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Champclause

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Champclause
Champclause
L'église du bourg
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité Communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal
Maire
Mandat
Emmanuel Palhier
2020-2026
Code postal 43260 et 43430
Code commune 43053
Démographie
Population
municipale
204 hab. (2021 en évolution de +2 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 25″ nord, 4° 10′ 36″ est
Altitude Min. 1 108 m
Max. 1 436 m
Superficie 22,27 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Mézenc
Législatives Première circonscription
Localisation
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Champclause
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Champclause
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Champclause

Champclause est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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C'est une commune de moyenne montagne, aux hivers rigoureux, sise sur un plateau de 1 200 mètres environ, et parsemée de plusieurs mornes, parmi lesquels le mont Testavoyre, point culminant du massif du Meygal (1 436 m), dont le flanc sud-est occupe l'extrême nord de la commune. Le quart nord-ouest de Champclause est couvert d'une forêt de résineux.

Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Champclause se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 29 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 16 km du Chambon-sur-Lignon[2], bureau centralisateur du canton du Mézenc dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Montusclat (4,2 km), Fay-sur-Lignon (5,7 km), Saint-Front (5,7 km), Mazet-Saint-Voy (6,0 km), Araules (7,5 km), Les Vastres (7,7 km), Queyrières (8,2 km), Chaudeyrolles (8,3 km).

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 044 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 7,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 975,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Champclause est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,6 %), forêts (30,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 273, alors qu'il était de 264 en 2013 et de 258 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 32,7 % étaient des résidences principales, 56,2 % des résidences secondaires et 11,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Champclause en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (56,2 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,9 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Champclause en 2018.
Typologie Champclause[I 2] Haute-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 32,7 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 56,2 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 11,1 12,4 8,2

La partie sud-est du Velay, où se situe la commune de Champlause, a vu se maintenir au fil des siècles, en dépit des persécutions, toute une population protestante, concentrée surtout dans le canton de Fay-sur-Lignon, mais aussi dans quelques cantons limitrophes de l’Ardèche. Au XIXe siècle, 3 % de la population de la Haute-Loire est de confession calviniste. Ainsi les localités de Mazet-Saint-Voy et de Chambon-sur-Lignon sont-elles presque entièrement protestantes, de même que le petit village de Champclause. La commune de Champclause comptait en 1760 une centaine de protestants, et le pourcentage de ceux-ci dans la population totale de la commune était en 1851 de 27 %[14]. De la même manière que cette partie du Velay a été longtemps divisée par une opposition permanente et farouche (sans toutefois jamais prendre des tours violents) entre catholiques et protestants, l’histoire de la commune de Champclause a également été marquée par cet antagonisme religieux, se traduisant en l’espèce par des tentatives répétées de détacher de Champclause le village de Boussoulet.

Politique et administration

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Outre le chef-lieu Champclause, petite localité assez retirée, la commune comprend les villages et hameaux suivants : Boussoulet, traversé par la route départementale D 15, Montvert, Ourbe, Faussimagne et Montival.

Découpage territorial

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La commune de Champclause est membre de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Julien-Chapteuil. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[15].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Mézenc pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[16].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 juin 2018 Michel Dupéray[17] DVD  
juin 2018 En cours
(au 27 mai 2020[18])
Emmanuel Palhier    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 204 habitants[Note 3], en évolution de +2 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9206687919019621 0421 1661 1251 091
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0581 0649931 0271 0641 0661 1761 0871 050
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0441 0201 048931873796789724641
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
525446373274243229224200199
2021 - - - - - - - -
204--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,7 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 109 hommes pour 95 femmes, soit un taux de 53,43 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 7]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
3,2 
9,4 
75-89 ans
7,5 
28,3 
60-74 ans
30,1 
18,9 
45-59 ans
21,5 
16,0 
30-44 ans
12,9 
8,5 
15-29 ans
10,8 
17,9 
0-14 ans
14,0 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2021 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,4 
75-89 ans
11,7 
20,4 
60-74 ans
20,5 
21,3 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,2 
17 
0-14 ans
15,6 

En 2018, la commune compte 84 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 183 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 680 [I 9] (20 800  dans le département[I 10]).

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 11] 10,5 % 6,1 % 3,6 %
Département[I 12] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 115 personnes, parmi lesquelles on compte 67 % d'actifs (63,4 % ayant un emploi et 3,6 % de chômeurs) et 33 % d'inactifs[Note 5],[I 11]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 14]. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 36 en 2013 et 41 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 75, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,1 %[I 15].

Sur ces 75 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 69,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,7 % les transports en commun, 15,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église de Boussoulet
Intérieur de l'église de Boussoulet.

L’église du petit village de Champclause, placée sous le vocable de la Vierge Marie et citée pour la première fois en 1165, comporte une abside romane et jouxte le cimetière, qu’elle a pu conserver.

Le village de Boussoulet, tout en continuant cependant de dépendre administrativement de Champclause, a été érigé en paroisse autonome en 1841. L’on entreprit alors d’aménager en église une ancienne ferme de 1783, abandonnée, la grange se transformant en nef, et le logis du fermier en presbytère ; enfin, un clocher fut ajouté à l’ensemble. La dernière restauration, datant de 1981, est à l’origine de l’ameublement et de la décoration intérieure actuelle de la nef ; le parti pris d’utiliser les matériaux du pays a conduit à prendre pour autel un bloc de phonolite, à creuser, pour en faire des fonts baptismaux, une pierre du Meygal, et à disposer en arrière-plan de l’autel un groupe de troncs d’épicéa dressés. Les vitraux modernes sont de Jean-Paul Six.

Le lac Bleu de Champclause est une curiosité géologique. Au lieu-dit les « Balayes », ce lac à la couleur émeraude est le résultat d’une ancienne exploitation de lauze. Pendant plus de trois siècles et demi, les « lauzerons » (ou lauzeurs) ont creusé le sol toujours plus profond afin d’en extraire la roche. En 1910, les lauzerons mettent au jour une source qui alimente aujourd’hui encore le lac Bleu. Ils la détournent via une tranchée au moyen de chéneaux en bois[23]. La carrière ayant été abandonnée depuis les années cinquante, la source a repris son cheminement initial[24]. En s'altérant, cette roche de type phonolite s'altère en libérant une eau riche en argiles et/ou silice qui forme une suspension colloïdale à la couleur bleu turquoise. La carrière de lauzes de Bélistard a été transformée en base de loisirs, avec notamment un sentier géologique et le musée de la lauze exposant des maquettes au 1/10° aux toitures réalisées dans cette roche[25].

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a b c d e et f Insee, « Métadonnées de la commune de Champclause ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Champclause » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Champclause - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Champclause - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Champclause (43053) », (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Champclause » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Champclause » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Champclause » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Champclause et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Champclause et Le Chambon-sur-Lignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Champclause », sur villorama.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Champclause et Mazet-Saint-Voy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Cf. Gilles Charreyron, Politique et religion ― Protestants et catholiques de la Haute-Loire (éd. Institut d’études du Massif central), p. 19. Ouvrage consultable sur Google Books.
  15. « communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  16. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  17. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
  18. « Emmanuel Palhier réélu maire », sur leprogres.fr, .
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Cette même tranchée, toujours visible de nos jours, leur a servi à remonter les lauzes grâce à un système de rails où circulaient des wagonnets tractés par un treuil.
  24. « À Champclause, le Lac bleu dans l’écrin de lauzes d’une ancienne carrière », sur leprogres.fr, .
  25. Christiane Sabouraud, Guide de la géologie en France, Belin, , p. 102.

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Articles connexes

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Liens externes

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