Louis Barthou
Louis Barthou | ||
Louis Barthou (probablement vers 1920). | ||
Fonctions | ||
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Ministre des Affaires étrangères | ||
– (8 mois) |
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Président | Albert Lebrun | |
Président du Conseil | Gaston Doumergue | |
Gouvernement | Doumergue II | |
Prédécesseur | Édouard Daladier | |
Successeur | Pierre Laval | |
– (24 jours) |
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Président | Raymond Poincaré | |
Président du Conseil | Paul Painlevé | |
Gouvernement | Painlevé I | |
Prédécesseur | Alexandre Ribot | |
Successeur | Stephen Pichon | |
Garde des Sceaux, ministre de la Justice | ||
– (3 ans, 3 mois et 11 jours) |
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Président | Gaston Doumergue | |
Président du Conseil | Raymond Poincaré Aristide Briand |
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Gouvernement | Poincaré IV et V, Briand XI | |
Prédécesseur | Maurice Colrat | |
Successeur | Lucien Hubert | |
– (8 mois et 20 jours) |
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Président | Alexandre Millerand | |
Président du Conseil | Raymond Poincaré | |
Gouvernement | Poincaré II | |
Prédécesseur | Laurent Bonnevay | |
Successeur | Maurice Colrat | |
– (2 mois et 1 jour) |
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Président | Armand Fallières Raymond Poincaré |
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Président du Conseil | Aristide Briand | |
Gouvernement | Briand III et IV | |
Prédécesseur | Aristide Briand | |
Successeur | Antony Ratier | |
– (1 an, 3 mois et 9 jours) |
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Président | Armand Fallières | |
Président du Conseil | Aristide Briand | |
Gouvernement | Briand I | |
Prédécesseur | Aristide Briand | |
Successeur | Théodore Girard | |
Sénateur français | ||
– (12 ans, 2 mois et 23 jours) |
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Circonscription | Basses-Pyrénées | |
Prédécesseur | Henri Faisans | |
Successeur | Auguste Champetier de Ribes | |
Ministre d'État | ||
– (1 mois et 11 jours) |
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Président | Raymond Poincaré | |
Président du Conseil | Paul Painlevé | |
Gouvernement | Painlevé I | |
Président du Conseil des ministres et ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts | ||
– (8 mois et 17 jours) |
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Président | Raymond Poincaré | |
Gouvernement | Barthou | |
Législature | Xe législature | |
Prédécesseur | Aristide Briand | |
Successeur | Gaston Doumergue | |
Présidents du Conseil général des Basses-Pyrénées | ||
– (30 ans) |
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Prédécesseur | Émile Garet | |
Successeur | Léon Bérard | |
Ministre de l'Intérieur | ||
– (2 ans, 1 mois et 30 jours) |
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Président | Félix Faure | |
Président du Conseil | Jules Méline | |
Gouvernement | Méline | |
Prédécesseur | Ferdinand Sarrien | |
Successeur | Henri Brisson | |
Ministre des Travaux publics | ||
– (7 mois et 19 jours) |
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Président | Sadi Carnot Jean Casimir-Perier |
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Président du Conseil | Charles Dupuy | |
Gouvernement | Dupuy II et Dupuy III | |
Prédécesseur | Charles Jonnart | |
Successeur | Ludovic Dupuy-Dutemps | |
– (3 ans, 4 mois et 10 jours) |
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Président | Armand Fallières | |
Président du Conseil | Ferdinand Sarrien Georges Clemenceau |
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Gouvernement | Sarrien et Clemenceau I | |
Prédécesseur | Armand Gauthier de l'Aude | |
Successeur | Alexandre Millerand | |
Ministre de la Guerre | ||
– (1 mois et 14 jours) |
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Président | Gaston Doumergue | |
Président du Conseil | Théodore Steeg | |
Gouvernement | Steeg | |
Prédécesseur | André Maginot | |
Successeur | André Maginot | |
– (11 mois et 30 jours) |
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Président | Alexandre Millerand | |
Président du Conseil | Aristide Briand | |
Gouvernement | Briand VII | |
Prédécesseur | Flaminius Raiberti | |
Successeur | André Maginot | |
Député français | ||
– (32 ans, 11 mois et 12 jours) |
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Élection | 6 octobre 1889 | |
Réélection | 3 septembre 1893 22 mai 1898 27 avril 1902 6 mai 1906 24 avril 1910 26 avril 1914 16 novembre 1919 |
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Circonscription | Basses-Pyrénées | |
Législature | Ve, VIe, VIIe, VIIIe, IXe, Xe, XIe et XIIe (Troisième République) | |
Groupe politique | UD (1902-1910) FR (1910-1914) RDG (1914-1919) GRD (1919-1922) |
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Prédécesseur | Circonscription créée | |
Biographie | ||
Nom de naissance | Jean Louis Barthou | |
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Oloron-Sainte-Marie (Basses-Pyrénées) | |
Date de décès | (à 72 ans) | |
Lieu de décès | Marseille (Bouches-du-Rhône) | |
Sépulture | Cimetière du Père-Lachaise | |
Nationalité | Française | |
Parti politique | Modérés, ARD, PRD, PRDS, AD | |
Profession | Avocat Journaliste |
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Louis Barthou, né le à Oloron-Sainte-Marie (Basses-Pyrénées) et mort le à Marseille (Bouches-du-Rhône), est un journaliste et homme d'État français.
Député, conseiller général et sénateur des Basses-Pyrénées, plusieurs fois ministre à partir de 1894, président du Conseil en 1913, académicien, il est en 1934 la principale figure du parti Alliance démocratique et à nouveau ministre des Affaires étrangères. À ce titre, il est chargé d’accueillir le roi de Yougoslavie Alexandre Ier au début de son voyage officiel en France : le roi est victime d’un assassinat et, dans la fusillade qui s’ensuit, Barthou est atteint accidentellement par un tir policier qui le tue également.
Biographie
[modifier | modifier le code]Enfance et formation
[modifier | modifier le code]Jean Louis Barthou naît le à Oloron-Sainte-Marie dans les Basses-Pyrénées. Il est issu d'un milieu relativement modeste, son père, qui selon Georges Clemenceau inventa un tire-bouchon[réf. nécessaire], est quincaillier dans la petite ville puis à Pau.
Louis Barthou poursuit des études de droit à la faculté de Bordeaux avant de partir à Paris. Il étudie à l'École libre des sciences politiques[1], puis obtient son doctorat en droit à l'université de Paris au cours de l’année 1886. Revenu dans ses Pyrénées natales, il devient avocat, est inscrit au barreau de Pau, puis devient secrétaire de la conférence locale des avocats.
Journaliste et parlementaire
[modifier | modifier le code]Louis Barthou est attiré très tôt par deux passions : la politique et le journalisme. Il embrasse donc les deux carrières. Tout en étant rédacteur en chef de l'Indépendant des Basses-Pyrénées, il adhère aux Républicains modérés avant de se faire élire en 1889, à l'âge de 27 ans, député des Basses-Pyrénées. Il sera réélu sans interruption à ce poste jusqu'aux législatives de 1919 et il quittera en 1922 la Chambre des députés pour le Sénat[2],[3]. Proche d'écrivains et d'artistes comme Jean Moréas, Antonio de La Gandara, Adolphe Willette et Paul Adam, il commence à fréquenter à la fin du siècle le salon de Mme Arman de Caillavet, l'égérie d'Anatole France.
Il est l'un des membres d'honneur de la Société nationale des beaux-arts en 1913[4].
Ministre républicain modéré
[modifier | modifier le code]En 1894, à l'âge précoce de 32 ans, Barthou obtient son premier portefeuille comme ministre des Travaux publics. Il est ensuite successivement ministre de l'Intérieur en 1896, de nouveau ministre des Travaux publics de 1906 à 1909, puis garde des Sceaux de 1909 à 1913. Louis Barthou est devenu l'un des grands notables de la IIIe République.
Le , sous la présidence de Raymond Poincaré, il devient président du Conseil, une fonction qu’il occupe jusqu’au de la même année. Conscient de la montée des périls (coup d'Agadir de 1911, etc.), et avec l'appui du président Poincaré, il reprend le projet de son prédécesseur direct, Aristide Briand, visant à augmenter la durée du service militaire : la loi des trois ans est votée par la Chambre en , malgré l'opposition de la SFIO et d'une majorité des radicaux.
Plusieurs événements entraînent son retrait temporaire de la scène politique. En un très court laps de temps, il subit la victoire de la gauche aux élections législatives de 1914 malgré la constitution de la Fédération des gauches — dont il fait partie — puis la déclaration de guerre et enfin la perte au front de son fils, quelques mois plus tard.
En 1917, il retrouve cependant une place de premier plan en récupérant le ministère des Affaires étrangères. Tout au long des années 1920, il continue d'occuper des ministères importants, comme ceux de la Guerre et de la Justice, dans des gouvernements de coalition républicaine.
Crise de 1934
[modifier | modifier le code]Après les émeutes du 6 février 1934, l’ancien président de la République Gaston Doumergue est rappelé par Albert Lebrun afin de former un gouvernement d'union nationale pour tenter de stabiliser la politique intérieure. Pour ce faire, le nouveau chef du gouvernement s’entoure de deux poids lourds de la politique, proches du chef de l’État en exercice : Albert Sarraut à l'Intérieur et Louis Barthou aux Affaires étrangères, son poste de prédilection.
Barthou essaie ainsi de lutter contre les menées hitlériennes en attirant le Royaume-Uni, l'Italie et l'Union soviétique dans un front anti-allemand. Il prône l'isolement de l'Allemagne en montant contre elle une série d'alliances avec les États de l'Europe centrale alliés à la France (Pologne et Petite Entente). Son projet de Pacte oriental se solde toutefois par un échec.
Mort
[modifier | modifier le code]Le , en tant que ministre des Affaires étrangères, Louis Barthou accueille le roi Alexandre Ier de Yougoslavie à Marseille.
Un attentat est alors commis par le révolutionnaire bulgare Vlado Tchernozemski, en collaboration avec le mouvement croate des Oustachis. Lors de la riposte des services de protection, Louis Barthou est touché par balle : son artère humérale est gravement atteinte. Dans l'affolement, l'infirmier qui tente de comprimer la blessure se trompe dans le placement du garrot, provoquant une hémorragie fatale. Barthou meurt peu après[5]. Il repose au cimetière du Père Lachaise (division 11)[6], à Paris.
La disparition de Louis Barthou constitue une perte non sans conséquence pour la France : il était l'artisan et le moteur d'une politique visant à la constitution d'une alliance contre le péril nazi et nul ne reprend cette idée après sa mort[7].
Détail des mandats et fonctions
[modifier | modifier le code]Président du Conseil
[modifier | modifier le code]Ministre
[modifier | modifier le code]En quarante ans, de 1894 à sa mort en 1934, Louis Barthou a été ministre dans quinze gouvernements, pendant une durée cumulée de treize ans et demi.
du | au | Ministère | Gouvernement |
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Travaux publics | Charles Dupuy (3) | ||
Intérieur | Jules Méline | ||
Travaux publics, postes et télégraphes | Ferdinand Sarrien | ||
Travaux publics, postes et télégraphes | Georges Clemenceau (1) | ||
Justice | Aristide Briand (1) | ||
Justice | Aristide Briand (3) et (4) | ||
Instruction publique et Beaux-Arts (en complément de sa fn de président du Conseil) | Louis Barthou | ||
Ministre d'État | Paul Painlevé (1) | ||
Affaires étrangères | |||
Guerre | Aristide Briand (7) | ||
Justice | Raymond Poincaré (2) | ||
Justice | Raymond Poincaré (4) et (5) et Aristide Briand (11) | ||
Guerre | Théodore Steeg | ||
Affaires étrangères | Gaston Doumergue (2) |
Mandats électifs
[modifier | modifier le code]- 1888-1889 : conseiller municipal de Pau (Basses-Pyrénées)
- 1889-1922 : député des Basses-Pyrénées[2]
- 1904-1934 : conseiller général des Basses-Pyrénées (élu dans le canton d'Oloron-Est)
- 1904-1934 : président du conseil général des Basses-Pyrénées
- 1922-1934 : sénateur des Basses-Pyrénées[3]
Travaux littéraires et historiques
[modifier | modifier le code]En parallèle à son activité politique, Louis Barthou publie des ouvrages de littérature et d'histoire. Il est élu membre de l'Académie française le . Il y fait deux éloges : celui de Joseph Bédier en 1921 et celui d'Albert Besnard en 1924. Il fonde en 1921 la revue Byblis : miroir des arts du livre et de l'estampe, qu'il confie à Pierre Gusman et qui publie dix volumes jusqu’en 1931.
Les principales publications de Louis Barthou sont :
- Notes de voyage : en Belgique et en Hollande, trois jours en Allemagne, 1888 ;
- Thiers et la loi Falloux, 1903 (texte en ligne) ;
- Mirabeau, 1913 ;
- Impressions et essais, 1913 ;
- Lamartine orateur, 1916 (texte en ligne) ;
- L'Heure du droit : France, Belgique, Serbie, 1916 ;
- Toute la France pour toute la Guerre, conférence faite à Genève le , in « Pages actuelles 1914-1916 » no 95, Bloud et Gay, 1916 ; (texte sur Internet Archive) ;
- Sur les routes du droit, 1918 ;
- Les Amours d'un poète : documents inédits sur Victor Hugo, 1918 ;
- La Bataille du Maroc, 1919 ;
- Le Traité de paix, 1919 (texte en ligne) ;
- Le Politique, 1923 (texte en ligne) ;
- Wagner et le Recul du temps, 1924 ;
- La Vie ardente de Richard Wagner, Flammarion, 1925 ;
- Voyage à travers mes livres : autour de Lamartine, 1925 ;
- Victor Hugo, élève de Biscarrat, 1925 ;
- Le Neuf thermidor, Hachette (Récits d’autrefois), 1926 ;
- Rachel, 1926 ;
- Paroles vécues, 1928 ;
- Danton, 1932 ;
- Promenades autour de ma vie : lettres de la montagne, 1933 ;
- Leconte de Lisle et Jean Marras : documents inédits, 1933 (texte sur wikisource ;
- Lettres à un jeune Français (s. d.).
Hommage
[modifier | modifier le code]- Avenue Louis-Barthou (Paris)
- Rue Louis-Barthou (Pau)
- Lycée Louis-Barthou (Pau)
- Rue Louis-Barthou (Oloron-Sainte-Marie)
- Rue Louis-Barthou (Antony)
- Rue Louis Barthou (Saint-Georges-de-Didonne)
- Rue Louis Barthou (Valence)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Gérard Vincent et Anne-Marie Dethomas, Sciences po: Histoire d'une réussite, Plon (réédition numérique FeniXX), (ISBN 978-2-259-26077-0, lire en ligne)
- « Louis Barthou - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- « Fiche de Louis Barthou », sur senat.fr (consulté le ) : « Élu le - Élu le - Fin de mandat le »
- Paul-Arnaud Herissey, Catalogue de la Société Nationale des Beaux-Arts
- Jacques de Launay (photogr. Nicolas Bouvier), Les Grandes Controverses de l'histoire contemporaine, 1914-1945, Genève, Édito-service, coll. « Cercle du bibliophile », , 572 p. (EAN 0000000814461), p. 251-256.
- appl, « BARTHOU Louis (1862-1934) », sur Cimetière du Père Lachaise – APPL, (consulté le )
- La France et la menace nazie, (DOI 10.14375/np.9782369425953, lire en ligne)
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jules Bertaut, Louis Barthou : biographie critique, Paris, E. Sansot, coll. « Les Célébrités d’aujourd’hui », (lire en ligne).
- « Louis Barthou », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition].
- J. Bousquet-Melou, Louis Barthou et la circonscription d'Oloron (1889-1914), Pedone, 1972.
- Octave-Louis Aubert, Louis Barthou, sa vie, son œuvre. Préface de Gaston Doumergue, Quillet, 1935.
- Yvert Benoît (dir.), Premiers ministres et présidents du Conseil. Histoire et dictionnaire raisonné des chefs du gouvernement en France (1815-2007), Paris, Perrin, 2007, 916 p.
- Robert J. Young, Power and Pleasure : Louis Barthou and the Third French Republic, McGill-Queen's University Press, 1991.
- Robert J. Young, Pouvoir et passions : Louis Barthou et la IIIe République, Traduction de Caroline Rivière, Ed. Marrimpoey, 2012.
- Jackson, Peter, La France et la menace nazie (1933-1939), Paris, Nouveau Monde, 2020.
Liens externes
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- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressources relatives à la recherche :
- Ressource relative à la littérature :
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Naissance en août 1862
- Naissance à Oloron-Sainte-Marie
- Élève de l'École libre des sciences politiques
- Naissance dans les Basses-Pyrénées
- Décès en octobre 1934
- Décès à 72 ans
- Décès à Marseille
- Personnalité inhumée au cimetière du Père-Lachaise (division 11)
- Personnalité ayant eu des obsèques nationales en France
- Ministre français des Transports
- Ministre de la Troisième République
- Ministre français des Postes et Télécommunications
- Président du Conseil de la Troisième République
- Député des Basses-Pyrénées (Troisième République)
- Sénateur des Basses-Pyrénées (Troisième République)
- Personnalité de l'Alliance démocratique
- Personnalité politique française assassinée
- Mort accidentelle
- Conseiller général des Pyrénées-Atlantiques
- Président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques
- Membre de l'Académie française
- Grand-croix de l'ordre de Sant'Iago de l'Épée
- Ministre d'État (France)
- Ministre français de l'Intérieur
- Ministre français de la Guerre
- Personnalité politique liée au Béarn
- Avocat français du XIXe siècle
- Secrétaire de la Conférence (barreau de Paris)