Le barème de points est identique à l'année précédente. Le calcul est identique dans les catégories féminines et masculines. Le score final cumule les 4 meilleures performances de la saison. Pour être classé, un athlète doit participer à au moins deux épreuves[1].
La montée du Grand Ballon, seule épreuve de 2e niveau, n'attire que peu de coureurs étrangers. Les Français, Julien Rancon en tête, s'approprient le podium. David Schneider termine quatrième[2]. Les coureurs kényans prennent un bon départ sur le plat à Mayrhofen mais arrivés à la terrible montée de la piste Harakiri, ils lèvent le pied. Ahmet Arslan s'envole en tête, seulement suivi par Jonathan Wyatt. Le Suisse Schneider termine troisième[3]. La course de montagne du Feuerkogel se déroule dans une atmosphère lourde à la suite de la mort du président Günther Lemmerer la veille dans un accident de voiture. Sur un parcours légèrement modifié, Ahmet Arslan décroche sa seconde victoire d'affilée. Il devant les Kényans Isaac Toroitich Kosgei et Christopher Chebusit Kipchirchir[4]. Les championnats du monde à Kamnik sont dominés par les coureurs africains. Samson Kiflemariam remporte le titre devant son compatriote Azerya Teklay. L'Ougandais Geoffrey Kusuro complète le podium[5]. Lors de la finale à Šmarna Gora, Ahmet bat à nouveau Wyatt pour aller remporter la victoire et la coupe. Robert Krupička termine sur la troisième marche du podium devant David Schneider qui se classe troisième du Grand Prix[6].