Le Grand Prix de Monaco est une des plus anciennes et prestigieuses courses automobiles, disputée en Principauté de Monaco, sur un circuit urbain conçu en 1929, par Antony Noghes fils du Président de l'Automobile Club de Monaco, sous les auspices du Prince Louis II de Monaco. Cette création répondait au défi d'organiser une compétition sur le territoire exigu de Monaco (environ 1,5 km² à l'époque), condition requise par la Commission Sportive Internationale pour que l'Automobile Club de Monaco soit reconnu internationalement. En effet, l'autre grande compétition monégasque, le Rallye Monte-Carlo, créé dès 1911, était disputé sur les routes de nombreux pays d'Europe.
Le Grand Prix de Monaco est organisé par l'Automobile Club de Monaco fondé sous le nom de Sport Vélocipédique de Monaco en 1890, qui organise également le Rallye automobile Monte-Carlo, des épreuves historiques, une compétition pour véhicules électriques ou hybrides et la coupe de Kart de Monaco.
La course inaugurale est remportée le par William Grover-Williams, au volant d'une Bugatti officielle du constructeur de Molsheim. La Principauté ne connaît depuis lors que quatorze années sans Grand Prix. Le Grand Prix de Monaco fut la seconde épreuve du premier championnat du monde de Formule 1, le 21 mai 1950. L'édition 1952 du Grand Prix ne figure pas au programme du championnat de monde de Formule 1 car les organisateurs privilégient cette année-là la catégorie sport. Après une éclipse de deux années sans course, le Grand Prix de Monaco reprend en 1955 avec un plateau de Formule 1. La course figure depuis cette date, chaque année au calendrier du championnat du monde de Formule 1.
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Nouvelles de la semaine
27 mai : Mark Webber (Red Bull) est devenu le sixième vainqueur différent de la saison en gagnant devant Rosberg (Mercedes) et Alonso (Ferrari). Ce dernier est premier d'un championnat indécis.
Entretien de la semaine
Je préfère garder le secret sur mon nom ce que je peux vous dire c'est que j'adore le football et tout les sports depuis tout petit.
Le football est le sport que je regarde le plus, j'ai aussi pratiqué ce sport, je trouvais normal que je m'investisse sur le sujet. Les sujets concernant le football me passionnent; surtout j'aime créer des articles sur le football. Par contre je n'aime pas l'argent qui coule à flot. quand on sait que certaines personnes n'arrivent pas à vivre et que le Real a 1 milliard de dettes ça me met en rage.
Le week-end est émaillé de nombreux accidents, dont celui de Sergio Pérez en qualifications et celui de Vitaly Petrov au soixante-dixième tour du Grand Prix, les deux pilotes devant être évacués en ambulance vers l’hôpital Princesse Grace. L’épreuve est dominée par l’Allemand Sebastian Vettel, pilote Red Bull Racing et champion du monde en titre. Parti une nouvelle fois depuis la pole position, sa cinquième en six courses, il mène le Grand Prix pendant soixante et un des soixante-dix-huit tours de piste. Il s’impose devant Fernando Alonso, qui signe son meilleur résultat de la saison en terminant deuxième, alors que Jenson Button s’empare de la troisième place. À l’issue de la course, Vettel accroît son avance sur ses concurrents en tête du championnat du monde, avec 143 points sur 150 possibles. Il devance Lewis Hamilton et Mark Webber. À la fin du Grand Prix, seize des vingt-quatre pilotes en lice au championnat du monde ont marqué au moins un point.
Chez les constructeurs, Red Bull Racing conserve la tête du championnat avec 222 points, devant McLaren et Ferrari. À l’issue de la course, neuf des douze écuries engagées au championnat ont marqué des points, Lotus, Virgin et HRT n’en ayant pas encore inscrit.
Otto Wilhelm Rudolf Caracciola, dit Rudolf Caracciola, né le et mort le , est un coureur automobile et motoallemand puis suisse d’origine italienne. Il est considéré comme l’un des plus grands pilotes de Grands Prix d’avant-guerre et reconnu pour son perfectionnisme. Son record de victoires au Grand Prix d’Allemagne est toujours inégalé en .
Caracciola commence à courir sur moto, puis sur auto alors qu’il travaille en tant qu’apprenti pour les automobiles Fafnir à Aix-la-Chapelle au début des années 1920. Il pilote ensuite pour Mercedes-Benz avec qui il remporte le championnat d’Europe de la montagne à deux reprises (1930 et 1931) puis signe chez Alfa Romeo qui lui permet de remporter ce même championnat en 1932. L’année suivante, il fonde, avec le monégasqueLouis Chiron, la Scuderia CC (pour Caracciola et Chiron) ; à la suite des séquelles d’un accident aux essais du Grand Prix de Monaco 1933, il est obligé de se retirer de toute compétition pendant plus d’un an. De retour à la compétition en 1934 avec l’écurie Mercedes-Benz, récemment reformée, il remporte trois championnats d’Europe des pilotes, en 1935, 1937 et 1938.
Après avoir pris sa retraite sportive, Rudolf Caracciola travaille pour Mercedes-Benz en tant que vendeur, avec pour mission de cibler les troupes de l’OTAN stationnées en Europe. Il meurt à Cassel dans le land de Hesse en Allemagne et est enterré en Suisse où il vit depuis le début des années 1930.
Si Sebastian Vettel est devenu à 23 ans, 4 mois et 11 jours, le plus jeune champion du monde de l'histoire de la Formule 1, le plus vieux pilote à être sacré fut Juan Manuel Fangio qui avait 46 ans, 1 mois et 11 jours lorsqu'il remporta son cinquième et dernier titre.
L'Italie est le pays qui dispose du plus grand nombre de circuits homologués pour la pratique de la Formule 1 avec Monza, Mugello, Fiorano, Vairano et Imola.
Le 24 octobre 1971, le Grand Prix automobile du Mexique est annulé suite au décès, en juillet, du pilote mexicain Pedro Rodriguez. L'épreuve est alors remplacée par une course hors-championnat à Brands Hatch à cette date devenue vacante : la Victory Race. Joseph Siffert, coéquipier de Rodriguez chez Yardley Team BRM prend part à contre-coeur à cette épreuve, et y trouve la mort sur sortie de piste.
Les funérailles de Joseph Siffert, le 29 octobre 1971 à Fribourg, sa ville natale ont eu un retentissement énorme dans un pays où la compétition automobile est interdite : cinquante mille personnes ont suivi le corbillard et la Porsche 917 de Siffert à travers les rues de la ville.
Le Grand Prix automobile du Brésil2011, disputé le sur le circuit d'Interlagos, est la 858e épreuve du championnat du monde de Formule 1 courue depuis 1950 et la dix-neuvième et dernière manche du championnat 2011. Il s'agit de la trente-neuvième édition du Grand Prix comptant pour le championnat du monde, la vingt-neuvième disputée à Interlagos.
La séance de qualifications est marquée par la performance du champion du monde Sebastian Vettel : en décrochant sa quinzième pole position de la saison, il bat le record de Nigel Mansell qui en avait obtenu quatorze lors de la saison 1992. En course, il est néanmoins devancé par son coéquipier Mark Webber qui signe sa seule victoire en 2011 à l'occasion de la dernière épreuve et s'offre par la même occasion la troisième place du championnat du monde avec 258 points. Le podium est complété par le Britannique Jenson Button qui, avec 270 points, termine dauphin de Vettel au volant de sa McLaren. Sur les vingt-huit pilotes en lice au championnat, dix-neuf ont inscrit au moins un point au cours de la saison.
Chez les constructeurs, l'écurie Red Bull Racing, déjà assurée depuis plusieurs courses du titre de championne du monde, termine sa saison en signant le onzième doublé de son histoire, le troisième en 2011. Avec 650 points, l'équipe autrichienne devance largement McLaren (497 points) et Ferrari (375 points). Sur les douze écuries engagées au championnat du monde, neuf ont marqué des points au cours de la saison, Lotus, Virgin et HRT terminant avec un compteur vierge.
L'épreuve de rugby à XV aux Jeux olympiques d'été de 1920 est la troisième édition depuis l'introduction du rugby à XV comme sport olympique aux Jeux de 1900. En raison du désistement de dernière minute de la Tchécoslovaquie et de la Roumanie, une seule rencontre est disputée entre l'équipe des États-Unis et l'équipe de France le 5 septembre. Les Américains deviennent champions olympiques en battant les Français sur le score de 8 à 0. Un match de revanche est organisé le 10 octobre suivant et les Français dominent 14 à 5 les Californiens, surnom donné à l'équipe américaine qui est composée essentiellement d'étudiants des universités californiennes.
Le Wanderers Football Club est un club de footballanglais actif entre 1859 et 1887. Ce club amateur, principalement composé d’élèves des écoles privées de Londres, a été l’une des équipes qui ont dominé les premières années du football anglais en remportant les deux premières Football Association Challenge Cup.
Avant la première édition de la Coupe d’Angleterre en 1871, le club ne joue que des rencontres amicales, les règles variant de match en match. Même après la formation de la Fédération anglaise de football en 1863, fédération dont les Wanderers sont un des membres fondateurs, le club continue à pratiquer le football avec des règles différentes de celles de la fédération. Il devient néanmoins une des équipes de pointe du football anglais. Outre les deux premières éditions de la Coupe d’Angleterre, les Wanderers remportent trois autres victoires successives en coupe avant la fin des années 1870, exploit qui n’a été répété qu’une seule fois depuis.
Parmi les joueurs qui ont joué pour le club, deux ressortent tout particulièrement : Charles Alcock, souvent considéré comme le « père du football moderne », et Arthur Kinnaird, 11e Lord Kinnaird, considéré comme le plus grand joueur des premières années du football. En accord avec leur nom qui signifie « les Vagabonds », les Wanderers n’ont jamais eu de stade attitré et ont joué sur différents terrains de Londres et de ses environs. Au milieu des années 1880, le club perd de sa superbe et commence à décliner. Les dernières années, il ne dispute plus qu’un seul match par an contre Harrow School, l’école d’origine d’un grand nombre des membres du club.
Elle débute en championnat au Grand Prix des États-Unis et succède à l'Eurobrun ER189. Cette monoplace, conçue par George Ryton, Roberto Ori et Kees van der Grint, est directement inspirée de sa devancière de la saison 1989. Pilotée par le pilote brésilien Roberto Moreno et l'Italien Claudio Langes, elle est engagée à quatorze reprises mais ne parvient à se qualifier que deux fois, en début de saison aux mains de Roberto Moreno.
Faute de moyens financiers et de résultats, Walter Brun, le propriétaire d'Eurobrun Racing, annonce à l'issue de la saison européenne, qu'il désire désormais uniquement se consacrer à son engagement en championnat du monde des voitures de sport et qu'il déclare forfait pour le restant de la saison. Sanctionné de 400 000 dollars d'amende pour ses deux forfaits, Eurobrun quitte définitivement la Formule 1. L'ER189B est donc la dernière monoplace de Formule 1 de l'écurie.
Il débute le football dans le club de la Jeanne d'Arc le Béarn de Pau. Après avoir remporté le concours du jeune footballeur en 1964, Jean-Michel Larqué est repéré par l'AS Saint-Étienne. Il rejoint l'équipe première en 1966 et en devient le capitaine quelques années plus tard. Remportant de nombreux trophées sur la scène nationale avec l'équipe stéphanoise, il participe à l'« épopée des Verts » et échoue en finale de la Coupe d'Europe des clubs champions contre le Bayern Munich en 1976. Un an plus tard, il signe au Paris Saint-Germain où il devient entraîneur-joueur. Après deux ans dans le club de la capitale, il termine sa carrière dans le club du Racing club de Paris où il est de nouveau entraîneur-joueur. Il met un terme à sa carrière professionnelle en 1983.
En équipe de France, Jean-Michel Larqué joue 14 matchs et inscrit 2 buts entre 1969 et 1976. Il participe aux Jeux olympiques de 1968 à Mexico, puis à la Coupe de l'Indépendance du Brésil en 1972 lors de laquelle la France est éliminée de la phase de poule. À trois reprises, il est capitaine de l'équipe nationale. Jean-Michel Larqué est élu meilleur joueur français de l'année par ses pairs en 1975 et reçoit la médaille de l'Académie des sports en 1975. Il est également major de sa promotion d'entraîneur.
Il devient en 1979 commentateur sportif sur Antenne 2 aux côtés de Thierry Roland. En parallèle, il est journaliste pour le mensuel Onze Mondial à partir de 1980 puis rédacteur en chef de ce magazine jusqu'en 2001. Après avoir quitté Antenne 2 pour TF1, il poursuit sa carrière de commentateur toujours aux côtés de Thierry Roland, avec lequel il forme l'un des duos les plus célèbres de la télévision française. Leur duo et la célèbre phrase de Larqué « Tout à fait Thierry » inspirent les Guignols qui créent leurs marionnettes en 1992. Président du district de football des Pyrénées-Atlantiques depuis 2006, il est le commentateur des matchs de football sur TF1 avec Thierry Roland entre 1985 et 2005 puis Thierry Gilardi entre 2005 et 2008 et enfin Christian Jeanpierre entre 2008 et 2010. Jean-Michel Larqué quitte TF1 à l'issue de la Coupe du monde 2010. En 2011, son duo avec Thierry Roland est reformé sur M6. Aujourd'hui, Il est animateur radio de l'émission Larqué Foot sur la radio RMC.
À l'occasion de cette course inaugurale, le pilote allemand Sebastian Vettel, déjà titré double champion du monde avant même l'issue de la saison, réalise le premier « grand chelem » de sa carrière. En effet, en plus d'ajouter ce nouveau Grand Prix à son palmarès, il décroche la pole position, mène l'intégralité de la course et réalise le meilleur temps au tour. Sur le podium, il est accompagné de Jenson Button, deuxième du championnat du monde et de Fernando Alonso qui termine troisième. Avec 374 points contre 240 pour son plus proche poursuivant, Vettel accroît encore son avance en tête du classement. À l'issue du Grand Prix, dix-neuf des vingt-huit pilotes en lice au championnat du monde ont inscrit au moins un point.
Chez les constructeurs, l'écurie Red Bull Racing, déjà sacrée championne du monde, augmente encore son capital en tête du classement : avec un total de 595 points, l'équipe autrichienne devance McLaren Racing (442) et Ferrari (325). À l'issue de ce Grand Prix, neuf des douze écuries en lice au championnat ont marqué des points, Team Lotus, Virgin et HRT n'ayant toujours pas atteint le niveau de performance suffisant.
En 1949, il remporte le Trophée Lady Byng et il totalise 284 points en 774 matchs à la fin de sa carrière. Au cours de ses quatorze saisons dans la LNH, il compte moins de 100 minutes de pénalité, ce qui en fait l'un des joueurs les moins pénalisés de l'histoire de la ligue. Même s'il ne remporte jamais la Coupe Stanley, il est intronisé au Temple de la renommée du hockey en 1976 alors qu'il est entraîneur de hockey puis de golf pour les Tigers de Princeton. Il meurt d'une pneumonie le .
Lorsqu'il met fin à sa carrière d'entraîneur, Auerbach totalise 938 victoires en National Basketball Association (NBA) et neuf titres de champion NBA (second entraineur le plus titré après les onze titres de Phil Jackson). En dix-sept saisons d'entraineur, il a toujours qualifié son équipe pour les playoffs. Comme directeur général et président des Celtics de Boston, il ajoute sept autres titres NBA pour un total de 16 championnats remportés en 29 saisons, faisant de lui l'un des dirigeants les plus titrés de l'histoire du sport nord-américain.
Auerbach est considéré comme l'un des pionniers du basket-ball moderne, orienté vers une défense dure, un grand nombre de points marqués et introduisant la contre-attaque comme une des principales tactiques offensives. Durant sa carrière, il dirige de nombreux joueurs qui sont désormais au Basketball Hall of Fame. Auerbach élimine un certain nombre de barrières ethniques dans le basket-ball américain. Il est le premier dirigeant à avoir recruté un joueur noir en NBA, Chuck Cooper en 1950, et met sur le terrain la première équipe titulaire composée uniquement de joueurs noirs en 1964. Connu pour fumer un cigare quand il pense la victoire assurée, cette habitude est devenue un des symboles de la victoire des Celtics de Boston.
En 1967, la récompense NBA Coach of the Year, qu'Auerbach a remporté en 1965, est renommé le « Red Auerbach Trophy », et Auerbach est introduit au Basketball Hall of Fame en 1969. En 1980, il est désigné comme le meilleur entraîneur de l'histoire de la NBA par la Professional Basketball Writers Association of America et NBA Executive of the Year en 1981. De plus, Auerbach est l'un des 10 plus grands entraîneurs de l'histoire de la NBA. Le maillot 2 des Celtics de Boston a été retiré en son honneur.
Larry Joe Bird, parfois surnommé « Larry Legend » ou « gold hand » ou « the Hick from French Lick », est un joueur, entraîneur et dirigeant de basket-ballaméricain né le à West Baden Springs, dans l'Indiana.
Larry Bird est distingué à trois reprises du titre de meilleur joueur de la ligue (NBA Most Valuable Player Award) et, à deux reprises, du titre de meilleur joueur des finales NBA (NBA Finals Most Valuable Player Award). En 1998, il est introduit au Basketball Hall of Fame, le Temple de la renommée du basket-ball, et en 2010, figure une seconde fois au palmarès de celui-ci en qualité de membre de la Dream Team.
À l'issue de sa carrière de joueur, Larry Bird effectue une courte carrière d'entraîneur, récompensée du titre d'entraîneur de l'année, NBA Coach of the Year, en 1998, et atteignant les Finales NBA en 2000.
La Fédération sportive et culturelle de France (FSCF) est un organisme fondé en 1898 par le docteur Paul Michaux sous le nom d’Union des sociétés de gymnastique et d’instruction militaire des patronages et œuvres de jeunesse de France, vite remplacé par celui de Fédération gymnastique et sportive des patronages de France, afin de regrouper les nombreux patronages paroissiaux qui se développent à la fin du XIXe siècle. Si elle puise ses lointaines origines dans le christianisme social du XIXe siècle, elle doit sa véritable reconnaissance nationale à sa participation active — à travers la gymnastique et la préparation militaire — à l’effort de redressement national qui marque les débuts du XXe siècle dans un contexte délicat pour elle et marqué par l’anticléricalisme. Elle contribue cependant déjà à l’éclosion des sports et plus particulièrement du football ainsi qu’à la fondation de la Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive.
Bénéficiant de la reconnaissance d’utilité publique par décret du 31 mars 1932, elle connaît entre les deux guerres un développement exceptionnel qui en fait alors un temps la première fédération française. Elle change de nom peu après la Libération mais ses associations, jusqu’ici intimement liées aux paroisses, se trouvent souvent confrontées à une mise à distance par ces dernières. La Fédération sportive de France, qui s’est jusqu’ici limitée à la seule organisation des spécialités sportives, prend alors en charge l’ensemble de leurs activités et change à nouveau son nom pour celui de Fédération sportive et culturelle de France en 1968.
Quelque peu contestée au sein du monde catholique lors de la mise en œuvre du concile Vatican II, elle ressent la nécessité de se définir clairement à travers un document d’orientation fondamental et, sans renoncer à ses références initiales, se fixe aujourd’hui pour but la formation de citoyens et citoyennes, acteurs responsables des modifications de la société. Elle reste clairement d’obédience chrétiennecatholique mais accueille tous les publics dans un esprit d’ouverture laïque : respect, partage et prise en compte de chacun dans l’acceptation et l’expression de sa personnalité fondamentale.
La Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive (FICEP) est une organisation non gouvernementale internationale regroupant les fédérations sportives catholiques nationales européennes et africaines. Elle est fondée entre 1906 et 1911, sous le nom d’Union internationale des œuvres catholiques d’éducation physique (UIOCEP), à la demande du pape Pie X et à l’initiative conjointe des fédérations italienne, belge et française.
Elle est alors présidée par un garde noble du Vatican, Mario di Carpegna, qui laisse la place en 1919 pour se consacrer à la structuration du scoutismecatholique italien puis international. Entre les deux guerres, alors qu'on enregistre l'adhésion des pays d'Europe orientale, celle de l'Allemagne pose longtemps problème à la Belgique et aux Alsaciens de la Fédération gymnastique et sportive des patronages de France. Il faut toute la diplomatie de Félix van de Kerkhove et Armand Thibaudeau, respectivement président et secrétaire général, ainsi que la signature du traité de Locarno pour y aboutir en 1927.
Après la guerre 1939-1945, l'Union internationale des œuvres catholiques d’éducation physique devient Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive. La décolonisation française entraîne l'adhésion d'une nouvelle nation, Madagascar, et la chute du mur de Berlin le retour des nations d'Europe orientale disparues avec l'Armistice et la conférence de Yalta. En dépit de l'adhésion récente du Gabon, la Fédération internationale catholique d’éducation physique et sportive reste une fédération essentiellement européenne.
L’apparition des fédérations sportives spécialisées après la Première Guerre mondiale ne semble pas lui poser de problèmes contrairement à l’Union des sociétés françaises de sports athlétiques qui disparaît de la scène nationale. La Fédération gymnastique et sportive des patronages de France connaît même alors un développement exceptionnel, dans le domaine du basket-ball en particulier.
Sa capacité, qui fut de près de 11 500 places au tournant des années 1990, a été réduite à 5 000 suite au départ de l'équipe première malherbiste, puis augmentée en 2011 à 7 000 places pour le tournoi des six nations des moins de 20 ans.
Le vélodrome est équipé d'une piste de ciment recouverte de résine, longue de 400 mètres et large de 5,90 mètres.
Le stade est toujours utilisé à par l'équipe réserve du Stade Malherbe Caen et les équipes de jeunes du club. Il sert également de terrain d'entraînement à l'école de cyclisme de l'Étoile sportive caennaise.
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