Note 4], en évolution de −10,58 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[27] :
- Écoles maternelles et primaires à Poussay, Diarville, Mirecourt, Savigny.
- Collèges à Mirecourt, Charmes, Dompaire, Vézelise, Bayon.
- Lycées à Mirecourt, Thaon-les-Vosges, Mandres-sur-Vair, Harol.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[28] :
- Médecins à Mirecourt, Diarville, Mattaincourt, Charmes, Tantonville, Haroué.
- Pharmacies à Mirecourt, Diarville, Mattaincourt, Charmes, Haroué, Vincey, Portieux, Remoncourt.
- Hôpitaux à Mirecourt, Mattaincourt, Charmes, Ville-sur-Illon.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint-Pierre-Fourier[29], Diocèse de Saint-Dié.
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture et élevage associés.
- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage de chevaux et d'autres équidés.
- Exploitation forestière.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements et restauration à Mirecourt, Rugney, Rouvres-en-Xaintoix, Vincey, Goviler.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Église Saint-Pierre. -
Carte postale n°2529, représentant le pont d'Ambacourt passant sur la rivière le Madon, entre 1880 et 1945.
- L’église actuelle a été édifiée en 1842[30], et le maître-autel est classé au titre des objets mobiliers[31] (Loi du 31 décembre 1913 sur les monuments historiques)[32].
- Le bâti ancien du XIXe siècle est encore bien présent.
- Maisons traditionnelles lorraines, anciens lavoirs et fontaines agrémentent le village[33].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- François Chopin, grand-père paternel de Frédéric Chopin, y est né en 1738[35].
- Pierre Parisot[36].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Étude du patrimoine de la commune par le service régional de l'Inventaire général du patrimoine culturel.
- Archives communales d’Ambacourt (1678-1948)
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Pages du site de la Communauté de communes
- Ambacourt sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Ambacourt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Gentilé Vosgiens, Vosgiennes
- « Fiche communale d'Ambacourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Madon »
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambacourt et Mirecourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Les pélicandromes
- Paul Marichal, Dictionnaire topographique du département des Vosges, Paris, (lire sur Wikisource), p. 4-5.
- Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du , , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Pierre-Fourier
- Photo intérieur de l'église
- Notice no PM88000001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Autel, tabernacle (maître-autel)
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), Ministère de la Culture (France), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Lorraine
- Les fermes, les maisons d'ouvrier et les maisons de la commune d'Ambacourt
- Monument aux morts
- Ascendance de Frédéric Chopin sur le site de l'UCGL
- Jean-Marc Toussaint, 100 portraits d’hommes et de femmes qui réussissent en dehors des Vosges, Strasbourg, Les cahiers de La Liberté de l'Est. Une réalisation des Editions La Nuée Bleue, , 144 p.Numéro 3. Pierre Parisot le bâtisseur. Il a notamment dirigé les travaux du Stade de France et du Tunnel sous la Manche, pp. 38 à 41.