Aller au contenu

Drucourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Drucourt
Drucourt
La mairie.
Blason de Drucourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Lieuvin Pays d'Auge
Maire
Mandat
Nicolas Thuret
2020-2026
Code postal 27230
Code commune 27207
Démographie
Gentilé Drucourtois
Population
municipale
581 hab. (2021 en évolution de −2,52 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 00″ nord, 0° 27′ 59″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 198 m
Superficie 11,97 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bernay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives 3e circonscription de l'Eure
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Drucourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Drucourt
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Drucourt
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Drucourt

Drucourt est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]

Drucourt est une commune de l'ouest du département de l'Eure. Elle est située dans la région naturelle du Lieuvin[1], aux portes du pays d'Auge, entre Lisieux et Bernay, à 2 km de Thiberville.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernay à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier | modifier le code]

ZNIEFF de type 1

[modifier | modifier le code]
  • Le bois, les prairies et l'étang du bois Guillaume[10].
  • Les prairies du Maurey[11].

Au , Drucourt est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,8 %), prairies (26,2 %), forêts (7 %), zones urbanisées (4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 312, alors qu'il était de 304 en 2015 et de 298 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 82,4 % étaient des résidences principales, 13,8 % des résidences secondaires et 3,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Drucourt en 2020 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,8 %) supérieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,7 % en 2015), contre 65,3 % pour l'Eure et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Drucourt en 2020.
Typologie Drucourt[I 2] Eure[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 82,4 85,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,8 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 3,8 8,2 8,2

Le nom de la localité est attesté sous les formes Droacort, Droacourt, Droecourt vers 1144 et 1149 (charte de Henri II), Droscort en 1155 (charte de Goscelin Crespin), Droiencort en 1200 (Rotuli Normanniæ), Drocourt en 1226 (cartulaire du Bec)[16], Drocicuria en 1314 (charte de Louis le Hutin), Droecort en 1320 (assiette du comté de Beaumont), Droucourt en 1370 (cartulaire de Beaumont), Drocour en 1722 (Masseville)[17].

Il s'agit d'une formation toponymique en -court. Plutôt que d'y voir un nom de personne germanique (ici Drudo), comme c'est le cas pour la plupart des noms de ce type, il peut s'agir de l'adjectif dru « fort », issu du gaulois *druto, ce qui explique le féminin des formes Droa- / Drue- du XIIe siècle, -court étant féminin. On retrouve d'ailleurs, dans la région, ce même adjectif dru directement associé à des appellatifs postposés : Druval, Drubec, etc[18].

La rubanerie à Drucourt

[modifier | modifier le code]

L'industrie rubanière est durant un siècle et demi une activité essentielle du village, qui date du début du XVIIIe siècle ; on relève alors le nom de 10 rubantiers à Drucourt en 1723, 12 fabricants et 234 emplois en 1834[19]. Les textiles employés étaient le lin du Lieuvin, le chanvre et le coton[19].

Le métier de rubanier demandait un apprentissage d'environ six mois qui se faisait le plus souvent en famille : on était rubanier de père en fils. Le rubanier était généralement propriétaire de son outil de travail et celui-ci transmis de père en fils par le contrat de mariage et placé dans une petite pièce spéciale dite ouvreux et située au levant de la maison et dont les petites ouvertures pratiquées entre les colombages (ou des colombages ajourés dit cassis) permettaient à la lumière d'éclairer le métier.

Les rubaniers étaient généralement agriculteurs et ils travaillaient sur leur métier en dehors des périodes de travaux dans les champs. Le travail sur le métier demandait une position courbée, et une certaine force ; il était réservé aux hommes.

Les femmes avaient un métier spécifique, celui de « fileuse » et pour cette activité, elles utilisaient un rouet et un dévidoir. Au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle, la rubanerie se développe dans le Lieuvin ; on dénombre sept fabricants à Drucourt en 1881 et la plus grosse manufacture emploie 40 ouvriers.

L'activité décline à partir de 1860, mais reste importante : elle est naturellement réduite durant la Première Guerre mondiale , période où une part de la main d’œuvre est envoyée à l'armée, et, en 1933, 700 ouvriers, répartis sur 9 usines du secteur de Thiberville, produisent 500 000 mètres de rubans de lin et de coton par jour. En 1937, l'activité se concentre à Drucourt, Duranville, Fontaine-la-Louvet et Thiberville puis cesse après la Seconde Guerre mondiale[20],[19].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Bernay du département de l'Eure.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Thiberville[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Beuzeville

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Eure.

Intercommunalité

[modifier | modifier le code]

Drucourt était membre de la communauté de communes du canton de Thiberville, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Lieuvin Pays d'Auge, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1842   Pierre-Vincent Conard fils   Fabricant
Conseiller d’arrondissement de Thiberville (1833 → 1848)
avant 1862[22]   Vincent Conard   Conseiller d’arrondissement
         
    Maurice Mesnil[23] Union nationale Industriel
Conseiller d’arrondissement de Thiberville (1934 → 1940)
Conseiller général de Thiberville (1945 → 1955)
Officier de la Légion d'honneur
         
1989 2008 Gérard Descourtis SE Maçon
mars 2008 avril 2014 Philippe Touflet[19] SE Retraité
avril 2014[24] mai 2020 Nicolle Morineau DVD Photographe de presse retraitée
mai 2020[25] En cours
(au 22 décembre 2023)
Nicolas Thuret   Cadre technico commercial

Équipements et services publics

[modifier | modifier le code]

Un petit marché de producteurs locaux se tient le samedi matin, place de la mairie[26].

Espaces publics

[modifier | modifier le code]

La commune a été labellisée Trois fleurs lors du concours des villes et villages fleuris en 2023[27].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 581 habitants[Note 2], en évolution de −2,52 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1591 0601 2541 2221 3041 3181 3071 2541 230
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1651 2121 1141 0301 002908904842776
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
788801697608618557529499516
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
482461469512554614598590608
2015 2020 2021 - - - - - -
596584581------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

L'association Auto-rétro de Drucourt organise une concentration de voitures anciennes, une bourse de pièces détachées et une foire à tout dans la commune, dont la 12e édition a eu lieu le [31],[32].

Le trimestriel l'Esprit de clocher relate les nouvelles de la commune.

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

La commune de Drucourt compte deux édifices inscrits au titre des monuments historiques :

  • L'église Notre-Dame (XIe, XVIe, XVIIe et XVIIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1954)[33].
  • L'ancien château du Bosc-Henry[34] (XVIIe et XVIIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1954)[35]. Le corps central du château est abattu en 1835, laissant deux pavillons esseulés.

On peut également noter :

  • Musée de la rubannerie, installé depuis 2014 dans l'ancienne salle du catéchisme, derrière la mairie, et qui présente l’histoire industrielle du bassin de Thiberville, où se trouvaient plusieurs entreprises fabriquant petites et grosses bobines de tissu[19],[36]
  • Le camping des Etangs du Bois-Guillaume, où sont organisés des tournois de pêche.
  • Centre équestre de La Bazane[37].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Drucourt Blason
D’azur au ruban d’argent posé en fasce accompagné en chef d’un léopard et en pointe d’une croisette de malte, le tout d’or.
Détails
Le léopard d'or des armoiries de Drucourt rappelle les armoiries de la Normandie.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Lien externe

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Drucourt » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Drucourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Drucourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans l'Eure » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

[modifier | modifier le code]
  1. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Drucourt et Bernay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bernay » (commune de Bernay) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Le bois, les prairies et l'étang du bois Guillaume », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Les prairies du Maurey », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bernay », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 101.
  17. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 73.
  18. François de Beaurepaire, op. cit.
  19. a b c d et e Juliette Boffy, « À Drucourt, le ruban raconté dans un musée : Niché dans l'ancienne salle de catéchisme, le musée de la rubanerie rappelle le passé industriel de Drucourt (Eure) à travers de nombreux objets et archives symboliques », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Source : madame Thérèse Mesnil.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Serge Velain, « La vie à Bernay et ses environs sous le Second Empire (2e épisode) : Un peu à la manière d'Alain Decaux... c'est Pierre Espaldet qui nous narre l'histoire de Bernay et ses environs, sous le Second Empire », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Ministère de la culture - Base Léonore », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Nouveau maire au conseil », Paris-Normandie,‎ .
  25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. Juliette Boffy, « Après le Covid, le marché de Drucourt tient bon : Pour faire face à la pandémie, la commune de Drucourt (Eure) a créé un petit marché de producteurs locaux. Depuis presque deux ans, il se tient chaque samedi devant la mairie », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Lina Tran, « Villes et villages fleuris : Drucourt est récompensé pour son travail sur l'environnement : La commune de Drucourt (Eure) a reçu une troisième fleur lors du concours départemental des Villes et villages fleuris. Une preuve de son engagement pour l'environnement », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Le Drucourt Auto Rétro rassemblent des passionnés de voitures anciennes : A Drucourt (Eure), le Drucourt Auto Rétro - DAR pour les intimes - rassemblent des amis autour d'une même passion : les voitures anciennes », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Alain Morineau, « Drucourt. Au moins 200 véhicules sont attendus pour la 12e édition de l'Auto-rétro : La douzième édition de l'Auto-rétro de Drucourt proposée par l'association du même nom se déroulera ce 1er octobre 2023. Au moins 200 véhicules sont attendus. », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Église », notice no PA00099392, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Le dire de l'architecte des bâtiments de France - 10 septembre 2015 [1].
  35. « Ancien château du Bosc-Henry », notice no PA00099391, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Dans l’Eure, l’histoire de la rubanerie s’expose dans un musée à Drucourt : La rubanerie a constitué pendant plusieurs siècles une activité incontournable dans le Lieuvin. Une activité dont le musée de la rubanerie, à Drucourt, a conservé des traces. Visite guidée », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  37. « Drucourt. Le centre équestre de La Bazane au petit trot : Le centre équestre de la Bazane, situé à Drucourt (Eure), propose des activités tous les jours pendant l'été. De quoi préparer correctement l'année prochaine », L'Éveil normand,‎ (lire en ligne, consulté le ).