Utilisateur:Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/2
Documents d'exploitation T. de Sabratha
[modifier | modifier le code]- (en) Ashleigh W. Raabe, Imagining a roman-ness : A study of theater reliefs at Sabratha., Chapel Hill, University of North-Carolina Chapel Hill, , 118 p. (lire en ligne [PDF]).
- https://books.google.fr/books?id=polg8REJ7bAC&pg=PA60&lpg=PA60&dq=th%C3%A9%C3%A2tre+de+sabratha&source=bl&ots=um1SxP1Jaa&sig=ml7oWtYFvkAkzC2wwUgd_JatJMk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjVqJjroI3RAhXMExoKHfI9Bz84MhDoAQgNMAE#v=onepage&q=th%C3%A9%C3%A2tre%20de%20sabratha&f=false
- https://books.google.fr/books?id=polg8REJ7bAC&pg=PA60&lpg=PA60&dq=th%C3%A9%C3%A2tre+de+sabratha&source=bl&ots=um1SxP1Jaa&sig=ml7oWtYFvkAkzC2wwUgd_JatJMk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjVqJjroI3RAhXMExoKHfI9Bz84MhDoAQgNMAE#v=onepage&q=th%C3%A9%C3%A2tre%20de%20sabratha&f=false
- https://www.academia.edu/9600508/The_architecture_and_sculpture_of_the_Roman_theatres_of_Sabratha_and_Leptis_Magna
- http://www.collegedusud.ch/fileadmin/Documents/Editeurs/Fichiers/Campus/Conf%C3%A9rences_expos/Sites_antiques_prestigieux/Sabratha_Texte.pdf
- (en) Ashleigh W. Raabe, Imagining a roman-ness : A study of theater reliefs at Sabratha., Chapel Hill, University of North-Carolina Chapel Hill, , 118 p. (lire en ligne [PDF]).
- (en) Pierre Grimal et G. Michael Woloch, « Figure 16 - The Scena of the Theater of Sabratha. », dans Pierre Grimal et G. Michael Woloch, Roman Cities, University of Wisconsin Press, , 355 p. (lire en ligne), pages 60 et 61.
- (en) Lisea Galea, « The architecture and sculpture of the Roman theatres of Sabratha and Leptis Magna », academia, , pages (lire en ligne, consulté le ).
Brouillon agglomération secondaire antique - gallo-romaine Type III
[modifier | modifier le code]En dépit d'une l'absence totale de structures d'habitat, Yvan Maligorne estime que le complexe urbain antique de Cherré se manifeste comme étant une « agglomération secondaire ». En ce qui concerne la classification des agglomérations secondaires antiques, Florian Baret, en s'appuyant sur les travaux de Leveau et Dessault[1], rappelle qu'il existe 4 types d'échelon pour ce genre de complexe urbain. D'après F. Baret, le troisième se définit ainsi :
« Type III : les agglomérations aux fonctions religieuses dominantes, divisées en trois faciès :
– les agglomérations-sanctuaires, avec une fonction religieuse et un habitat archéologiquement attesté quelle qu’en soit l’étendue ;
– les complexes religieux apparemment sans habitat ;
– les stations thermales sans habitat connu. »
— Florian Baret, , p. 34[2].
,[1]
Poteries sigillée site de Cherré
[modifier | modifier le code]- Richard Delage, « Premier aperçu de la diffusion de la céramique sigillée du groupe Centre-Ouest dans l'Ouest de la Gaule (régions Pays-de-Loire et Bretagne). », dans Richard Delage et al., La sigillée de l'Ouest dans le Centre-Ouest de la Gaule : Actes du Congrès du Mans, Le Mans, S.F.E.C.A.G., (lire en ligne [PDF]), pages 281, 285, 288 et 290.
Notes, réfé et sources Cherré
[modifier | modifier le code]- Pierre Chevet, Martin Pithon, Michel Reddé (dir.) et William Van Andringa (dir.), « Angers/ Iuliomagus, cité des Andécaves et Le Mans/ Vindinum, cité des Cénomans. : Deux capitales, deux modes de déploiement urbains. », dans Pierre Chevet, Martin Pithon, Michel Reddé (directeur d'ouvrage), William Van Andringa (directeur d'ouvrage), et al., Gallia : La naissance de capitales de cités en Gaule Chevelue., vol. 72, t. 1, Paris, CNRS éditions, (lire en ligne), pages 97 à 117.
- Alain Ferdière, « La place de l’artisanat en Gaule romaine du Centre, Nord-Ouest et Centre-Ouest (province de Lyonnaise et cités d’Aquitaine septentrionale). », Revue archéologique du centre de la France, vol. Tome 45-46, 2006-2007 (lire en ligne, consulté le ).
Le site de Cherré constitue un exemple concret de la relation existant entre le marché d'époque gallo-romaine et la boucherie[3]. Les études effectuées dans les années 80 par l'archéozoologue René Chaumont[Note 1] au sein du forum, « à usage de halles », ont révélé approximativement 24 000 restes fauniques, composé d'environ 15000 d’huîtres[3]. L'ensemble de ces résidus ont été signalés dans les galeries attenantes au marché, mais aussi dans la cour, ainsi qu'au cœur d'une zone périphérique du bâtiment et située à l'ouest[3]. Les principaux restes de taxon d'origine mammalienne sont en majeure partie de ceux bovidés, au nombre de 6697, les autres se révélant être ceux de caprinés (1155), et enfin de porc (1083)[3]. Les ossements de porcs et de caprinés sont chacun issus d'environ 30 spécimens différents, tandis que ceux de bœufs sont estimés provenir de plus de 120 spécimens[3]. Compte tenu des types d'os de caprinés et de porc qui ont été mise en évidence, ces animaux n'ont pas subis une quelconque sélection[3]. Néanmoins, concernant les bœufs, les restes osseux découverts montrent que leurs découpe a fait l'objet d'une sélection[3]. À cet effet, les fouilleurs ont notamment exhumé des vertèbres et des plats de côte, à 41,7 % ; des métapodes et phalanges, à 37,4 % ; tandis que les os constituant les membres antérieurs et postérieurs ainsi que ceux de la tète, respectivement répartis à 5.7, 1 et 13,8 % (essentiellement des mandibules), apparaissent beaucoup moins bien représentés[3].
.
- Sébastien Lepetz, « Boucherie, sacrifice et marché la viande en Gaule romaine septentrionale : l’apport de l’archéozoologie. », dans Sébastien Lepetz, William Van Andringa, Massimo Montarani (direction d'ouvrage) et al., Food and history : Sacrifices, marché de la viande et pratiques alimentaires dans le monde romain., vol. 5, Tours, Institut Européen d'Histoire et de Culture de l'Alimentation - Brepols publishings, (ISBN 978-2-503-52321-7, ISSN 1780-3187, lire en ligne), pages 74 (carte de répartition), 92, 99 et 100.
Au cours de la scéance parlementaire du , le ministre de la culture et de la communication, en réponse au député Bertrand Maigret sur une demande de financement pour la réhabilitation et la restauration des vestiges gallo-romains aubignanais, rapelle que le
« Le site archéologique de Cherré s'apparente aux conciliabula, ou complexes ruraux, dont on a retrouvé deux autres exemples dans le département de la Sarthe, et qui constituaient une particularité architecturale dans l'Ouest de la Gaule. »
aux vestiges gallo-romains le statut de conciliabula, et de « complexe rural ».[4].
- .
« Type III : les agglomérations aux fonctions religieuses dominantes, divisées en trois faciès :
– les agglomérations-sanctuaires
, avec une fonction religieuse et un habitat archéologiquement attesté quelle qu’en soit l’étendue ;
– les complexes religieux apparemment sans habitat
; – les stations thermales sans habitat connu. »
— Florient Baret, , p. 34[2].
,[1]
- http://www.persee.fr/doc/ran_0557-7705_2005_num_38_1_1155?q=Agglomération secondaire
- http://www.persee.fr/issue/pica_0752-5656_2002_num_3_1?sectionId=pica_0752-5656_2002_num_3_1_2326
- http://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_2002_num_52_4_1403?q=Agglomération secondaire
- http://citeres.univ-tours.fr/spip.php?article1959
- https://books.google.fr/books?id=aV5sXUC_lncC&pg=PA215&lpg=PA215&dq=agglom%C3%A9ration+secondaire+antique+d%C3%A9finition&source=bl&ots=aJTbidr6_9&sig=bUlbFlR4ftQdtAAD8S1v6_skpws&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjVpOmN07LQAhXBFywKHYu8BII4ChDoAQgSMAM#v=onepage&q=agglom%C3%A9ration%20secondaire%20antique%20d%C3%A9finition&f=false
- Pascal ARNAUD et Philippe JANSEN, « Les agglomérations secondaires de l’Antiquité à la fin du Moyen-Age : sociétés, pouvoirs, territoires », publications du CNRS, CNRS éditions, (lire en ligne, consulté le ).
- Michel Mangin, « Les "agglomérations secondaires" de l'Occident romain : Publications récentes : Les Agglomérations secondaires en Franche-Comté romaine, Michel Mangin, Bernard Jacquet et Jean-Paul Jacob (dir.) Michel Mangin et Francis Tassaux, Les Agglomérations secondaires de l'Aquitaine romaine, Actes du Deuxième Colloque Aquitania, Bordeaux 1990Jacky Benard, Michel Mangin, René Goguey et Louis Roussel (dir.), Les Agglomérations antiques de Côte-d'Or Jean-Paul Petit et Michel Mangin (dir.), Les Agglomérations secondaires. La Gaule Belgique, les Germanies et l'Occident romain, Actes du colloque de Bliesbruck-Reinheim/Bitche, oct. 1992 ; Jean-Paul Petit et Michel Mangin (dir.), Atlas des agglomérations secondaires de la Gaule belgique et des Germanies. », Dialogues d'histoire ancienne, vol. 21, no 1, , pages 302 à 314 (lire en ligne, consulté le )
- http://www.persee.fr/doc/dha_0755-7256_1995_num_21_1_2251
- https://siecles.revues.org/307
- https://www.academia.edu/5377512/Baret_F._2013_Les_agglom%C3%A9rations_secondaires_gallo-romaines_dans_le_Massif_Central_Les_Arvernes_et_leurs_voisins_du_Massif_Central_%C3%A0_l%C3%A9poque_romaine._Une_arch%C3%A9ologie_du_d%C3%A9veloppement_des_territoires_Revue_d_Auvergne_2013_31-70
- Stéphanie Guédon et Blaise Pichon, « La question des agglomérations secondaires de l’âge du fer au Moyen Âge : les Lémovices et leur territoire », Siècles, nos 33 et 34, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierre Garmy, « Les mots et la chose : à propos des agglom�érations secondaires antiques », Revue Archéologique du centre de la France, Fédération pour l'Edition de la Revue Archéologique du Centre de la France, vol. 42, , pages 183 à 187 (lire en ligne, consulté le ).
- Anne Villard-Le Tiec, José Gomez de Soto, Jean-Philippe Bouvet (dir.) et al., « Pratiques funéraires du Second Âge du fer en Gaule de l'Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes). », dans Anne Villard-Le Tiec, José Gomez de Soto, Jean-Philippe Bouvet (dir.), Philippe Barral (dir) et al., Gestes funéraires en Gaule au Second Âge du fer., Presses Universitaires de Franche-Comté, (lire en ligne), pages 85 à 106.
- Jean-Charles Balty et al., « Livres offerts. », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 149e année, , pages 138 à 140 (lire en ligne, consulté le ).
- Rédaction du DREAL - Pays de la Loire, « La vallée du Loir : Unité de paysagerie numéro 19 », dans Atlas des paysages des Pays de la Loire : La vallée du Loir, vol. 19, DREAL des Pays de la Loire, , 58 p. (lire en ligne), pages.
- Christophe Loiseau, Marie-Claude L'Huillier (dir.) et Jean-Paul Guillaumet (dir.), « Les monuments publics de Cherré (Aubigné-Racan, Sarthe) », dans Christophe Loiseau, Marie-Claude L'Huillier (dir.), et Jean-Paul Guillaumet (dir.), Le métal dans l'architecture publique dans l'Ouest de la Gaule lyonnaise : Approches méthodologiques, techniques de construction et structures de production (Ier – IIIe siècle apr. J.-C.)., Université du Maine, , 594 p. (lire en ligne [PDF]), pages 288 à 301.
- Julien-Rémy Pesche, Dictionnaire statistique de la Sarthe, Monoyer, (lire en ligne), pages 364 et 365.
- Sébastien Cormier, R. Compatangelo-Soussignan (dir.) et Katherine Gruel (dir.), Les décors antiques de l'ouest de la Gaule Lyonnaise : Synthèse sur l'architecture d’applique dans les territoires des Aulerques (Ier – IIIe siècle apr. J.-C.), Le Mans, Université du Maine, Le Mans. U.F.R. d'Histoire, 2007-2008, 554 p. (lire en ligne).
- Estelle Bertrand (dir.), Florian Sarreste (dir.) et Alain Ferdière (préface), Passé de campagnes - Fermes et villae antiques de la Sarthe : Catalogue de l’exposition tenue du au au Centre d’Études et de Ressources Archéologiques du Maine Pierre Térouanne à Allonnes (Sarthe), CERAM Pierre Térouane Allonnes, , 100 p. (lire en ligne).
Pages 147, 151, 154 et 191. http://www.sarthe.fr/le-site-archeologique-daubigne-racan
http://lemans-vindunum.e-monsite.com/pages/page-6.html
http://gerardcoulon.chez-alice.fr/eau/eau.htm
Via romana antiqua Vindunum Cherré (site La Templière) Vaas Le Chenu RD26
[modifier | modifier le code]La mise au jour de vestiges d'une via romana et dont l'exploitation a connu une continuité au cours du Haut Moyen Âge, sur les terres de la commune de Saulges, dans la ligne directe de la route qui se prolonge jusqu'à Chenu, met en perspective plusieurs hypothèses[6]. Le complexe urbain de Vaas pourrait indiquer (signaler) le raccordement d'un axe de réseau viaire menant vers le Nord-Ouest, et ce, en aval de la traversé le cours du Loir[6]. Ce tracé, bien que situé à un embranchement conserve son orientation d'origine pour atteindre Vindunum d'une part et Le Chenu, d'autre part[6].
La 1re ne laisse apparaître, sur le tronçon menant de Vaas à Poillé-sur-Vègre, d'éléments matériels autant significatifs que sur la portion allant jusqu'à Tours[6]. Néanmoins, il est possible de suggérer un axe viaire qui sort de Vaas et se prolonge en direction d'Aubigné-Racan(autrement dit la RD 76), et qui traverse Aubigné dans son extrémité Nord-Est[6]
Notes réfés condération armoricaine
[modifier | modifier le code][7].
Aulerques
[modifier | modifier le code]
Aulerques Diablintes | |
Statère en or frappée à l'effigie des Aulerci Diablinti | |
Période | 1er Âge du fer (Époque hallstattienne finale) 2e Âge du fer (Période laténienne) Époque gallo-romaine) |
---|---|
Ethnie | Celtes |
Langue(s) | Gaulois |
Religion | Celtique |
Villes principales | Noviodunum (l'actuelle commune de Jublains) Oppidum de Moulay |
Région d'origine | civitates des Aulerci Diablinti |
Région actuelle | Mayenne |
Frontière | civitas des Redonnes celle des Andécaves celle des Aulerques Cénomans celle des Carnutes celle des Abrincates |
modifier |
Aulerques Brannovices | |
modifier |
Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/2 | |
modifier |
Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/2 | |
modifier |
Etrusques sauvegarde 2
[modifier | modifier le code]-
Ici : Les blocs en pierre calcaire de type cyclopéen[10] -
Vestiges d'une tour monumentale, site de Castiglion Fiorentino[a]. -
Gravure figurant une partie du mur d'enceinte de la métropole véienne.
Sauvegarde données infobox tombe à char
[modifier | modifier le code]Autres noms | Type de rite d'ensevelissement des défunts |
---|---|
Auteur | Historiens et archéologues français, belges et allemands |
Répartition géographique | Europe celtique |
---|---|
Période | Âge du fer celtique et début de l'empire romain (Ier siècle av. J.-C. - IIIe siècle) |
Chronologie | VIIIe siècle av. J.-C. / Ier siècle av. J.-C. |
Type humain associé | Celtes et romano-celtes |
Tendance climatique | Tempéré : continental à océanique et méditerranéen |
Signe particulier | Accroissement exponentiel du nombre de sépultures dites à char à partir du VIe siècle av. J.-C. |
Subdivisions
Hallstatt moyen et final/C et D ; La Tène A ; La Tène B ; La Tène C ; début de la période romaine
Objets typiques
char de guerre, d'apparat et de rituel religieux ; harnachement d'équidés (selle, mors, étriers, bride à cheval, baudrier, harnais et différents enrênements) ; kiné ; éléments de vaissellerie ; artéfacts ouvragés de bronze ; οἰνοχόη / oinokhóê ; urne et ciste cinéraire ; tumulus de pierre brute et de terre.
}}
Lingons, séquanes, éduens
[modifier | modifier le code]
Lingons (lingones, en latin) | |
Denier frappé à l'effigie des Lingons | |
Période | Fin du Néolithique (Mésolithique) Âge du Bronze 1er Âge du fer (Période hallstattienne) 2e Âge du fer (Période laténienne) Antiquité (Période gallo-romaine) Haut Moyen Âge (Période mérovingienne) |
---|---|
Ethnie | Celtes |
Langue(s) | Gaulois |
Religion | Celtique |
modifier |
Étrusques - sauvegarde de données
[modifier | modifier le code]- Les autres cités appartenant à la ligue étrusque
Photo | Objet | Type[18] | Adresse | Commune | Coordonnées | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
A | Arch | B | E | M | O | S | |||||
Tomba della Pellegrina à « Clevsin » | Archéologie | Chiusi | 43° 01′ 00″ nord, 11° 57′ 00″ est | ||||||||
Arc de fortication de la cité de « φersna » | Archéologie | Pérouse | 43° 07′ 00″ nord, 12° 23′ 00″ est | ||||||||
aire archéologique de « Pufluna » | Archéologie | Piombino | 42° 59′ 23″ nord, 10° 29′ 27″ est | ||||||||
« Rusellae » | Archéologie | Grosseto | 42° 48′ 35″ nord, 11° 08′ 19″ est | ||||||||
Tombe d'Orcus, cité de « Tarchna »[b] | Archéologie | Tarquinia | 42° 14′ 57″ nord, 11° 45′ 22″ est | ||||||||
Aire de fouilles archéologiques de « Vatluna » | Archéologie | Castiglione della Pescaia | 42° 51′ 34″ nord, 10° 58′ 16″ est | ||||||||
Porte monumentale fortifiée appartenant à l'enceinte de la cité de « Velathri » | Archéologie | Volterra | 43° 24′ 00″ nord, 10° 51′ 58″ est | ||||||||
Aire archéologique de « Velch »[c] | Archéologie | Vulci | 42° 15′ 29″ nord, 11° 22′ 31″ est | ||||||||
« Veis » | Archéologie | Véies | 42° 00′ 45″ nord, 12° 14′ 26″ est | ||||||||
Vestiges de la cité de « Velzna » | Archéologie | Orvieto[d] | 42° 43′ 00″ nord, 12° 06′ 00″ est |
Dodécapoles méridionale et padane
[modifier | modifier le code]Dodécapole de Campanie, du Latium et de l'Ombrie
[modifier | modifier le code]
Dodécapole padane
[modifier | modifier le code]
étrusques - sauvegarde de données
[modifier | modifier le code]Postérité et héritage culturel
[modifier | modifier le code]Au cours du Haut-Empire Romain
[modifier | modifier le code]Rome, qui sous Auguste fait de l'Étrurie la septième région d'Italie (la « REGIO VII »), subit fortement leur influence, qui perdure dans les institutions, les modes de vie, la langue, les goûts, l'amour du luxe, du faste et des banquets, la danse et la musique. Les goûts étrusques sont attestés par les peintures de leurs tombes, quoique ces dernières nous renseignent surtout sur ceux des classes aisées, c'est-à-dire sur les goûts d'une minorité de la population. L'empereur Claude est lui-même un spécialiste de la culture étrusque.
Les dieux romains, que beaucoup pensent être empruntés aux Grecs, sont en réalité empruntés aux Étrusques. Ainsi, les Étrusques vénèrent Menrva, déesse armée, Tinia, dieu puissant du ciel, Turan, déesse de la puissance féminine, les Tinias Clenar, fils jumeaux de Tinia, ou Hercle, fils de Tinia à qui furent imposés des travaux. Ces dieux qui ne sont pas représentés avant que les Étrusques ne rencontrent les Grecs et leur Panthéon sont donc issus de l'iconographie grecque pour représenter les divinités étrusques qui gardent leur originalité (ils n'ont ainsi pas les mêmes histoires). Les Étrusques transmettent ensuite leur Panthéon (noms et iconographies) aux Latins (qui ont surimposé ce Panthéon à leurs propres divinités antérieures). C'est pour cela que les dieux romains sont Minerve, Jupiter, Hercule… et non Athéna, Zeus, Héraclès… Seuls Bacchus et Apollon sont des emprunts directs au Panthéon grec car il n'y avait pas de divinité préexistante équivalente dans la tradition étrusque.
La « Triade capitoline romaine » (Jupiter/Junon/Minerve), marqueur culturel romain à qui de nombreuses villes romaines ont bâti un temple à triple cella est aussi issue des Étrusques, chez qui ce type de temple est courant. Celui de Rome, le temple de Jupiter capitolin, aurait été inauguré, selon la tradition, en 509 av. J.-C., première année de la République après l'expulsion des rois étrusques. Ce qui permet de déduire qu'il fut commandé et construit sous la domination étrusque de Rome.
D'autres symboles, très fortement romains, comme le siège curule des sénateurs romains, sont directement empruntés aux objets de pouvoir étrusque. Il s'agissait d'un siège pliant pour char, privilège aristocratique.
Dans les faits, ainsi que le révèlent les textes des anciens et les sources historiographiques récentes, la civilisation étrusque a non-seulement contribué, pour grande part, au développement de la culture romaine, mais a également permis d'introduire la pensée philosophique et le mode de vie grecs dans le quotidien des Romains. Ainsi, l'historien français Raymond Bloch établit le constat suivant :
« Sans doute, cependant, le legs le plus important que l'Étrurie aura fait à Rome aura-t-il été celui de l'hellénisme dont elle était imprégnée. »
— Raymond Bloch, Les Étrusques, .
Au Moyen Âge italien
[modifier | modifier le code]À la Renaissance italienne
[modifier | modifier le code]Bien que la mémoire des anciens Tusci réapparaisse sporadiquement dans les chroniques de la fin du Moyen Âge, c'est à la Renaissance que des études se portent sur les témoignages du monde étrusque. Ainsi, lorsqu'Annius de Viterbe découvre des sarcophages étrusques, ce dominicain s'arrange pour que lors d'une partie de chasse organisée en 1493 pour le pape Alexandre VI, le souverain pontife tombe « par hasard » sur une tombe étrusque et dégage les fonds pour poursuivre les recherches. De Viterbe publie à Rome en 1498, un recueil intitulé Antiquitatum variarum (it) et consacré notamment à la civilisation étrusque qu'il relie aux Hébreux mais l'érudit Joseph Juste Scaliger montrera la fausseté de ce recueil[55].
-
Reproduction de la chimère d'Arezzo[o]. -
L'Arringatore, retrouvé en 1556[p].
Le 15 novembre 1553, une statue de bronze est découverte dans la ville d'Arezzo lors de la construction de fortifications des Médicis à la périphérie de la ville. Cette Chimère d'Arezzo est immédiatement revendiquée par le grand-duc de Toscane Cosme Ier[56]. Une autre découverte fortuite, L'Arringatore[q], a lieu en 1556, près de Pérouse[59],[60]. Il s'agit d'une sculpture de typologie artisanale étrusque et attribuée tournant du IIe siècle av. J.-C. et du Ier siècle av. J.-C.[r]. Cette statue ouvragée en bronze est accompagnée d'une inscription en langue étrusque sur le pan inférieur droit de sa toge[57],[58].
Au cours de la renaissance italienne, et plus particulièrement au cinquecento toscan, l'héritage culturel du peuple étrusque semble également se répercuter sur les formes d'idéologies politiques et philosophiques. Dans l'un de ses ouvrages de critique d'historiographie antique, le « Variarum lectionum libri : commentaires sur les auteurs antiques »[s], le philologue et humaniste florentin Piero Vettori (1499 - 1585), détermine un parallèle entre l'organisation politique et territoriale de l'Étrurie et celle de la Toscane du XVIe siècle[64]. Ainsi, selon l'auteur italien, le système politique et organisationnel étrusque préfigure et impacte de manière indirecte, la logique oligarchique florentine, et plus globalement toscane, à l'époque du quattrocento et plus incidemment, à celle du cinquecento. D'après Piero Vettori, le mode de fonctionnement gouvernemental étrusque, basé sur la structure dite des lumniones[t], lesquelles sont subordonnées aux dodécapoles étrusques, trouve un écho indubitable au sein de la politique de gouvernance oligarchique et contemporaine de ce dernier. L'historiographe explique et définit, au travers du seul exemple de la cité Toscane de Florence[u] et à l'instar d'autres villes d'importance telles que Venise, ou encore Rome, la concordance et l'unité culturelles existant entre ces deux périodes distantes de 18 à 24 siècles[64].
-
Gravure iconographique figurant du philologue, historiographe et humaniste florentin Piero Vettori (1499 - 1585) en buste[v]. -
Portait du poète et érudit français Joseph Justus Scaliger (1558 - 1609).
-
Portrait seriegraphié de Benvenuto Cellini (1500 - 1571)[w],[x].
Époque moderne
[modifier | modifier le code]Étruscomanie et étruscologie
[modifier | modifier le code]Le savant écossais Thomas Dempster rédige entre 1616 et 1619 le traité De Etruria Regali, un des premiers ouvrages d'étruscologie[67].
Au XVIIIe siècle, l'Italie et l'Europe connaissent un véritable engouement pour les Étrusques, l'étruscomanie (Etruscheria en italien). Le siècle des Lumières s'alimente du goût des antiquités, et du modèle universel, autant moral qu'esthétique. Ceci est d'autant plus encouragé par l'engouement de nouvelles découvertes archéologiques recherchées par les adeptes du Grand Tour en Italie, en plus de la contemplation des vestiges de Rome. Le romantisme s'en empare également et naît le style étrusque.
Proche de la ville moderne de Tarquinia, les archéologues mettent au jour depuis le XIXe siècle, sur le site de Monterozzi, une importante nécropole de plus de 6 000 tombes. À la fin du XIXe siècle, le médecin italien Isidoro Falchi identifie la cité étrusque de Vetulonia.
À l'époque des Lumières, au début du XVIIIe siècle, l'historien français Nicolas Fréret (1688 - 1749) fut l'un des pères fondateurs de l'archéologie française étruscologique moderne. Ce dernier s'oppose notamment à son pair et homologue italien Stephano Rossi, en proposant une interprétation différente concernant les origines ethniques des Étrusques[68],[69],[70]. Après avoir réalisé des travaux sur des objets retrouvés dans certaines sépultures situées en Italie padane, l'archéologue français estime que ces artefacts sont le fait d'un artisanat proche de celui des populations vivant en Méditerranée orientale[71],[72],[73],[74],[75],
-
Portrait de Nicolas Fréret.
Terres étrusques
[modifier | modifier le code]-
Les monts du Crete senesi, riches en terre de sienne[y]. -
Perpétuation de la tradition agricole de la région vallonnée du Crete senesi. -
Cours fluvial de l'Arno, l'un des principaux axes de communication de l'Étrurie d'origine. -
Vue panoramique du Lac de Bolsena. -
Le mont Amiata, au Sud de l'Étrurie[ab]. -
Alentours boisés du Lac de Bolsena, au Nord du Latium (Sud de l’Étrurie).
-
Vue panoramique des environs du lac Régille.
-
Peinture de Tommaso Laureti représentant la bataille du lac Régille.
-
Carte représentant les peuples étrusques et italiques au sein du Latium au cours du Ve siècle av. J.-C.[ac].
-
Lac de Vadimon, près de Bolsena
-
Id.
-
Id.
-
Ville de Sassoferrato, où s'est déroulée la bataille de Sentinum.
-
Vestiges de Roselle
-
Id.
-
Id.
-
Vue panoramique de « Velathri ».
-
Environs de Volterra.
-
Site archéologique du Sentinum.
-
Id.
-
Carte représentant les positions étrusques en Campanie en 343 av. J.-C.[ad].
-
Carte de la Campanie en 327 av. J.-C.[ae].
-
Souveraineté territoriale étrusque à son apogée[af].
-
Aire d'expansion du territoire étrusque en Italie et en Méditerranée occidentale
-
Vue du site archéologique du « Fanum Voltumnae »[ag],[78]. -
Id. -
Gradins du fanum de Voltumnae à « Velzna », l'actuelle ville toscane de Vulci.
-
Vestiges de la métropole étrusque d'Aritim. -
Mur d'enceinte d'Aritim.
-
Fortifications de la métropole protohistorique de Cisra. -
Vue des contreforts de Cisra[ah]. -
Motifs de guerrier peints sur une plaque en grès issue d'un vestige d'habitat de Cisra. -
Sépulture dénommée la Tomba Dei Capitelli de la nécropole de Banditaccia associée au complexe urbain étrusque de Cisra. -
Vestiges d'infrastructure funéraire de la nécropole de Banditaccia. -
Sépulture de la nécropole de Banditaccia appelée la Tomba dei Rilievi.
-
Vue panoramique de l'enceinte de la nécropole de Banditaccia. -
Ruines de la nécropole de Banditaccia.
-
Chantier de fouilles archéologiques de Gravisca. -
Cippe mis au jour à Gravisca. -
Fortifications étrusques de Gravisca. -
Pièce de monnaie émise par la cité de « Pufluna », retrouvée à Gravisca.
-
Ruines d'habitations. -
Vestiges de la voie piétonne no 13. -
Vestiges d'une voie piétonne no 8.
-
Bas-relief du fronton du temple romano-étrusque de Luna. -
Fresque A du temple de Luna. -
Vue d'ensemble de Luna. -
Fouilles de Luna.
-
Site proto-historique étrusque d'« Alalia », indexé au début du VIe siècle av. J.-C.. -
Id. -
Id -
Mur d'enceinte à fossé du site étrusque d'« Alalia ». -
Icône figurant la bataille d'Alalia, laquelle est attribuée aux alentours de -540 - 535.
-
Vue satellitaire de l'île d'Elbe. -
Colonne d'entrée d'une ancienne mine étrusque. Île d'Elbe. -
Fortifications étrusques, de Marciana, île d'Elbe -
Vestiges appartenant à un complexe d'habitat de mineurs étrusques, île d'Elbe.
-
Représentation d'un "cavalier Tyrrhénien"[ak].
-
Cavalier sur vase terracotta.
-
Fresques funéraires avec cavaliers (en bas).
-
Mors de cheval.
-
Élément d'harnachement.
-
Élément métallique issue d'un attelage à chevaux caparaçonnés. -
Id. -
Id. -
Id.
-
Représentation d'une scène de bataille sur la mer tyrrhénienne, figurant sur le cratère de Aristonothos. -
Embarcation type de la flotte de piraterie étrusque, attribuée au VIe siècle av. J.-C.. -
Autre exemple d'embarcation étrusque à petit tonnage[an].
-
Reconstitution d'un métier à tisser étrusque -
Quenouille provenant d'un métier à tisser étrusque. Artéfact découvert aux alentours de « Cisra ». -
Peson étrusque. -
Fusaïoles étrusques.
-
Le temple étrusque d'Alatri, exposé et conservé au musée national étrusque de la villa Giulia -
Ici : détails des sculptures en incisée et en bas-relief de l'architrave du temple étrusque d'Alatri[ap]. -
Ici : autres détails des sculptures en incisée et en bas-relief de l'architrave du temple étrusque d'Alatri. -
Char étrusque de Monteleone di Spoleto, dont certains éléments composés de bois (en particulier la caisse) ont été reconstitués.
-
Impasto noire à figure d'animaux incisées (amphore).
-
Cruche fabriqué en céramique impasto.
-
Exposition d'impasto (VIIIe – VIIe siècle av. J.-C.) au Louvre-Lens.
-
Impasto étrusque.
-
Urne funéraire en impasto.
-
Calice en impasto avec chaînettes métalliques.
-
Céramique étrusque en « bucchero nero » avec motifs « par incision ».
-
Œnochoé en bucchero negro.
-
Céramique
-
Céramique à vernis noir et figures rouges.
-
Kylix étrusco-campanienne en bucchero negro.
-
Vase céramique à « à figures rouges ».
-
Scène mythologique. Motifs à figures rouges.
-
Amphore étrusco-attique « à figures noires ».
-
Pièce en bronze (IVe – IIIe sièclee av. J.-C.).
-
Pièce en or (IVe – IIIe sièclee av. J.-C.).
-
Monnaie de Populonia, bronze (310 - 290 av. J.-C.).
-
Or, 300 - 250 av. J.-C.).
-
Profil de « zilath » lauré (325 - 300 av. J.-C.).
-
Pièce typique étrusque dite monnaie de Populonia au lion, émise au cours du Ve siècle av. J.-C. et mise au jour à flanc de colline du lieu dit comense de Prestino di Como[80]. -
Type de monnaie étrusque provenant de la cité de « Pufluna » et découverte aux alentours du site protohistorique celto-italien de Côme[80]. -
Moinnaie issue de l'Étrurie padane (240 - 225 av. J.-C.).
Ruma étrusques
[modifier | modifier le code]-
Reproduction librement interprétée de la scène dite de la Libération de « Caile Vipina », mise en évidence au cœur de la Tombe François[as].
-
Lithographie appartenant à un ensemble pictural portant le titre : « Promptuarium iconum insigniorum »[84]
-
Lucius Junius Brutus, neveu de Tarquin le Superbe[au].
Époque contemporaine et muséographie
[modifier | modifier le code]- L'étruscologie moderne
Dès le début du XIXe siècle, grâce aux travaux de recherches de l'historien et étruscologie florentin Giuseppe Micali (1769 - 1844)[86],[87], les connaissances de l'antique civilisation toscane, connaissent des avancées considérables[88]. Les fouilles archéologiques, notamment au sein des tombeaux et nécropoles étrusques, permettent d'identifier et de mettre en évidence, par le biais des multiples objets funéraires, mais également des fresques murales peintes, les différentes phases de leur histoire, leur vie quotidienne, leur art et leur culture et philosophie[88],[89],[90]. Au cours du XXe siècle, des historiens, tels que Raymond Bloch, Jean-René Jannot, Jacques Heurgon, puis plus tard Dominique Briquel, Jean-Paul Thuillier et Jean-Noël Robert, mettent en relief de nouvelles approches et interprétations de l'ancien peuple toscan[88],[89],[90]. Pour équivalence, les prospections archéologiques réalisées au sein du territoire étrusque, permettent de découvrir de nombreuses fortifications, mais aussi, et surtout, des inscriptions épigraphiques portant des caractères issus de l'alphabet étrusque[89],[90]. Pour autant, cette civilisation suscite, encore à l'époque contemporaine, des interrogations et des problématiques non-résolues[88]. Néanmoins, l'intérêt porté par les historiens, et plus généralement par le public, grâce aux nombreuses expositions permanentes ou éphémères, demeure toujours vivace[88]. Jean-Marc Irollo, dans la conclusion de son ouvrage Histoire des Étrusques, apporte une lumière sur l'incidence des Étrusques au sein de l'époque actuelle :
« Plus de vingt siècles ont passé et la singularité de la culture et du mode de vie étrusques ne cessent d'étonner. De leur vivant, les peuples voisins les considéraient eux aussi comme différents, choqués en particulier par la place privilégiée accordée aux femmes dans leur société. Leur art, lontemps jugé mineur par les historiens qui ne juraient que par le néo-classicisme gréco-romain, a séduit au XXe siècle de nombreux artistes dont le regard avait déjà été transformé par l'abstraction et le surréalisme. D'aucuns ont rapproché certaines peintures étrusques tardives de celles des fauves de Braque ou des personnages de Rouault qui semblent marqués par la même sensibilité douloureuse. Quelques auteurs contemporains ont même employé au sujet de civilisation le terme de modernité. »
— Jean-Marc Irollo, , pages 187 et 188[88].
L'auteur poursuit :
« Après des siècles de domination sans partage de la pensée classique héritée de Rome, il est bon de prendre conscience qu'il existait en Italie, avant la domination de Rome, une culture alternative à laquelle les Romains doivent beaucoup.[...] C'est là le paradoxe étrusque : une civilisation originale à bien des égards, ouverte aux influences étrangères, mais aussi fortement réactionnaire, comme ses classes dirigeantes qui sont les moins mal connues de nous. »
— Jean-Marc Irollo , pages 188 et 189[91].
Enfin, Jean-Marc Irollo ajoute :
« L'attitude des Toscans était déterminée par une véritable hantise d'exister, somme toute présente dans les mentalités actuelles. »
— Jean-Marc Irollo, , page 188[88].
Certains artistes du XXe siècle, ont su matérialiser, au travers de leurs œuvres, le souffle et la portée de la pensée culturelle étrusque. Ainsi, concernant l'inspiration que le figurative[incompréhensible] Gérard Fromanger, dans l’exécution de son art, a pu trouver dans le creuset artistique étrusque, lors d'une exposition au Musée Maillol en , le peintre originaire des Yvelines a eu cette remarque :
« Je suis aimanté par cette civilisation. Les Étrusques sont pour moi des gens vivants avec qui je parle. Ils semblent avoir vécu pour une idée du bonheur commun, et continuent à nous renvoyer cette tentative du bonheur commun, du bonheur de vivre. »
- L'héritage culturel des Étrusques dans l'actuelle Toscane
Au détour de son propos introductif sur les Étrusques, le professeur émérite Jean-Noël Robert éclaire sur la vision et l'impact de l'ancien peuple d'Étrurie dans l'inconscient collectif de population toscane contemporaine et des liens qui unissent les Étrusques et leurs héritiers :
« Aujourd'hui le Florentin dédaigne la comparaison avec un Romain ou un Napolitain. Il se revendique Toscan, quand il ne se dit pas étrusque, comme pour souligner sa différence. Sa terre, aux riches reflets d'un vert tendre et argenté, est irriguée d'une eau abondante qui la nourrit. Sa richesse tient dans sa générosité, dans sa diversité ; une lumière douce irise un paysage subtil dont le raffinement a également pénétré le tempérament des hommes. Pour les habitants actuels de la terre sereine des Étrusques, la Toscane est autre, mais tient lieu de blason à l'Italie toute entière, à laquelle, au fond de leur cœur, elle se résume. Orgueil d'un peuple qui n'a pas peu compté dans l'épanouissement glorieux de la Rome antique et qui a distillé, en d'autres temps, l'esprit de finesse de la Renaissance en insufflant, pour la seconde fois de son histoire, un nouvel essor au monde occidental. Un creuset, donc. Une terre bénie des dieux où s'harmonisent la nature et le génie des hommes. »
— Jean-Noël Robert, , pages 10 et 11[90].
- La muséographie et les expositions
- Le musée Maillol à Paris, dans sa réflexion sur la culture européenne, a consacrée une exposition aux Étrusques avec « Étrusques. Un hymne à la vie » , du au [92].
- Compiègne, musée Antoine-Vivenel, « Voyage en terre étrusque » , du au [93].
-
Facade de l'Hôtel de Songeons-Bicquilley, bâtiment abritant le Musée Antoine-Vivenel, à Compiègne, dans l'Oise.
-
Vitrine d'exposition au Musée Antoine-Vivenel.
-
Situle étrusque en bronze, lors de l'exposition « Voyage en terre étrusque », au Musée Antoine-Vivenel.
- L'exposition temporaire « Les Étrusques et la Méditerranée » : « La cité de Cerveteri », consacrée à Cerveteri, s'est tenue dans la galerie des expositions temporaires du Musée Louvre-Lens, à Lens, dans le Pas-de-Calais, du au [94]. Une exposition italienne, « Gli Etruschi e il Mediterranéo : La città di Cerveteri », portant sur le même sujet, s'est déroulée simultanément au Palazzo delle Esposizioni, à Rome[95]. L'une des pièces les plus remarquables, parmi les 400 objets exposés, est le Sarcophage des Époux[94].
-
Le Palazzo delle Esposizioni de Rome.
-
Galerie d'exposition.
-
Id.
-
Id.
-
Id.
-
Id.
« Le choix de la civilisation étrusque et de la cité de Cerveteri comme sujet de la première exposition archéologique du Louvre-Lens est motivé par trois raisons. Tout d’abord, l’exposition rappelle l’importance historique de Cerveteri, l’antique Caere. Elle fut une puissance majeure en Méditerranée occidentale. Largement tournée vers la mer grâce à son port, Pyrgi, elle développa d’intenses relations politiques, économiques et culturelles avec le monde punique et plus encore avec le monde grec. Cerveteri eut en outre des liens privilégiés avec Rome, jusqu’à l’affrontement final et à l’incorporation de la cité étrusque dans le nouvel Empire romain. Il est possible de retracer cette histoire grâce à la richesse de la documentation archéologique ancienne et notamment de la collection cérétaine du Louvre, la plus importante conservée hors d’Italie. Les œuvres du Louvre sont complétées par des pièces d’autres collections prestigieuses (Rome, Londres, Copenhague, Berlin). L’exposition est enfin l’occasion de faire le point sur l’actualité de la recherche archéologique. Ces dernières décennies, l’exploration des nécropoles a apporté de nombreuses découvertes importantes. Mais c’est surtout le cœur de la ville antique qui a livré les données les plus nouvelles. Ces dernières fouilles ont considérablement enrichi la connaissance de la cité et permis de recontextualiser les pièces majeures issues des fouilles du XIXe siècle. »
— Rédaction de Beaux Arts magazine, [96].
- Daniel Martin, « Les agglomérations secondaires », dans Daniel Martin, L'identité de l'Auvergne : mythe ou réalité historique : essai sur une histoire de l'Auvergne des origines à nos jours, EDITIONS CREER, , 717 p. (lire en ligne), page 215.
- Florian Baret, Alain Ferdière et Frédéric Trément, « 14 - Les agglomérations antiques du Massif Central », dans Florian Baret, Alain Ferdière (dir), Frédéric Trément (dir.) et al., Les Arvernes et leurs voisins du Massif Central à l’époque romaine : Une archéologie du développement des territoires, t. 2, Clermont-Ferrand, Revue d'Auvergne, Alliance Universitaire d’Auvergne, , 450 p. (lire en ligne [PDF]), page 34. Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : le nom « floriant-baret-agglomérations-secondaires-centre-religieux-34-définition-classification » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - Sébastien Lepetz, « Boucherie, sacrifice et marché la viande en Gaule romaine septentrionale : l’apport de l’archéozoologie. », dans Sébastien Lepetz, William Van Andringa, Massimo Montarani (direction d'ouvrage) et al., Food and history : Sacrifices, marché de la viande et pratiques alimentaires dans le monde romain., vol. 5, Tours, Institut Européen d'Histoire et de Culture de l'Alimentation - Brepols publishings, (ISBN 978-2-503-52321-7, ISSN 1780-3187, lire en ligne), pages 74 (carte de répartition), 92, 99 et 100.
- Rédacteurs de l'Assemblée nationale, Compte rendu de la scéance parlementaire du , Archives de l'assemblée nationale, (lire en ligne [PDF]), page 1060.
- Henri Delétang, « Le théâtre gallo-romain de Neung-sur-Beuvron (Loir-et-Cher) et son environnement / The romano-gqulish theater at Neung-sur-Beuvron and its surrounding. », Revue archéologique du Centre de la France, vol. tome 27, no fascicule 2, , pages 147, 151, 154 et 191 (DOI 10.3406/racf.1988.2559, lire en ligne, consulté le ).
- Christophe Camby, « Limites politiques oubliées : Armorique et Bretagne - Critiques de sources », Mémoires de la Société Archéologique et Historique de Bretagne, , pages 89 à 105 (lire en ligne, consulté le ).
- Lesquels constituent l'assise fortifiée de « Rusellæ ».
- C.-Ch. Casati, « Note sur la nécropole étrusque découverte en 1891 à Castiglione del Lago », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 36e année, , pages 26-32 (DOI 10.3406/crai.1892.70065, lire en ligne, consulté le )
- Yves Perrin, Dialogues d'histoire ancienne, vol. 8, Besançon, Presses Universitaire de Franche-Comté, , 383 p. (lire en ligne), pages 308 et 309.
- Pierre Cosme, « Une version italienne de la phalange hoplitique », dans Pierre Cosme, L'armée romaine : VIIIe siècle av. J.-C. - Ve siècle, Armand Colin, , 312 p. (lire en ligne), pargraphe : "Le rôle des condottieres étrusques".
- Verger 1996, p. 641.
- Verger 1996, p. 642.
- Verger 1996, p. 643.
- Verger 1996, p. 644.
- Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméeslegende
- Jannot 1987, p. 103
- Martinelli et Paolucci 2013, p. 34
- (it) Simonetta Stopponi, Campo della Fiera di Orvieto : nuove acquisizioni in Ann.Faina 16, , pages 425 à 478.
- Jean-Marie Pailler, « La norme et l'hypothèse : à propos de l'histoire de Volsinii romaine », Pallas, Mélanges Claude Domergue, vol. 46/1997, no 1, , p. 47 à 50 (DOI 10.3406/palla.1997.1429, lire en ligne, consulté le )
- Jean-Marie Pailler, « Enceinte, métrologie et politique : Volsinii, colonie romaine au début du IIe siècle av. J.-C. ? », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 99, no 2, , p. 529-534 (DOI 10.3406/mefr.1987.1556, lire en ligne, consulté le )
- Jean-Marie Pailler, « L'urbanisme de Volsinii : nouvelles observations et hypothèses (Datation de l'enceinte, statut de la cité, tracé de l'axe principal) », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 97, no 2, , pages 899 à 922 (DOI 10.3406/mefr.1985.1482, lire en ligne, consulté le )
- Fernand De Visscher, « La table de Heba et la décadence des Comices centuriates », Revue historique de droit français et étranger, vol. III, , p. 1 à 49
- (it) Mario Torelli, Concetta Masseria et Mauro Menichetti, Atlante dei siti archeologici della Toscana, , 536 p. (lire en ligne)
- (it) « Heba », sur parcodeglietruschi.it, (consulté le )
- (en) Joseph J. Basile, « The Capestrano Warrior and Related Monuments of Seventh to fifth Centuries B.C. », Revue des archéologues et historiens de l'art de Louvain, Revue des archéologues et historiens de l'art de Louvain, vol. XXVI (26), , page 15 (lire en ligne, consulté le )
- « Statua A della Casa Nocare », (consulté le )
- Franz De Ruyt, « Une cité étrusque d'époque archaïque à Acquarossa (Viterbe) », L'antiquité classique, vol. Tome 42, no fascicule 3, , pages 584-586 (DOI 10.3406/antiq.1973.1726, lire en ligne, consulté le )
- (en) Frank Van Wonterghem et Wendt et al. Leni, « Acquarossa : VII. Trial Trenches, Tombs and Surface Finds. », L'antiquité classique, vol. Tome 66, , pages 671-672 (lire en ligne, consulté le )
- Paul Fontaine, « Wendt (L.) - Lundgren (M.-B.) - Roos (P.) - Rystedt (E.) - Strandberg Olofsson (M.) - Persson (C.B.). Acquarossa. : VII. Trial Trenches, Tombs and Surface Finds », Revue belge de philologie et d'histoire, Antiquité - Oudheid, vol. tome 74, no fascicule 1, , p. 244-245 (lire en ligne, consulté le )
- (en) Larissa Bonfante, Etruscan Life and Afterlife : A Handbook of Etruscan Studies, Wayne states university press, , 286 p. (lire en ligne), pages 195 à 197
- (en) Michael Thomas et Gretchen E. Meyers, Monumentality in Etruscan and Early Roman Architecture : Ideology and Innovation, , 186 p. (lire en ligne), pages 2 à 6
- Strabon, « Géographie », sur Méditerranées
- Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Ruyblas13/Constructions et essais/archive 2016/2 » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, (lire sur Wikisource)
- (it) Pierre Grimal, « Michelangelo Cagiano de Azevedo, Interamna Lirenas uel Sucasina (Collection Italia Romana : Municipi e Colonie, Ser. II, vol. II). Istituto di Studi Romani, 1947 ;Guido Achille Mansuelli, Caesena, Forum Popili, Forum Liui (même Collection, Ser. II, vol. III). Istituto di Studi Romani, 1948 ; Mario Moretti, Ancona (même Collection, Ser. I, vol. VIII). Istituto di Studi Romani, 1945. », Revue des Études Anciennes, vol. Tome 52, nos 1 et 2, , pages 169-171 (lire en ligne, consulté le )
- Christine Delplace, « Dix ans de recherches (1975-1985) sur l'Adriatique antique (IIIe siècle av. J.-C. - IIe siècle ap. J.C) : Troisième partie. L'Adriatique romaine », dans Christine Delplace, Mélanges de l'Ecole française de Rome, vol. tome 100, n°2, Rome, École française de Rome, coll. « Antiquité », (DOI 10.3406/mefr.1988.1613, lire en ligne), p. 983-1088
- (it) Mario Zucchi, Scritti di archeologia, L'Ermà di Breteicher, (lire en ligne), pages 212-412 et 213-413
- (it) Raffaele De Marinis, Giorgio Baratti et Cristina Longhi, L'Insediamento etrusco del Forcello di Bagnolo San Vito (Mantova) : Analisi informatizzata e trattamento dati delle strutture di abitato di età preistorica e protostorica in Italia, Florence, ESEP Frantiq, 2002 (frantiq, localisation : esep (lire en ligne), pages 303 à 318
- Virginie Defente, « Les Celtes en Italie du Nord : Piémont oriental, Lombardie, Vénétie du VIe siècle au IIIe siècle av. J.-C. », Collection école française de Rome,
- (it) Raffaele De Marinis, « L'abitato etrusco del Forcello di Bagnolo S. Vito (Mantova) : le fasi arcaiche », dans Raffaele Carlo De Marinis et al., Mostra Gli Etruschi a Nord del Po : Le Fasi di Età Arcaica dell'Abitato del Forcello di Bagnolo S. Vito (Modène), Comune di Bagnolo San Vito,
- (it) « La città etrusca di Misa a Marzabotto », (consulté le )
- (it) Dominique Briquel, Iscrizioni e graffiti della città etrusca di Marzabotto, Bologne,
- (it) Sara Rossi, « Il problemo di Melpum », Storia di Marense, no 1, (lire en ligne, consulté le )
- (it) Pierluigi Tozzi et Maurizio Harari, « Il caso di Laus », dans Pierluigi Tozzi, Maurizio Harari, La Città nell'Italia settentrionale in étà romana. Morfologia, strutture e funzionamento dei centri urbani delle Regiones X e XI Atti del convegno di Trieste (13-15 marzo 1987), vol. 130, Rome, École française de Rome, coll. « Publications de l'École française de Rome », (lire en ligne), page 512
- Guido A. Mansuelli, « La cité étrusque de Marzabotto et les problèmes de l'Étrurie padane », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, vol. 104e année, no 1, , pages 78 et 79 (DOI 10.3406/crai.1960.11132, lire en ligne, consulté le )
- (it) Sergio Villa, « Storici ticinesi ricoverti sulle tracce di Melpum », Storia in Martenasa, no 1, , pages 1 à 3 (lire en ligne, consulté le )
- Grégor-Charles Bleunven, La Cité étrusque de Spina, Bordeaux, Talence - École d'architecture et de paysage de Bordeaux,
- Tony Hackens, « Spina et l'Étrurie padane », L'antiquité classique, vol. Tome 29, no fascicule 2, , pages 407-412 (DOI 10.3406/antiq.1960.3487, lire en ligne, consulté le )
- (it) Serena De Luca De Marco, « Le anfore commerciali delle necropoli di Spina », Mélanges de l'Ecole française de Rome. Antiquité, vol. tome 91, no 2, , pages 571-600 (DOI 10.3406/mefr.1979.1206)
- (it) Paolo Enrico Arias, « Contributo a Spina etrusca », Monuments et mémoires de la Fondation Eugène Piot, vol. tome 61, , p. 25-44 (DOI 10.3406/piot.1977.1559, lire en ligne, consulté le )
- (it) Lorenzo Zamboni et Carla Buoité, « Le officine mutevoli : Analisi spaziale e riesame delle evidenze produttive nel porto adriatico di Spina (VI-III sec. a.C.) », British School at Rome, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Nancy Thomson De Grummond, Encyclopedia of the History of Classical Archaeology, Routledge, , 1330 p. (lire en ligne), Annius De Viterbo (Annio
- Sophie Cassagnes-Brouquet, Geneviève Nore et Martine Yvernault, Po��tes et artistes : la figure du créateur en Europe au Moyen Âge et à la Renaissance, Presses Univ. Limoges, (lire en ligne), p. 173
- Lydie Pearl, Corps, art et société : chimères et utopies, Editions L'Harmattan, , p. 209
- Irollo 2010, p. 152
- Irollo 2012, p. 153
- à Piancastagnaio pour Jacques Heurgon, La Vie quotidienne des Étrusques, Hachette, 1989
- Les Étrusques et l'Europe, Réunion des Musées nationaux, 1992, notice 240, p. 155.
- (it) Salvatore Le RO, Tra filologia e politica : une medaglione di Piero Vettori (1532-1543), Rinascimento, , pages 247 à 305
- Raphaële Mouren, Biographie et éloges funèbres de Piero Vettori : entre rhétorique et histoire, vol. 106, t. 7, Paris, Classiques Garnier, coll. « Études et essais sur la Renaissance (série: perspectives humanistes) »,
- Raphaële Mouren, « La lecture assidue des classiques : Piero Vettori », dans Patrick Gilli (directeur d'ouvrage), Humanisme et Église entre France et Italie du début du XVe siècle au milieu du XVIe siècle, vol. 330, Rome, Publications de l'École française de Rome, , pages 433 à 463
- Silvia Genzano, « La seconde république florentine (1527-1530) et l’émergence d’un héros nouveau : le citoyen-soldat », dans collectif, Cahiers d'études italiennes : Héros et Modèles, Grenoble, éditions littéraires et linguistiques de l'Université de Grenoble, (lire en ligne), page 174, et pages 178 à 181
- collectif, « La Vie de l'Association Guillaume Budé », Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 1, , p. 5 à 51 (lire en ligne, consulté le )
- Irollo 2010, p. 19
- Sophie Cassagnes-Brouquet, op. cité, p. 397
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 3
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. introduction
- Chantal Grell et Catherine Volpilhac-Auger, Nicolas Fréret, légende et vérité : actes du colloque de Clermont-Ferrand (18-19 octobre 1991), Oxford, Voltaire Foundation,, , 213 p.
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 7
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 9
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 8
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 11
- Briquel 2014, chap. Nicolas Fréret, p. 5
- (it) « Crete senesi », sur site officiel des monts du Crete senesi (consulté le )
- Irollo 2010, p. 85
- Vincent Jolivet, « Étrusques : La fin d'un mystère », L'Histoire, Sophia Publications, no 343, (lire en ligne, consulté le )
- Alain Hus, « Sculpture étrusque archaïque : le cavalier marin de la Villa Giulia. », Mélanges d'archéologie et d'histoire, vol. tome 67, , p. 69-126 (DOI 10.3406/mefr.1955.7396).
- Venceslas Kruta, Les Celtes, histoire et dictionnaire : des origines à la romanisation et au christianisme, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 1005 p. (ISBN 2-221-05690-6), page 553
- Peter Bruegel, Frans Huys : catalogue de l'œuvre gravé, Bruxelles, (lire en ligne), page 70
- Nicole Blanc, Au royaume des ombres : la peinture funéraire antique : IVe siècle av. J.-C., IVe siècle après J.-C., Réunion des musées nationaux, , page 46
- (it) F. Buranelli, « Carlo Ruspi, artiste archéologue », dans F. Boitani, Pittura etrusca. : Disegni e documenti del XIX secolo dall'Archivio del Istituto Archeologico Germanico (catalogue d'exposition, Tarquinia), Rome, , pages 21 à 24
- (es) Daniel Devoto, « Sobre algunos libros de Lastanosa », Bulletin Hispanique, vol. tome 66, nos 1 et 2, , page 86 (DOI 10.3406/hispa.1964.3805)
- Frédéric Jimén, « Les Sacrements de Jean Bardin (1780-1790) : Le grand genre face à la critique du Salon », dans Christophe Henry, Daniel Rabreau (dir.), Le public et la politique des arts au Siècle des Lumières : Actes du colloque international d’histoire de l’art, Paris, INHA, 17-19 décembre 2009, vol. VIII, Annales du Centre Ledoux, (lire en ligne), pages 397-411
- Ève Gran-Aymarich, Les chercheurs du passé 1798-1945 : Aux sources de l’archéologie, CNRS Éditions via OpenEdition, , 1271 p. (lire en ligne), page 988.
- (it) Giuseppe Micali, L' Italia avanti il dominio dei Romani opera di Giuseppe Micali : Volume primo (quarto) (lire en ligne).
- Irollo 2010, p. 187 et 188.
- Thuillier 2003, p. 11 à 15.
- Robert 2008, p. 9 à 11.
- Irollo 2010, p. 188 et 189.
- Éric Bietri-Rivierre, « Les Étrusques au Musée Maillol et au Louvre-Lens : le match des expos », sur Le Figaro, (consulté le ).
- « Musée Vivenel-Antoine - : Cycle de Conférences Autour du Voyage en terre étrusque », sur Musée Antoine-Vivenel de Compiègne, (consulté le ).
- « Les Étrusques et la Méditerranée : La cité de Cerveteri », sur Musée du Louvre-Lens, (consulté le ).
- (it) « Gli Etruschi e il Mediterraneo : La città di Cerveteri », sur Pallazzo delle Esposizioni de Rome, (consulté le ).
- « Les Étrusques et la Méditerranée : La cité de Cerveteri », sur Beaux Arts Magazine, (consulté le ).
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « Note », mais aucune balise <references group="Note"/>
correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « alpha », mais aucune balise <references group="alpha"/>
correspondante n’a été trouvée
Erreur de référence : Des balises <ref>
existent pour un groupe nommé « N », mais aucune balise <references group="N"/>
correspondante n’a été trouvée