Esmery-Hallon
Esmery-Hallon | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Péronne | ||||
Intercommunalité | CC de l'Est de la Somme | ||||
Maire Mandat |
François Laloi 2020-2026 |
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Code postal | 80400 | ||||
Code commune | 80284 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
721 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 43′ 03″ nord, 3° 00′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 57 m Max. 87 m |
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Superficie | 18,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Ham (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Ham | ||||
Législatives | 5e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://esmery-hallon.fr | ||||
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Esmery-Hallon est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]À une douzaine de kilomètres à l'est de Roye et à cinq kilomètres au sud-est de Ham, le village est accessible par la route départementale 17.
Localisation
[modifier | modifier le code]Hombleux | Eppeville | Muille-Villette | ||
Grécourt | N | Golancourt (Oise) | ||
O Esmery-Hallon E | ||||
S | ||||
Libermont (Oise) |
Fréniches (Oise) |
Flavy-le-Meldeux (Oise) |
Environnement
[modifier | modifier le code]À la suite d'un orage survenu le , la commune, ainsi que cinq autres du secteur de Ham, est reconnue en état de catastrophe naturelle[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Allemagne, la Folie[2], le Bonneuil[3], la Fontaine de Villette[4] et le ru de l'abbaye[5],[Carte 1].
L'Allemagne, d'une longueur de 13 km, prend sa source dans la commune de Fréniches et se jette dans la Somme canalisée à Voyennes, après avoir traversé sept communes[6].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[7].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 694 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 18 km à vol d'oiseau[10], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Esmery-Hallon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ham, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[15]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), forêts (6,4 %), zones urbanisées (3,3 %)[18]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 53, Roye - Esmery-Hallon - Ham)[19].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Esmery est attesté sous les formes Esmeriacum… ; Hesmeri en 1135 ; Vesmeri en 1145 ; Vesmery en 11.. ; Hesmereium en 11.. ; Wesmeri en 1193 ; Hesmeirio en 11.. ; Aismeri en 1222 ; Esmeri en 1230 ; Moiri en 1230 ; Vesmerium en 12.. ; Esmery en 1341 ; Esmeries en 1465 ; Aymery en 14.. ; Aismery en 14.. ; Aymery-Chatteau en 1592 ; Emery en 1638 ; Desmery en 1648 ; Emeri en 1733 ; Esmery-Hallon en 1764 ; Emerie en 1778 ; Eaner en 1787 ; Hemery en 1790 ; Emmery en 1824-28 ; Emery-Hallon en 1836[20].
Il s'agit d'une formation gallo-romaine en -(i)acum[21] « lieu de, propriété de » qui a régulièrment abouti à la terminaison -y dans une grande partie du domaine d'oïl. Le premier élément Esmer- représente peut-être le nom de personne germanique Asmar[21].
Hallon, partie de Esmery-Hallon, est attesté sous les formes Halo en 1126[22] ; Halon en 1155[23] ; Halons en 1245 et en 1260[22] ; Hallon en 1733 ; Hallens en 1757[23].
Histoire
[modifier | modifier le code]La commune est longuement occupée par l'armée allemande, qui détruit de nombreux bâtiments[24],[25].
À la fin de la guerre, la commune est considérée comme totalement détruite[26]. Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [27].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.
La commune fait partie depuis 1793 du canton de Ham[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune fait toujours partie, est modifié, passant passe de 19 à 67 communes.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Hamois, qui succédait au district de Ham, créé en 1960, que Brouchy avait rejoint en 1961.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[29], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[30].
La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[31],[32].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2021, la commune comptait 721 habitants[Note 3], en évolution de −6,85 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école primaire publique d'Esmey-Hallon compte 70 élèves à la rentrée scolaire 2017[40].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Martin[41].
- Détruite pendant la Première Guerre mondiale[42],[43], elle est reconstruite en brique dans l'entre-deux-guerres.
- Chapelle Saint-Martin.
- Reconstruite en 1959, la chapelle originelle était plus près du centre du village. Saint-Martin sur son cheval a été sculpté par un habitant[44].
- Ancien prieuré de Saint-Nicolas aux Bois, mentionné sur carte de Cassini.
-
L'église Saint-Martin.
-
Le monument aux morts.
-
La chapelle Saint-Martin, en bordure de rue.
Héraldique
[modifier | modifier le code]La commune possédait ces armoiries dans les années 1920, elles figurent sur la frise héraldique de la gare de Ham (1929). Il s'agit des armes de la famille d'Esmery, seigneurs du lieu, avec quelques modifications[45]. Blasonnement :
Ornement extérieur : |
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- 6 cartes postales anciennes, parmi lesquelles, par exemple, une vue de l'église :
- avant 1914-1918 et une autre
- sans le clocher
- « Dossier complet : Commune d'Esmery-Hallon (80284) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Esmery-Hallon » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Arnaud Brasseur, « Les inondations de fin juin, une catastrophe naturelle », Le Journal de Ham, nos 50/2016, , p. 4.
- Sandre, « la Folie »
- Sandre, « le Bonneuil »
- Sandre, « la Fontaine de Villette »
- Sandre, « le ru de l'abbaye »
- Sandre, « l'Allemagne »
- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Esmery-Hallon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ham », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 338 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 270b
- Paul de Cagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, vol. 2, , p. 338.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 450 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
- Section photographique de l'armée, « Photo : Esmery-Hallon. La mairie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Esmery-Hallon. Destructions systématiques par les Allemands. Un coin du village détruit », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
- V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard, (lire en ligne) « Imposée par l'État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
- « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50, , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l'Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
- « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Extrait de la fiche de M. François Laloi », sur lesbiographies.com, (consulté le ).
- « Canton de Ham », Résultats départementales 2015, sur francetvinfo.fr (consulté le ).
- Justine Esteve, « Esmery-Hallon : Francois Laloi réélu maire », Le Journal de Ham, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Esmery-Hallon, d'après nature, 8 mai 1875 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Esmery-Hallon. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Esmery-Hallon. L'église et ses abords », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 42, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 276 (ASIN B000WR15W8).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).