Saint-Jory
Saint-Jory | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Toulouse | ||||
Intercommunalité | Toulouse Métropole | ||||
Maire Mandat |
Victor Denouvion 2023-2026 |
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Code postal | 31790 | ||||
Code commune | 31490 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Joryen, Saint-Joryenne | ||||
Population municipale |
7 346 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 385 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 44′ 35″ nord, 1° 22′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 105 m Max. 125 m |
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Superficie | 19,1 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Toulouse (banlieue) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castelginest | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Saint-Jory est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, la Garonne, le Girou, l'Hers-Mort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protégés (le « cours inférieur de la Garonne » et le « Ramier de Bigorre ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jory est une commune rurale qui compte 7 346 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Joryens ou Saint-Joryennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1927.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Jory se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Saint-Jory fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].
Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 7 km de Castelginest[3], bureau centralisateur du canton de Castelginest dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Sauveur (2,6 km), Bruguières (3,9 km), Lespinasse (4,0 km), Castelnau-d'Estrétefonds (4,6 km), Gagnac-sur-Garonne (4,8 km), Cépet (5,0 km), Bouloc (5,1 km), Seilh (5,4 km).
Saint-Jory est limitrophe de sept autres communes.
La Garonne sépare la commune de celle de Merville, en rive gauche ; l'Hers sépare la commune de celle de Saint-Sauveur, en rive droite, et Le Girou puis l'Hers séparent la commune de celle de Castelnau-d'Estrétefonds, en rive droite.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Jory est établie sur la première terrasse de la Garonne, dans la plaine toulousaine de la Garonne.
La superficie de la commune est de 1 910 hectares ; son altitude varie de 105 à 125 mètres[6].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Garonne, le Girou, l'Hers Mort, le ruisseau de nauze geaune et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].
Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans l'Hers-Mort sur le territoire communal, après avoir traversé 31 communes[10].
La commune est traversée par le canal latéral à la Garonne avec une écluse (Ecluse N° 6).
-
Ecluse N°6 de Saint-Jory sur le canal latéral à la Garonne
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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Jory.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- le « cours inférieur de la Garonne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 452,7 ha[19] ;
- le « Ramier de Bigorre », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 119,5 ha[20].
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[22] :
- « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[23]
et un au titre de la directive oiseaux[22] :
- la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac », d'une superficie de 4 493 ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Sept espèces de hérons y nichent, dont le héron pourpré, ainsi que le Milan noir (avec des effectifs importants), l'Aigle botté, le Petit gravelot, la Mouette mélanocéphale, la Sterne pierregarin et le Martin-pêcheur[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[25] : les « gravières de Saint-Caprais et de la Gravette » (233 ha), couvrant 3 communes du département[26] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[28].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Jory est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 5], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 6],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), zones urbanisées (20,1 %), terres arables (15,1 %), eaux continentales[Note 8] (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Accès par l'autoroute A62, sortie 11 Saint-Jory-Grenade.
Transports
[modifier | modifier le code]- La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Saint-Jory, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Toulouse-Matabiau, Montauban-Ville-Bourbon, Cahors et Brive-la-Gaillarde.
- La ligne 59 du réseau Tisséo relie le collège et le centre de la commune à la station La Vache du métro de Toulouse, en passant par Lespinasse, Gagnac, Fenouillet et Aucamville, la ligne 372 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Larra, la ligne 377 relie la commune à la gare routière de Toulouse également depuis Grisolles, et la ligne 848 du réseau liO relie la commune à la gare routière de Toulouse et au centre-ville de Montauban.
- Le triage de Saint-Jory : la gare de triage de Saint-Jory est la principale gare de triage SNCF de Toulouse était l'une des trois plus grandes d'Europe. La zone dite du triage de Saint-Jory se situe en réalité à 3 km plus au sud, sur la commune de Lespinasse.
Voir aussi Triage de Saint-Jory.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Jory est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[30]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Toulouse, regroupant 15 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[32]. Les événements significatifs passés sont la crue généralisée sur le bassin de la Garonne des 23 et 24 juin 1875 (7 500 m3/s à Toulouse), qui a fait 208 morts et détruit 1 219 maisons, et la crue des 1er au (3 300 m3/s) à Toulouse, qui a fait 7 victimes. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[33]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009 et 2022[34],[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 873 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 873 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2006, 2015, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[30].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[37].
La commune est en outre située en aval des barrages de Cap de Long sur la Neste de Couplan (Hautes-Pyrénées) et de l'Estrade sur la Ganguise (Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[38].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Saint-Jory, comme Saint-Juéry, est une forme occitane de Saint Georges. Une statue du saint sauroctone surmonte une porte de l'église qui lui est dédiée.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1603, Henri IV érige la châtellenie en baronnie[Laquelle ?].
Avant 1222, Saint-Jory se trouve sous la domination des comtes de Toulouse. Mais leurs vassaux pillent l'église.
Au XIIIe siècle, Hugues, sénéchal de l'Agenais, prend position pour les Albigeois : il défend Toulouse et Penne-d'Agenais, sous la conduite du comte de Lancastre, et dévaste Saint-Jory en se rendant à Toulouse.
Le XVe siècle voit le début d'une série de luttes et de procès entre le village et la famille des Garrigia de Villeneuve. Les villageois se révoltent contre Jean de Garrigia, et ce n'est qu'au XIXe siècle que cessent les procès.
Sous la domination des Du Faur, un château de la Renaissance est construit. En 1569, les guerres de religion le ruinent, lui et l'église.
Ensuite vient la Révolution française, et avec le XIXe siècle ses transformations, ses plans d'aménagements.
Territoire communal
[modifier | modifier le code]Le territoire de l'ancienne commune de Novital-Viguerie, supprimée en 1846, est partagé entre Saint-Jory et Lespinasse[39]. Le lieu-dit « la Viguerie » est rattaché à Lespinasse tandis que « Novital » et son château se rattachent à Saint-Jory.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Saint-Jory se blasonnent ainsi : « D'or au croissant de sinople ». |
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[40],[41].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du canton de Castelginest (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Jory faisait partie de l'ex-canton de Fronton).
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46]. En 2021, la commune comptait 7 346 habitants[Note 9], en évolution de +27,93 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[49] | 1975[49] | 1982[49] | 1990[49] | 1999[49] | 2006[50] | 2009[51] | 2013[52] |
Rang de la commune dans le département | 28 | 35 | 40 | 43 | 38 | 37 | 40 | 39 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 469 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 6 078 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 370 €[I 6] (23 140 € dans le département[I 7]). 53 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (55,3 % dans le département).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 8] | 4,6 % | 7,6 % | 8,4 % |
Département[I 9] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 962 personnes, parmi lesquelles on compte 80,5 % d'actifs (72,1 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 19,5 % d'inactifs[Note 12],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 2 185 emplois en 2018, contre 1 897 en 2013 et 1 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 874, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 68,1 %[I 12].
Sur ces 2 874 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 525 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]552 établissements[Note 13] sont implantés à Saint-Jory au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 15].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 552 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
33 | 6 % | (5,7 %) |
Construction | 84 | 15,2 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
170 | 30,8 % | (25,9 %) |
Information et communication | 11 | 2 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 25 | 4,5 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 17 | 3,1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
94 | 17 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
70 | 12,7 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 48 | 8,7 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (170 sur les 552 entreprises implantées à Saint-Jory), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :
- Jardel Services, location de camions avec chauffeur (142 090 k€)
- Bessac - CSM Bessac, construction et entretien de tunnels (64 227 k€)
- Transports Pech, transports routiers de fret interurbains (27 940 k€)
- DDS, affrètement et organisation des transports (22 677 k€)
- M D Transports, transports routiers de fret interurbains (21 811 k€)
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 154 | 89 | 54 | 39 |
SAU[Note 16] (ha) | 956 | 673 | 859 | 1 010 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 154 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 89 en 2000 puis à 54 en 2010[56] et enfin à 39 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 75 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[57],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 956 ha en 1988 à 1 010 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 26 ha[56].
Vie locale
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Saint-Jory fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par les écoles maternelles du Lac, et du Canal des deux mers, par les écoles élémentaires Georges Brassens et Jean de la fontaine, par un collège public, ainsi que par l’établissement privé Sainte-Geneviève.
Sports
[modifier | modifier le code]Football
[modifier | modifier le code]Le premier club de football de la commune fut créé en 1923 par Charles Sire, ce qui en fait une des plus anciennes formations de la Ligue de Midi-Pyrénées de football. Dans les années cinquante, apparaissent deux clubs de football, le Sporting et L’Étoile. Ils s’affrontèrent des années durant pour être chacun à leur tour les meilleurs, avant de fusionner en 1968 et donner naissance à l’Entente Sporting Étoile de Saint-Jory. Le club devint une pépinière de jeunes footballeurs qui évolueront au niveau régional en glanant plusieurs titres : champion des Pyrénées en 1953, champion junior en 1970, champion d'Excellence en 1982-1983 (et montée en Ligue régionale)[58].
Judo
[modifier | modifier le code]Le Judo club de Saint-Jory a formé plus d'une dizaine de ceintures noires depuis sa création, Le club représente la ville de Saint-Jory au niveau national avec des participations aux championnats de France de judo. Ce club formateur, propose multitude d'activités, comme le ju jitsu, le renforcement musculaire, taiso, arbitrage et culture judo[59].
Tennis
[modifier | modifier le code]Le Tennis Club Saint-Jory dispose de 2 terrains couverts et 2 terrains extérieurs.
Rugby à XV
[modifier | modifier le code]Rugby à XIII fauteuil
[modifier | modifier le code]La ville possède un club de rugby à XIII fauteuil : le club dispute le championnat de première division de la discipline. Surnommés « les Toros », ils remportent le doublé coupe de France- championnat en 2017[60] La commune est parfois le lieu de matchs exhibitions de l'équipe de France : elle accueille ainsi un match au gymnase municipal au mois de [61].
Basket-ball
[modifier | modifier le code]Le club de basket-ball, fondé en mai 1958, évolue en championnat de régionale 2 en 2023[62].
Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[63].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Saint-Jory construit par Nicolas Bachelier inscrit en 1927 aux monuments historiques.
- L'église Saint-Laurent, de style néo-gothique, construite au XVIe siècle (de 1527 à 1596) dont l'extérieur a été restauré en 2013[64],[65].
- Le monument aux morts
- Buste de Pie VII[66].
- Chapelle Notre-Dame de Beldou.
-
L'église Saint-Laurent.
-
La façade.
-
Le clocher mur.
-
Le monument aux morts.
-
Chapelle Notre-Dame de Beldou
-
Château de Saint-Jory construit à partir de 1545 par Nicolas Bachelier pour le juge-mage de Toulouse Michel du Faur[67].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Raymond VI de Toulouse, comte de Toulouse.
- Henri Célié, syndicaliste libertaire.
- Marie-Louise de Losse, baronne de Saint-Jory, mère de Jean-Baptiste Cyrus de Timbrune de Thiembronne.
- David Berty, joueur international de rugby à XV, d'après qui le stade municipal a été renommé.
- Bernardo Sandoval, guitariste, auteur-compositeur et interprète franco-espagnol.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Jory » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Jory ».
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Jory » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Castelginest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Jory », sur villorama.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Jory », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Garonne »
- Sandre, « le Girou »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Jory et Blagnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- V.F, « Saint-Jory. Une équipe en ordre de marche autour du nouveau maire », La Dépêche, (lire en ligne).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Jory - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- https://www.ladepeche.fr/2023/09/08/100-ans-dhistoire-au-club-de-foot-11439561.php
- « Judo club Saint Jory », sur judosaintjory.sportsregions.fr (consulté le ).
- « Rugby à XIII fauteuil : doublé coupe-championnat pour le TO-Saint-Jory », sur ladepeche.fr, La dépêche du Midi, (consulté le ).
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- https://saintjorybasket.fr/qui-sommes-nous
- http://www.mairie-brax31.fr/fr/le-village-pratique/collecte-des-dechets.html
- « Horaires », sur Eglise info (consulté le ).
- Eglise Saint-Georges - Eglises et patrimoine religieux de France
- « Accueil - Ville de Saint-Jory »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Ville de Saint-Jory (consulté le ).
- « Fiche Mérimée PA00094463 », sur Ministère de la Culture (consulté le ).
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Guilhamot, Saint-Jory, monographie communale par Guilhamot, , 78 p. (lire en ligne).Inventaire « Monographies communales de la Haute-Garonne » (Cote : BH br 4° 268).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Triage de Saint-Jory
- Liste des communes de la Haute-Garonne
- Grand tour de France de Charles IX
- Réseau ferroviaire de Toulouse