Monoblet
Monoblet | |||||
Les Jumelles de Monoblet, 2018 | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Le Vigan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Piémont Cévenol | ||||
Maire Mandat |
Philipe Castanon 2020-2026 |
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Code postal | 30170 | ||||
Code commune | 30172 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
774 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 00′ 05″ nord, 3° 53′ 13″ est | ||||
Altitude | Min. 173 m Max. 600 m |
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Superficie | 21,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Quissac | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | [1] | ||||
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Monoblet est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Rivière Crespenou, le Conturby, le ruisseau de Valestalière et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monoblet est une commune rurale qui compte 774 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Ses habitants sont appelés les Monoblétois ou Monoblétoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit autres communes :
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le relief monoblétois est constitué de collines. Deux collines proches, Rouquette et Saint-Chamand, de taille et de forme équivalentes, sont communément appelées Les Jumelles et sont emblématiques du village[1].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Une rivière, le Crespenou, prend sa source à Monoblet même[2].
Six ruisseaux traversent également la commune :
- Le Conturby
- Le ruisseau de Valestalière
- Le ruisseau de Garonne
- Le ruisseau des Tuileries
- Le ruisseau de Ribou
- Le Russargues[3]
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 197 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 3,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Colognac à 6 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 502,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Monoblet est traversé par les départementales 122, 133, 185 et 213.
Le village est desservi par le réseau de bus Edgard[10].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11],[12]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[13].
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[14],[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 2[Note 2] sont recensées sur la commune[16] :
- les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[17] ;
- les « plaines de Pompignan et du Vidourle » (12 043 ha), couvrant 12 communes dont 9 dans le Gard et 3 dans l'Hérault[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Monoblet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,1 %), cultures permanentes (2,2 %), zones urbanisées (1,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Monoblet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la rivière Crespenou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1995, 2002 et 2014[25],[23].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[26]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 58,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 411 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 247 sont en aléa moyen ou fort, soit 60 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Monoblet est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Provençal Mounoublet, Manoublet, du roman Monoblet, du bas latin Monobletum, Monogletum, Monoguletum[30].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et Antiquité
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Le village est mentionné sous le nom de Sanctus-Johannes de Monoguleto en 1320 dans les papiers de la famille Daudé d'Alzon, et sous le nom de Monogletum en 1384 dans le dénombrement de la sénéchaussée[31].
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Religion
[modifier | modifier le code]Les Montèzes, un hameau rattaché à la commune de Monoblet, a été le théâtre du premier synode du désert, le . Cet événement, en réaction à la révocation de l'Édit de Nantes en 1685, a été décisif pour l'avenir des Églises réformées. Un jeune prédicant, Antoine Court, l'a présidé. Après cette réunion des Montèzes, plusieurs synodes provinciaux se sont réunis en 1717, 1718, 1720 et 1721[32].
Commerce et industrie
[modifier | modifier le code]L'industrie de la soie tient une place importante à Monoblet. Mais le , quand un arrêt du Conseil fixe des règles strictes concernant la fabrication de bas de soie au métier à tisser, seules Nîmes et Uzès sont désignées autorisées à en confectionner[33]. Une décision qui provoque des oppositions de la part des fabricants des autres villes.
Le , sur initiative de Nîmes, les bonnetiers de Monoblet et d'autres villes et villages (dont Saint-Hippolyte, Ganges, Sauve, Anduze, Lasalle, Le Vigan) signent une convention qui les autorise à fabriquer des bas de soie au métier à tisser (chose qu'ils faisaient déjà, à contre-courant de l'arrêt de 1700) et les met en même temps sous le joug des bonnetiers de Nîmes. Ils doivent se faire recevoir maîtres dans la communauté de Nîmes, se soumettre à leurs règlements et participer à leurs dépenses[34].
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]En 1828, Monoblet compte 1 040 habitants dont 950 réformés, mais pas de temple. Le culte réformé se célèbre en plein air ou dans les granges[35].
Ce n'est qu'en 1843 que le temple de Monoblet est construit[36].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]De 1967 à 1996, Fernand Deligny a vécu à Monoblet, dans le hameau des Graniers, développant des manières novatrices de prendre en charge les enfants autistes[37].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].
En 2021, la commune comptait 774 habitants[Note 3], en évolution de +12,5 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]L'école maternelle et primaire de Monoblet, rattachée à l'académie de Montpellier (zone C), compte 97 élèves[42].
Santé
[modifier | modifier le code]Plusieurs professionnels de santé exercent à Monoblet. On compte notamment un cabinet infirmier[43].
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Des fêtes votives sont organisées en été à Monoblet[44],[45],[46].
Depuis 2000, le temple de Monoblet accueille une exposition annuelle de peinture intitulée "D'ici et d'ailleurs". Elle regroupe essentiellement des artistes originaires de Monoblet et de ses alentours[47],[48].
De fin 2017 à début 2020 une petite vitrine ornée de peluches animées et autres créations originales égaie le hameau des Montèzes[49].
Cultes
[modifier | modifier le code]Monoblet dispose d'une église et d'un temple.
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]En 2011, Monoblet comptait 258 ménages, et son revenu fiscal médian par ménage était de 21 751 €.
Monoblet était alors au 29 470 e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[I 2].
Emploi
[modifier | modifier le code]En 2014, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 437 personnes, parmi lesquelles on comptait 70,1 % d'actifs. 47 personnes étaient au chômage, soit 15,2 % des actifs de cette tranche d'âge.
On comptait 183 emplois dans la zone d'emploi, contre 157 en 2009. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 261, l'indicateur de concentration d'emploi est de 69,8 %[I 3].
Entreprises
[modifier | modifier le code]En 2015, Monoblet comptait 108 établissements actifs : 88 étaient sans salarié, 19 avaient entre 1 et 9 salariés et un avait entre 10 et 19 salariés[Insee 1].
Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]En 2015, parmi ses 108 établissements actifs, Monoblet comptait 52 établissements dans les commerces et services, 17 dans la construction, 16 dans l'agriculture et 16 dans l'administration publique[Insee 1].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Les lieux suivants se trouvent à Monoblet :
- le temple protestant octogonal à l'orée du village, lieu de diverses manifestations culturelles : expositions de peinture[47],[48], concerts, soirées contes ;
- l’église Saint-André proche de la mairie ;
- le dolmen du Col de l'Aubret.
Un article de 1904 évoque un dolmen situé à proximité du hameau des Graniers[50].
Il est également à noter qu'il existe dans le hameau des Montèzes un chemin menant au château de Fressac.
- Le château de Blanquiès. Hameau qui domine le vallon de Valestalière. Vers 1900, une des maisons du hameau a fait l'objet de l'ajout de deux tours, l'une carrée l'autre ronde, lui donnant une allure de Château. Cette propriété appartenait à la famille de Pépin, qui descend d' Antoine Pépin, ministre de la parole de Dieu à Monoblet, en 1583. Puis elle passe au noble Jean de Pépin, sieur du Cayla, époux de Domergue de Folaquier, fille du seigneur de La Calmette, puis au noble Théodore de Pépin, seigneur de Monoblet, sieur de Fontsèque, au XVIIe siècle. En 1700, un arrêt du parlement, parle de "Théodore de Pépin, inféodataire du mas des Boquiers ou Blanquiers, dans le terroir de Valestalière". Au XIXe siècle, la famille Moutier est propriétaire de la plus grande partie du hameau de Blanquiers. Puis au cours du XIXe siècle, l'ensemble passe à la famille Dadre qui détenait déjà une maison du hameau, elle lui a donné son aspect actuel.
-
Église Saint-André de Monoblet
-
Temple de Monoblet
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Château de Blanquiès. Propriété de la famille Dadre
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Le château de Fressac, accessible depuis un chemin partant du hameau des Montèzes (Monoblet)
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Dolmen du Col de l'Aubret
-
L'arrivée aux Montèzes depuis Monoblet
Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Max Olivier-Lacamp (1914-1983), journaliste et écrivain. Il a vécu à Monoblet dont une rue porte son nom.
- Alain Duhamel (1940), journaliste politique et essayiste. Il séjourne à Monoblet depuis 1967 et s'y est marié[51].
- Ysabelle Lacamp (1954-2023), écrivain. Elle a vécu à Monoblet[52] et y est inhumée.
- Eve Luquet, artiste.
- Fernand Deligny, a travaillé auprès d'enfants autistes dans le hameau des Graniers et est mort à Monoblet[53].
- Émile Meslé (1919-1994), ethnologue, historien, anthropologue, érudit et humaniste français, y a possédé une maison de 1969 à 1993 où il aimait se ressourcer.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D'argent, à un griffon de gueules[31]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- monoblet.fr Site officiel
- « Monoblet (Communauté de Communes Cévennes-Garrigue) », sur cevennes-garrigue.fr (consulté le )
- « Monoblet (office de tourisme intercommunal Cévennes-Garrigue) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur cevennes-garrigue-tourisme.com (consulté le )
- « Monoblet sur le site de Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Monoblet », sur insee.fr (consulté le )
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Notes de type "I"
- Insee, « Métadonnées de la commune de Monoblet ».
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 », sur insee.fr (consulté le ).
- « Dossier complet - Commune de Monoblet (30172) », sur insee.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Caractéristiques des établissements au 31 décembre 2015 (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2021289).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « MONOBLET », sur piemont-cevenol-tourisme.com (consulté le ).
- « Etude de détermination des volumes prélevables - BASSIN VERSANT DU VIDOURLE - Phases 1, 2 et 3 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « L'eau dans la commune : MONOBLET (30) », sur sierm.eaurmc.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Monoblet et Colognac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Colognac » (commune de Colognac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Colognac » (commune de Colognac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Edgard », sur edgard-transport.fr (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le ).
- « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le ).
- « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Monoblet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Monoblet », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Monoblet », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français, Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 363, t. 2
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- Statistique des Églises réformées en France. Suivie des lois, arrêtés, ordonnances, circulaires et instructions qui les concernent, de l'indication des sociétés religieuses et des écoles, avec un tableau général (lire en ligne), page 77.
- Patrick Cabanel (dir.), Itinéraires protestants en Languedoc du XVIe au XXe siècle. Tome I : Les Cévennes, Presses du Languedoc, , 479 p. (ISBN 978-2-85998-194-5, lire en ligne), page 402.
- Jean Milhau, « La route de Monoblet », VST - Vie sociale et traitements, , pp. 99-105 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « École élémentaire publique - Monoblet - Gard (30) - Ministère de l'Éducation nationale »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur education.gouv.fr (consulté le ).
- « Santé », sur monoblet.org (consulté le ).
- « Fête votive de Monoblet | Mairie de Lasalle », sur lasalle.fr, (consulté le ).
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- Béatrice Han Kia-ki, « Le cercle, l’O et l’eau : radeau - Fernand Deligny et le langage », VST - Vie sociale et traitements, , p. 49 à 51 (ISSN 0396-8669, lire en ligne).