Auvers-Saint-Georges
Auvers-Saint-Georges | |||||
L’hôtel de ville. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Essonne | ||||
Arrondissement | Étampes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Entre Juine et Renarde | ||||
Maire Mandat |
Denis Meunier 2020-2026 |
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Code postal | 91580 | ||||
Code commune | 91038 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Auversois | ||||
Population municipale |
1 277 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 98 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 29′ 33″ nord, 2° 13′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 63 m Max. 156 m |
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Superficie | 12,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Étréchy (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Étampes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Essonne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.auvers-saint-georges.fr | ||||
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Auvers-Saint-Georges[1] (prononcé [ovɛʁ sɛ̃ ʒɔʁʒ] Écouter) est une commune française située à 42 kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Auvers-Saint-Georges est située à quarante-deux kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, vingt-trois kilomètres au sud-ouest d'Évry[3], huit kilomètres au nord-est d'Étampes[4], dix kilomètres à l'ouest de La Ferté-Alais[5], onze kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[6], seize kilomètres au sud-est de Dourdan[7], dix-sept kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[8], vingt-et-un kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[9], vingt-trois kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[10], vingt-cinq kilomètres au sud de Palaiseau[11].
Elle fait partie des 69 communes du parc naturel régional du Gâtinais français[12].
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 4,9 % | 62,83 |
Espace urbain non construit | 3,4 % | 42,77 |
Espace rural | 91,7 % | 1 163,91 |
Source : Iaurif[13] |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la rivière la Juine.
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-trois mètres d'altitude et le point culminant à cent cinquante-six mètres[14]. La commune comporte un des sites de la réserve naturelle nationale des sites géologiques de l'Essonne.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Chamarande | Janville-sur-Juine | Janville-sur-Juine | ||
Étréchy | N | Villeneuve-sur-Auvers | ||
O Auvers-Saint-Georges E | ||||
S | ||||
Morigny-Champigny | Morigny-Champigny | Bouville |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Courdimanche-sur-Essonne à 14 km à vol d'oiseau[17], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 594,8 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La ligne C du RER dessert la gare de la commune voisine d'Étréchy.
La commune est desservie par deux lignes de bus, les lignes 68-16 et 913-50 du réseau de bus Essonne Sud Ouest.
Lieux-dits, écarts et quartiers
[modifier | modifier le code]Chagrenon, Saint Fiacre.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Auvers-Saint-Georges est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Étréchy[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[22],[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[23]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Alberia puis Alveris en 1082, Auversiaco en 1132, Auversio et Alversio en 1195[26]. La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Auvers, la mention de « Saint-Georges » relative à l'église paroissiale fut ajoutée en 1801 dans le Bulletin des lois[27].
Auvers correspond à un type toponymique que l'on rencontre dans la Sarthe, la Haute-Loire et la Manche[28].
Les toponymistes envisagent différentes interprétations dont aucune ne fait l'unanimité.
Il peut s'agir d'un surnom gaulois ethnique Arvernus, d'après l'ethnonyme Arvernes[29],[30]. Moins probablement, cette dénomination peut avoir un caractère topographique are « devant » et vern- « aulne » (cf. verne)[31]. Cette dernière explication a longtemps été utilisée également pour expliquer l'ethnonyme, mais elle est aujourd'hui rejetée par des spécialistes du gaulois qui considère ver- comme le radical signifiant « au-dessus »[32].
Note : l'évolution du radical Arvern- > Alvern- > Alver- > Auver- est tout à fait conforme aux règles phonétiques de la langue française.
Histoire
[modifier | modifier le code]Le territoire d'Auvers-Saint-Georges fut disputé au VIIe siècle entre deux royaumes francs, celui de Neustrie commandé par Childebert et celui d'Austrasie. Il est également un lieu de bataille durant la guerre de Cent Ans[33].
Lors de la seconde guerre, au début du mois d'aout 1944, j'étais avec mon grand-père dans une maison qu'on nous avait louée ou prêtée ? afin de s'éloigner d'Étréchy et d'Étampes où il y avait des bombardements. Un jour (j' étais très jeune..6ans) j'ai vu les Allemands venir et nous obliger à les loger, l'un était âgé et a discuté gentiment avec mon grand-père, ils avaient le même âge et le même métier, ébéniste, et il m'a même donné une tablette de chocolat mais l'autre qui devait avoir 20 ans, était très grand et il a été très méchant avec nous car en passant la porte il avait cassé ses lunettes de soleil. Le vieux a fait signe a mon grand-père de faire attention. On les a eu quelques jours, puis ils sont partis soit sur des vélos soit dans des charrettes avec des chevaux...ils se sauvaient. Et nous nous sommes repartis à Étréchy ou plutôt à Pierre-Brou, un hameau où nous avions une maison de vacances, c'était un ancien poste de diligence. Les bombes étaient tombées dans le jardin. (Josette Poulard-Steinmann, souvenirs de mon enfance)
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune a été libérée le 22 août 1944[34].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont nommés les Auversois[35].
Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2021, la commune comptait 1 277 habitants[Note 4], en évolution de −2,15 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 643 hommes pour 629 femmes, soit un taux de 50,55 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,98 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Politique locale
[modifier | modifier le code]La commune d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au canton d'Étampes, représenté par les conseillers départementaux Marie-Claire Chambaret et Guy Crosnier (DVD), à l'arrondissement d’Étampes et à la troisième circonscription de l'Essonne, représentée par la députée Laëtitia Romeiro Dias (LREM).
L'Insee attribue à la commune le code 91 1 09 038[41]. La commune de est enregistrée au répertoire des entreprises sous le code SIREN 219 100 385. Son activité est enregistrée sous le code APE 8411Z[42].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances et résultats politiques
[modifier | modifier le code]Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 : 83,45 % pour Jacques Chirac (RPR), 16,55 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 86,30 % de participation[45].
- Élection présidentielle de 2007 : 58,75 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 41,25 % pour Ségolène Royal (PS), 88,42 % de participation[46].
- Élection présidentielle de 2012 : 50,96 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 49,04 % pour François Hollande (PS), 84,70 % de participation[47].
- Élection présidentielle de 2017 : 62,98 % pour Emmanuel Macron (LREM), 37,02 % pour Marine Le Pen (FN), 77,39 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 : 57,21 % pour Geneviève Colot (UMP), 42,79 % pour Yves Tavernier (PS), 65,92 % de participation[48].
- Élections législatives de 2007 : 59,39 % pour Geneviève Colot (UMP), 40,61 % pour Brigitte Zins (PS), 64,98 % de participation[49].
- Élections législatives de 2012 : 51,97 % pour Michel Pouzol (PS), 48,03 % pour Geneviève Colot (UMP), 60,18 % de participation[50].
- Élections législatives de 2017 : 59,40 % pour Laëtitia Romeiro Dias (LREM), 40,60 % pour Virginie Araujo (LFI), 46,96 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2004 : 22,82 % pour Harlem Désir (PS), 19,15 % pour Patrick Gaubert (UMP), 49,26 % de participation[51].
- Élections européennes de 2009 : 28,42 % pour Michel Barnier (UMP), 22,74 % pour Daniel Cohn-Bendit (Les Verts), 46,18 % de participation[52].
- Élections européennes de 2014 : 30,34 % pour Aymeric Chauprade (FN), 21,36 % pour Alain Lamassoure (UMP), 47,88 % de participation.
- Élections européennes de 2019 : 23,27 % pour Jordan Bardella (RN), 20,12 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 58,92 % de participation.
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2004 : 42,59 % pour Jean-François Copé (UMP) et Jean-Paul Huchon (PS), 14,82 % pour Marine Le Pen (FN), 74,83 % de participation[53].
- Élections régionales de 2010 : 57,78 % pour Jean-Paul Huchon (PS), 42,22 % Valérie Pécresse (UMP), 54,50 % de participation[54].
- Élections régionales de 2015 : 39,46 % pour Valérie Pécresse (LR), 32,38 % Claude Bartolone (PS), 59,68 % de participation.
- Élections régionales de 2021 : 37,62 % pour Valérie Pécresse (SL), 30,55 % Julien Bayou (EÉLV), 36,13 % de participation.
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 2004 : 58,10 % pour Denis Meunier (DVD), 41,90 % pour Claire-Lise Campion (PS), 74,01 % de participation[55].
- Élections cantonales de 2011 : 50,00 % pour Christine Dubois (UMP), 50,00 % pour Claire-Lise Campion (PS), 47,93 % de participation[56].
- Élections départementales de 2015 : 62,81 % pour Marie-Claire Chambaret (DVD) et Guy Crosnier (UMP), 37,19 % pour Valentin Millard et Maryvonne Roulet (FN), 48,73 % de participation.
- Élections départementales de 2021 : 58,02 % pour Marie-Claire Chambaret (DVD) et Guy Crosnier (LR), 41,98 % pour Matthieu Hillaire (LFI) et Michèle Kauffer (PCF), 36,13 % de participation.
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections municipales de 2001 : données manquantes.
- Élections municipales de 2008 : 345 voix pour Claude Corvisy (?) élu au premier tour, 345 voix pour Vincent Gardon (?), 70,64 % de participation[57].
- Élections municipales de 2014 : 100,00 % pour Denis Meunier (UMP) élu au premier tour, 57,38 % de participation.
- Élections municipales de 2020 : 100,00 % pour Denis Meunier (DVD) élu au premier tour, 36,93 % de participation.
Référendums :
- Référendum de 2000 relatif au quinquennat présidentiel : 66,08 % pour le Oui, 33,92 % pour le Non, 38,14 % de participation[58].
- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 56,99 % pour le Non, 43,01 % pour le Oui, 77,20 % de participation[59].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Les établissements scolaires d'Auvers-Saint-Georges dépendent de l'académie de Versailles. Elle dispose sur son territoire d'une école élémentaire publique[60].
Santé
[modifier | modifier le code]Services publics
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La commune n'a développé aucune association de jumelage.
Vie quotidienne à Auvers-Saint-Georges
[modifier | modifier le code]Culture
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Lieux de culte
[modifier | modifier le code]La paroisse catholique d'Auvers-Saint-Georges est rattachée au secteur pastoral de la Vallée de la Juine-Étréchy et du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Georges[61].
Médias
[modifier | modifier le code]L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.
Économie
[modifier | modifier le code]Emplois, revenus et niveau de vie
[modifier | modifier le code]En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 46 309 €, ce qui plaçait Auvers-Saint-Georges au 658e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[62].
Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006. | ||||||
Agriculteurs | Artisans, commerçants, chefs d’entreprise |
Cadres et professions intellectuelles supérieures |
Professions intermédiaires |
Employés | Ouvriers | |
---|---|---|---|---|---|---|
Auvers-Saint-Georges | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Dourdan | 0,7 % | 6,0 % | 18,9 % | 28,5 % | 26,3 % | 19,6 % |
Moyenne nationale | 2,2 % | 6,0 % | 15,4 % | 24,6 % | 28,7 % | 23,2 % |
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006. | ||||||
Agriculture | Industrie | Construction | Commerce | Services aux entreprises |
Services aux particuliers | |
Auvers-Saint-Georges | - | - | - | - | - | - |
Zone d'emploi de Dourdan | 1,7 % | 10,4 % | 7,5 % | 11,8 % | 21,6 % | 6,9 % |
Moyenne nationale | 3,5 % | 15,2 % | 6,4 % | 13,3 % | 13,3 % | 7,6 % |
Sources : Insee[63],[64],[65] |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Patrimoine environnemental
[modifier | modifier le code]Les berges de la Juine et les espaces boisés entourant le bourg ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[66].
La « Réserve Naturelle des Sites Géologiques de l'Essonne » protège six sites d'affleurement, de type stratotype du stampien, dont la « Carrière des Sablons ». Cette réserve a été mise en place par le décret no 89-499 du 17 juillet 1989.
Patrimoine architectural
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Georges a été inscrite aux monuments historiques le [67].
Le pont de pierre du chemin de Vaux, XVIIe au XVIIIe siècle, permet de franchir la rivière la Juine à hauteur du moulin de Vaux[68].
Deux moulins, de Vaux et du Chagrenon, hors activité de meunerie, subsistent encore sur le territoire de la commune[69].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique et logotype
[modifier | modifier le code]Blason | De sinople à saint Georges à cheval terrassant le dragon, le tout contourné d'argent et soutenu de deux coquilles d'escargot du même[70]. |
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Détails | Officiel |
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Alias | Elle a aussi un logotype. |
Auvers-Saint-Georges dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Auvers-Saint-Georges », p. 335–338
- Collectif d'auteurs, Les Fossiles Du Falun d'Auvers-Saint-Georges : Stampien, Essonne, C.D.D.P. de l'Essonne, , 86 p. (ISBN 978-2-903785-05-5)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Étréchy comprend deux villes-centres (Étréchy et Lardy) et quatre communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
[modifier | modifier le code]- Fiche d'Auvers-Saint-Georges dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 31/07/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 30/08/2012.
- Parc naturel régional du Gâtinais français
- Fiche d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 07/11/2010.
- « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 19/02/2013.)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Auvers-Saint-Georges et Courdimanche-sur-Essonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Courdimanche » (commune de Courdimanche-sur-Essonne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Courdimanche » (commune de Courdimanche-sur-Essonne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Étréchy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Fiche d'Auvers-Saint-Georges sur le site du Quid. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) Consulté le 01/02/2010.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 40a.
- ibidem
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 680, § 11485.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, p. 200.
- Le Patrimoine des communes de l'Essonne, page 335, Edition Flohic, Paris, 2001, (ISBN 2-84234-126-0).
- J. Chapuy, "Sur la libération d’Auvers-Saint-Georges (note du 15 octobre 1944)", in Corpus Etampois.
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 30/03/2009.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Auvers-Saint-Georges (91038) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Essonne (91) », (consulté le ).
- Fiche communale sur le site de l'Insee. Consulté le 07/01/2010.
- Fiche entreprise de la commune d'Auvers-Saint-Georges sur le site verif.com Consulté le 15/03/2011.
- Liste des maires successifs sur la base de données mairesgenweb.org Consulté le 25/05/2009.
- Fiche de la commune sur le site du conseil général de l'Essonne. Consulté le 05/05/2010.
- Résultats de l'élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 07/05/2012.
- Résultats de l'élection 2002 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
- Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
- Résultats de l'élection législative 2012 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 20/06/2012.
- Résultats de l'élection européenne 2004 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
- Résultats de l'élection européenne 2009 sur le site du ministère de l'Intérieur. Consulté le 16/06/2009.
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