Faits-diversier spécialisé autrefois dans la couverture du grand-banditisme, je me concentre par la force des choses, désormais, sur les affaires de terrorisme. Parfois, les deux matières se rejoignent.
Auteur d'Antonio Ferrara, le roi de la belle (avec Brendan Kemmet, au cherche-midi), de La face cachée de Franck Ribéry (avec Gilles Verdez, aux éditions du Moment), de Moi, Iranien, espion de la CIA et du Mossad (avec Djahanshah Bakhtiar, aux éditions du Moment), de Renault, nid d'espions (éditions du Moment, puis réédité par HarperCollins), de Femmes de djihadistes (Fayard), de Les espions de la terreur (HarperCollins), de Vendredi 13 (HarperCollins).
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
À son procès, le terroriste suspecté d’être la cheville ouvrière de l’attentat de « Charlie Hebdo » peine à trouver des motivations aux crimes qu’on lui reproche. D’autant plus quand c’est lui-même qui les a évoqués.
Entendant maîtriser ce qu’on pourrait dire de lui, le djihadiste suspecté d’être l’inspirateur de l’attentat de « Charlie Hebdo » se taisait dans l’intention de ne pas laisser prise. C’était compter sans le réquisitoire implacable de son ancienne épouse.
Des Buttes-Chaumont à Falloujah, des attentats en France à une prise d’otages au Yémen, Peter Cherif incarne un pan de l’histoire du djihad. Celle qui s’est écrite sous le sceau de l’organisation terroriste Al-Qaïda.
Ami d’enfance et complice de toujours des frères Kouachi, le djihadiste Peter Cherif est suspecté d’être la cheville ouvrière de l’attentat mené contre l’hebdomadaire satirique le 7 janvier 2015. Notamment parce qu’il a présenté l’un des futurs tueurs aux commanditaires de l’attentat.
Les services secrets iraniens ont de nouveau recours aux assassinats ciblés sur le Vieux Continent. Mais ils prennent soin de recruter des tueurs à gages au sein des réseaux de narcotrafiquants, dans le but de brouiller les pistes.
Pilotés par Téhéran, des voyous préparaient des homicides ciblant des ressortissants israéliens ou des membres de la communauté juive. En attendant de passer à l’action, ils ont organisé des incendies dans le sud de la France. Les révélations de Mediapart et de l’EIC.
Icône de l’extrême droite la plus radicale, Marc de Cacqueray-Valménier assure, selon le média La Lettre, la sécurité d’une île bretonne, propriété du milliardaire d’extrême droite.
Plusieurs opérateurs ont été victimes dans la nuit de dimanche à lundi de « sabotages nocturnes » qui ont perturbé l’accès à la fibre. Dans le même temps, un homme, désigné comme un militant de la mouvance de l’extrême gauche radicale, a été interpellé sur un site de la SNCF.
La circulation est coupée sur certains tronçons, engendrant d’importants retards en cette journée de chassé-croisé de vacanciers et d’ouverture des JO à Paris. La SNCF estime à 800 000 le nombre de voyageurs concernés par ces actes de malveillance.
Un Russe a été mis en examen pour « intelligence avec une puissance étrangère en vue de susciter des hostilités en France ». Il se serait vanté de perturber la cérémonie d’ouverture. Une affaire qui ravive la crainte d’une campagne de sabotages.
À l’approche des Jeux olympiques, les services de renseignement n’ont pas observé d’activités suspectes de la part d’organisations terroristes ou d’États voyous. Mais cela ne concerne pas les actes individuels. Un néonazi vient d’être interpellé pour un projet d’actions violentes.
Émilie Chandler, députée sortante, refuse de se désister malgré sa troisième place au premier tour. Mais sa campagne de 2022 pose une autre question : comme avocate, elle a touché de l’argent de l’État en faisant croire qu’elle participait au procès des attentats du 13-Novembre alors qu’elle menait campagne.
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Bernard Cazeneuve fustige volontiers ceux qui critiquent « sans la moindre analyse » les « failles » des services de renseignement. N’en déplaise au ministre de l’intérieur, il existe bien un souci du côté de notre contre-espionnage.