Pringy (Seine-et-Marne)
Pringy | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Melun | ||||
Intercommunalité | CA Melun Val de Seine | ||||
Maire Mandat |
Éric Chomaudon 2020-2026 |
||||
Code postal | 77310 | ||||
Code commune | 77378 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pringiaciens | ||||
Population municipale |
3 558 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 868 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 31′ 19″ nord, 2° 33′ 35″ est | ||||
Altitude | 70 m Min. 40 m Max. 79 m |
||||
Superficie | 4,10 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Fargeau-Ponthierry | ||||
Législatives | 1re circonscription de Seine-et-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | mairie-pringy77.fr | ||||
modifier |
Pringy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En 2021, elle compte 3 558 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Pringy est située au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1], et au nord-est de la région naturelle le Gâtinais.
Elle se situe à 11,44 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Boissise-le-Roi (1,4 km), Saint-Fargeau-Ponthierry (1,6 km), Boissise-la-Bertrand (2,5 km), Saint-Sauveur-sur-École (2,8 km), Boissettes (3,8 km), Seine-Port (3,9 km), Villiers-en-Bière (4,4 km), Auvernaux (4,8 km).
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se situe dans la partie nord de la plaine de la Bière qui constitue la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[4],[5].
-
Carte du relief de Pringy. -
Carte géologique vectorisée et harmonisée de Pringy.
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
| ||||||||||||
Pléistocène | |||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||||||||||
Miocène | non présent. | ||||||||||||||
Paléogène | Oligocène |
| |||||||||||||
Éocène |
| ||||||||||||||
Paléocène | non présent. |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la rivière l’École[6], longue de 26,73 km, affluent de la Seine.
Sa longueur totale sur la commune est de 2,87 km[7].
Gestion des cours d'eau
[modifier | modifier le code]Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[8].
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[9]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[10].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 678 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Seine-Port à 4 km à vol d'oiseau[13], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1 | 0,5 | 2,5 | 4,5 | 8,2 | 11 | 13,1 | 12,7 | 9,5 | 7 | 3,7 | 1,3 | 6,3 |
Température moyenne (°C) | 4 | 4,5 | 7,6 | 10,5 | 14,3 | 17,3 | 19,5 | 19,3 | 15,6 | 11,8 | 7,2 | 4,2 | 11,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 7 | 8,5 | 12,8 | 16,4 | 20,3 | 23,6 | 25,9 | 25,8 | 21,6 | 16,5 | 10,7 | 7,1 | 16,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−20 17.01.1985 |
−17,3 14.02.1956 |
−12 01.03.05 |
−7 04.04.1973 |
−2 08.05.1997 |
1 04.06.01 |
3,4 08.07.1954 |
1,9 28.08.1974 |
−1,7 17.09.1971 |
−5,5 29.10.1997 |
−11 24.11.1998 |
−15,1 29.12.1964 |
−20 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17 13.01.1998 |
21,5 24.02.1990 |
27 25.03.1955 |
30,2 29.04.1955 |
33,6 28.05.1954 |
37,5 27.06.11 |
40,4 01.07.1952 |
40,5 12.08.03 |
34,2 16.09.1961 |
30,5 01.10.1985 |
23 01.11.14 |
18 04.12.1953 |
40,5 2003 |
Précipitations (mm) | 52,3 | 46,9 | 48,4 | 50,9 | 63,7 | 60,1 | 54,6 | 53,4 | 52,3 | 60,9 | 60,3 | 69,3 | 673,1 |
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[19],[20].
Un autre espace protégé est présent sur la commune :
- la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pringy est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[24],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (38,61 %), forêts (23,72 %), terres arables (17,99 %), prairies (12,06 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,6 %)[27].
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
170,01 ha | 41,22 % | 190,65 ha | 46,23 % | 20,64 ha |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
139,78 ha | 33,89 % | 123,95 ha | 30,05 % | −15,83 ha |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
102,62 ha | 24,88 % | 97,82 ha | 23,72 % | −4,80 ha |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. -
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
[modifier | modifier le code]La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine[30].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[31]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].
Lieux-dits et écarts
[modifier | modifier le code]La commune compte 26 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[32] (source : le fichier Fantoir).
Logement
[modifier | modifier le code]En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 351 dont 66,2 % de maisons et 33,5 % d’appartements.
Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 72,3 % contre 26,4 % de locataires[33], dont 8,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et 1,3 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Plusieurs routes départementales relient Pringy aux communes voisines :
- la D 607 (ancienne route nationale 7), à Saint-Fargeau-Ponthierry, au nord-ouest ; et à Boissises-le-Roi, au sud-est ;
- la D 142, à Boissises-le-Roi, au sud-est ;
- la D 50, à Saint-Fargeau-Ponthierry, au nord ; et à Saint-Sauveur-sur-École, au sud.
Transports
[modifier | modifier le code]Aucune gare ferroviaire n'est présente sur le territoire de la commune. Cependant, la gare de Ponthierry - Pringy, située à proximité (à 2 km au nord-est de Pringy) sur le territoire de Saint-Fargeau-Ponthierry, porte le nom de la commune en complément du nom du bourg de Ponthierry. La gare est desservie par les trains de la ligne D du RER qui assurent des liaisons cadencées entre les gares de Corbeil-Essonnes et de Melun.
La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau d'autobus d'Île-de-France :
- une ligne du réseau de bus Fontainebleau - Moret :
- la ligne no 21, qui relie Avon à Villiers-en-Bière ;
- six lignes du réseau de bus Grand Melun :
- la ligne A qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Melun ;
- la ligne I, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry (gare de Ponthierry - Pringy) à Pringy ;
- la ligne O qui relie Cesson à Dammarie-les-Lys ;
- la ligne S11, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Dammarie-les-Lys ;
- la ligne S12, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Melun ;
- la ligne S14, qui relie Saint-Fargeau-Ponthierry à Pringy.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes « In pago Senonensi ecclesia et atrium de Pringi » en 1119[34] ; Pringi en 1193[35] ; Prugeium au XIIe siècle[36] ; Pringis en 1782[37].
Pringy viendrait de Pringiacum ou Premiacum, le suffixe -acum désignant le lieu, domaine d'un homme latin nommé Pringius[38], Primius, le « premier[39],[40], (l'ancien) ».
Histoire
[modifier | modifier le code]En 1791, la paroisse de Montgermont, peu peuplée, est rattachée à celle de Pringy. Jusqu'au début du XXe siècle, la commune de Pringy est composée d'un village sur le versant Est de la rivière École et des hameaux Ponthierry, Bel Air, Lourdeau, Montgermont. Montlouis est en ruines et Maison-Rouge a totalement disparu.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de la Seine-et-Marne.
Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Melun-Sud, année o^elle intègre le canton de Perthes[41]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Fargeau-Ponthierry
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Seine-et-Marne.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Pringy était membre de la communauté de communes de Seine-École, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales[42].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné le au sein de sa voisine, la communauté d'agglomération Melun Val de Seine dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Distinctions et labels
[modifier | modifier le code]Les actions de fleurissement de la commune ont été reconnues en 2022 par l'attribution d'une Première fleur au concours des villes et villages fleuris[48]
Jumelages
[modifier | modifier le code]Équipements et services
[modifier | modifier le code]Eau et assainissement
[modifier | modifier le code]L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [49],[50].
Assainissement des eaux usées
[modifier | modifier le code]En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Pringy est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte et . Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [51],[52],[53].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[54]. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[51],[55].
Eau potable
[modifier | modifier le code]En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[51],[56],[57].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[59].
En 2021, la commune comptait 3 558 habitants[Note 8], en évolution de +23,89 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Éducation
[modifier | modifier le code]Plusieurs établissements scolaires existent à Pringy[61] :
- l'école maternelle Charles Perrault
- l'école élémentaire Jean de La Fontaine
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Brocante dans le parc de la mairie durant le mois de juin.
- Fête patronale le deuxième week-end du mois de septembre :
- Lors de ce week-end, une fête foraine est installée sur le parking du foyer rural, et un spectacle pyrotechnique, son et lumière gratuit est produit dans le parc de la mairie. Ce spectacle, faisant appel à environ deux-cents figurants, réunit quelque dix-mille spectateurs[62].
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Pringy est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[63].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[64]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 3 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 75 ha en 1988 à 74 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Pringy, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[63],[Note 10] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 3 | 4 |
Travail (UTA) | 8 | 10 | 12 |
Surface agricole utilisée (ha) | 225 | 273 | 296 |
Cultures[65] | |||
Terres labourables (ha) | 225 | 240 | 251 |
Céréales (ha) | 144 | 138 | 137 |
dont blé tendre (ha) | 102 | s | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | s | s | s |
Tournesol (ha) | s | ||
Colza et navette (ha) | 45 | s | s |
Élevage[63] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 34 | 97 | 102 |
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le château de Montgermont, propriété d'une branche de la maison de Gontaut-Biron. Le château a été profondément remanié à la fin du XVIIIe siècle et au XIXe siècle pour les Gontaut-Biron afin de lui ôter son aspect féodal, puis à la fin du XIXe pour la famille Poulain qui fait ajouter deux ailes en avancée et deux tours d'angle, l'une de forme ronde, l'autre de forme hexagonale. L'ensemble du bâtiment est exemplaire du style néo-Louis XIII, au même titre que le château de Courances. Le château est aujourd'hui divisé en plusieurs appartements(48° 30′ 50,86″ N, 2° 32′ 43,16″ E).
- Le Temple d'Amour, construit en 1786 dans le parc du château de Montgermont par François Soufflot le Romain pour la marquise de Gontaut-Biron, alors retenue à Parme par une forte fièvre, à l'initiative de ses amis (48° 30′ 50,42″ N, 2° 33′ 02,54″ E).
- Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil Classé MH (1943), vendus en 1814 par la municipalité de Corbeil-Essonnes, rachetés en 1823 par Charles de Gontaut-Biron et installés dans le parc de Montgermont dans une mise en scène romantique. Ces vestiges comportent une travée de la nef, un encadrement sculpté de fenêtre et l'un des piédroits du portail comprenant une colonne torse et quatre chapiteaux historiés (48° 30′ 52,88″ N, 2° 32′ 49,44″ E).
- Parc de la Mairie : La mairie est une maison bourgeoise dominant un parc de 9 ha. La municipalité a la volonté de garder ce parc au milieu de la ville. Ce parc est composé d'une partie dégagée et en pente partant de la mairie vers la rivière École, aujourd'hui utilisée pour accueillir les spectateurs du spectacle pyrotechnique de la fête patronale, d'une clairière plate comprenant un kiosque accueillant aujourd'hui les figurants du spectacle et les stands de la brocante. Le reste du parc est composé de bois[66].
- On ne sait pas précisément quand elle a été construite, mais on sait qu'elle existait en 1096[69].
- Son clocher abrite la cloche baptisée en 1663 Françoise Denise. Une seconde cloche baptisée Marie Catherine en 1740 a été fondue pendant la Révolution. Son horloge date de 1862[69].
- L'église fut restaurée en 1866 grâce à la générosité de Louis Martin Lebeuf[69].
- Le monument aux morts, surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Pringy », p. 1217–1219
- Élise Baillieul, Société française d'archéologie, « Montgermont (commune de Pringy). Vestiges de l’église Notre-Dame de Corbeil », Congrès archéologiques de France, Paris, A. et J. Picard, vol. 174 « Monuments de Seine-et-Marne (174e session, 2008-2014, Seine-et-Marne) », , p. 217-224 (ISBN 978-2-901837-56-5)
- Gabriel Leroy, Notre-Dame de Pringy, son culte et sa légende, Paris, Dumoulin, (BNF 33996627).
- Francis Salet, « Notre-Dame de Corbeil », Bulletin monumental, Paris, vol. 100, nos 1-2, , p. 81-118 (ISSN 2275-5039, DOI https://doi.org/10.3406/bulmo.1941.8554)
- Alain Sauret, « Il était une fois... Les rues de Pringy » [PDF], Présentation de Pringy (consulté le ).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
- Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
- L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
- Cartes
- « Pringy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Pringy ».
- « Distance entre Pringy et Melun », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Pringy », sur villorama.com (consulté le ).
- « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - L’École (F4480600) ».
- Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 avril 2019
- « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
- « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « le Schéma d'aménagement et de gestion des Eaux de la nappe de Beauce », sur sage-beauce.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Pringy et Seine-Port », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Seine-Port » (commune de Seine-Port) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Seine-Port » (commune de Seine-Port) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Parc naturel régional du Gâtinais français », sur parc-gatinais-francais.fr (consulté le ).
- « le Parc naturel régional du Gâtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Réserve de biosphère de « Fontainebleau et Gâtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
- « la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
- « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
- « Le SCOT Région melunaise »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur seine-port.f (consulté le ).
- « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
- Statistiques officielles de l'Insee.
- Depoin, Saint-Martin-des-Champs, I, p. 248.
- Archives nationales, LL 1450a, fol. 49.
- Poupardin, Saint-Germain-des-Prés, I, p. 157.
- Archives nationales, Q1 1405.
- « Pringy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur genea77-shage.info (consulté en ).
- Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, (ISBN 2402033592).
- Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 581.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- O.S., « Pringy refuse d'intégrer le district de Melun », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Pour les élus, la seule solution contre l'intégration serait de développer le district Seine-Ecole qui regroupe actuellement Pringy et Ponthierry. Ils viennent de voter, en conseil municipal, l'autorisation de lancer les négociations avec la commune de Boissise-le-Roi, afin de transformer le district en une communauté des communes, regroupant les trois villes ».
- S.B., « Michel Cerisier brigue un 4e mandat », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « MAIRE de Pringy depuis 1989, Michel Cerisier (SE) brigue un quatrième mandat. Agé de 70 ans, gérant de société à la retraite, il mène une liste renouvelée à 50 %, avec notamment sept femmes ».
- Annuaire des Mairies de la Seine-et-Marne (77)
- « Seine-et-Marne. Eric Bonnomet jette l'éponge à Pringy : La rumeur courait depuis quelques (sic) temps et le maire de Pringy l'a confirmée via le bulletin municipal et les réseaux sociaux, il ne briguera pas un 3ème mandat en mars. », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- S.B., « Municipales :Eric Bonnomet se représente à Pringy », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ).
- Julien Van Caeyseele, « Seine-et-Marne. Voici les nouveaux maires de Boissettes, Pringy et Seine-Port : Lors de conseils municipaux extraordinaires, Thierry Segura a été élu maire de Boissettes, Eric Chomaudon maire de Pringy et Vincent Pault-Petit a été réélu à Seine-Port », La République de Seine-et-Marne, (lire en ligne, consulté le ) « Eric Chomaudon a été élu maire de Pringy à l’unanimité et succède donc à Eric Bonnomet (...) À 40 ans, cet associé d’un cabinet de recrutement accède à son premier mandat électif ».
- William Lacaille, « Pringy décroche sa première fleur du label Villes et Villages Fleuris : Dans le cadre du programme Villes et Villages Fleuris, label bien connu et souvent affiché à l'entrée des communes, Pringy s'est, elle aussi, investie pour verdir la commune. », La République de Seine-et-Marne, .
- « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
- « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
- « Commune de Pringy - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « CA Melun Val de Seine (CAMVS) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
- « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « Pringy - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- « Pringy - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- http://www.mairie-pringy77.fr/fr/rubrique/6/jeunesse
- « Pringy, la légende », sur larepublique.com, .
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pringy. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pringy. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
- « la mémoire romantique du 19e siècle », Présentation de PRINGY, sur mairie-pringy77.fr (consulté le ).
- « Les objets classés de l'église. », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Église Notre-Dame - Pringy », sur fr.topic-topos.com (consulté en ).
- Alain Sauret, document mentionné en bibliographie.
- (fr) Commission municipale chargée de la communication - Coordinatrice de rédaction : Béatrice Berthout, « Pringy info N°14 » [PDF], sur mairie-pringy77.fr, (consulté le ), p. 23.