Après des études de sciences de l'information et de la communication et de journalisme, je suis entré dans le monde des médias par l'émission 28 minutes sur la chaîne Arte où j'ai travaillé de 2014 à 2018. Par la suite, j’ai rejoint le jeune média Loopsider, avant d’intégrer Mediapart un an plus tard, où j’occupe actuellement un poste au sein du pôle Central.
Je suis également élu du personnel depuis 2021 et secrétaire du CSE de Mediapart depuis septembre 2023.
J'ai été en parallèle chargé de cours « Nouveaux formats éditoriaux » et « Webdocumentaires et webséries » à l'Université Paris 8 en 2020 et 2021
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Le parquet de Paris a décidé de poursuivre un fonctionnaire de la BAC qui, lors d’une interpellation, avait tiré deux balles vers une voiture occupée par six jeunes, frôlant la tête du conducteur. Il n’a jamais été suspendu.
Alors que Gérald Darmanin doit être auditionné lundi à l’Assemblée nationale sur l’action des forces de l’ordre, Mediapart publie une nouvelle vidéo témoignant d’une action incompréhensible. Six jeunes, n’ayant commis aucun délit, sont violemment interpellés par des policiers agissant en toute illégalité. L’un des agents tire deux fois, sans sommation, vers la tête du conducteur. La préfecture de police de Paris n’a pas suspendu ce policier affirmant que la justice avait conclu à la légitime défense. Ce qui est faux.
Lundi soir, quelques centaines d’exilés, évacués une semaine plus tôt en Seine-Saint-Denis, s’étaient donné rendez-vous, avec leurs soutiens, place de la République pour y installer un campement. Les forces de l’ordre sont immédiatement intervenues pour les déloger. Donnant lieu à des scènes indignes. Reportage vidéo.
Dans le quatrième épisode de notre série « Le Squale, opérations secrètes », Mediapart lève le voile sur les liens entre l’ancien chef des services secrets intérieurs, Bernard Squarcini, et l’homme d’affaires corse Michel Tomi, surnommé le « parrain des parrains ». Et sur la manière dont le premier intercède en faveur du second…
Dans le troisième épisode de notre série « Le Squale, opérations secrètes », Mediapart révèle comment Bernard Squarcini, l’ancien chef des services secrets, a utilisé un commandant en fonction à la DCRI pour obtenir des informations compromettantes sur Jérôme Cahuzac. Avant d’en faire profiter directement l’ex-président Nicolas Sarkozy.
Dans ce deuxième épisode de notre série « Le Squale, opérations secrètes », Mediapart révèle comment l’ancien chef des services secrets intérieurs a utilisé la police et les renseignements au profit de LVMH. Armes, passeports, notes confidentielles de l’Élysée, enquête fiscale, procédure judiciaire... C’est toute la machine d’État qui est mobilisée à des fins privées.
Dans le premier épisode de sa série « Le Squale, opérations secrètes », Mediapart révèle que la présidence de LVMH a directement demandé à pouvoir « infiltrer » le journal indépendant Fakir afin de l’espionner en temps réel. L’opération a été pilotée par Bernard Squarcini, qui ne souhaite pas faire de commentaire. Le groupe LVMH non plus.
Mediapart accompagne la naissance, d’abord en exil à Paris, ensuite in situ, d’un musée d’art moderne et contemporain en Palestine, constitué de dons de créateurs solidaires. Visite d’une exposition qui ouvre ce 15 septembre à l’IMA.
Ce mardi 17 décembre à Paris, dans le défilé contre la réforme des retraites, la CFDT a fait bande à part ; mais elle a manifesté. Plus habitué ces dernières années à la négociation qu’aux cortèges, le syndicat a appelé ses adhérents à marcher pour que soit retiré de la réforme le fameux âge-pivot, fixé à 64 ans. Notre reportage vidéo.