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Transports en commun de Honfleur

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H.O. Bus
Image illustrative de l’article Transports en commun de Honfleur
Autobus du réseau H.O. Bus à Honfleur en octobre 2022.

Situation Honfleur
Type Autobus
Lignes 3
Autorité organisatrice Ville de Honfleur
Exploitant Keolis Calvados
Site Internet www.hobus.fr

H.O. Bus est une marque déposée par le groupe Keolis, et plus précisément sa filiale Keolis Calvados, qui désigne sous ce nom le réseau de transport en commun de Honfleur. Il se compose de trois lignes de bus, qui irriguent le territoire communal.

Son exploitation est assurée par la société Keolis Calvados, filiale du groupe Keolis, dans le cadre d’un contrat de délégation de service public.

Le , le réseau est réorganisé autour de deux lignes : A et B[1].

Organisateurs du réseau

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Autorité organisatrice

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Territoire desservi

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Accessibilité aux personnes à mobilité réduite

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Identité visuelle

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Le réseau dispose de sa propre identité, avec notamment la marque H.O. Bus[2], déposée par l’exploitant Keolis Calvados en décembre 2011[2].

Il est représenté visuellement par une livrée spécifique pour les véhicules[2] ainsi que par un logo[2], apposé sur l’ensemble des véhicules, la tenue vestimentaire du personnel de conduite et d’exploitation, mais également sur tous les documents produits en lien avec le réseau, qu’ils soient de nature commerciale (affiches de promotion, titres de transport, fiches horaires, ...) ou officielle (rapports d’activités, règlement intérieur, conditions générales de vente, ...).

Livrée des véhicules

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Intermodalité

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Interconnexion avec le réseau interurbain régional (NOMAD)

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Transport ferroviaire

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Exploitation

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État de parc

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Conformément à l’arrêté du 27 juillet 2004 relatif au contrôle technique des véhicules lourds[3], l’ensemble du parc est soumis à un contrôle technique, effectué par un centre indépendant et reconnu, valable 6 mois[3],[4]. Au cours de cette visite, tous les éléments de sécurité ainsi que l’arrimage des sièges, le fonctionnement des portes ou encore les feux sont vérifiés[3],[5].

Un second arrêté, dit du 2 juillet 1982 relatif aux transports en commun de personnes, impose un certain nombre de sécurité à bord des véhicules[6], tel que la présence de moyens de lutte contre l’incendie, notamment un extincteur[7].

Photographie en couleurs des portes coulissantes fermées d'un minibus bleu et noir.
Les portes des véhicules sont dotées de bords sensibles, capables d’empêcher leurs fermetures en cas d’anomalie. On note aussi, à gauche, la présence du robinet d’ouverture d’urgence depuis l'extérieur.

Les portes sont dotées de bords sensibles, capable de remarquer la présence d’un corps étranger entre les battants[8]. En cas d’anomalie, cette sécurité entraîne un phénomène de réversion, c’est-à-dire la réouverture des portes[8]. En cas de problème empêchant l’ouverture des battants depuis le poste de conduite, deux mécanismes, l’un à l’extérieur et l’autre à l’intérieur, sont installés à proximité des portes latérales et permettent de déclencher la décompression, c’est-à-dire le fait de vider les réserves d’air comprimé, rendant ainsi les battants inertes et maniables à la main[8].

Photographie en couleurs de marteaux brise-vitres rouges dans un minibus gris
L’ensemble des véhicules est équipés de marteaux brise-vitre afin de pouvoir casser les vitres pour évacuer en cas d’urgence.

Enfin, tous les bus et cars sont équipés de marteaux brise-vitre situés derrière le conducteur[7]. Ceux-ci sont utilisés, en cas d’impossibilité totale d’évacuer par les portes, afin de casser une ou plusieurs vitres en verre de sécurité trempé, identifiables par la mention « Issue de secours » inscrites dessus lisibles à la fois de l’intérieur et de l‘extérieur des véhicules[6].

Personnel d’exploitation

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Information aux voyageurs

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Financement

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Tarification et points de vente

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Impact socio-économique

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Véhicule préservé

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Un Renault PR 112 similaire à celui conservé.

Un Renault PR 112 du réseau est conservé depuis 2012[9]. Ce véhicule, initialement mis en service en sur le réseau TAN de Nantes[10], arrive sur le réseau H.O. Bus en sous le no 9494. Après sa réforme en 2012[9], il est racheté par un particulier qui cofonde l’association ASPAN 76, Association pour la Sauvegarde du Patrimoine des Autobus Normands[9], basée à Dieppe[11]. En , ne souhaitant plus conserver leur activités de sauvegarde d’autobus[10], l’ASPAN 76 se sépare du véhicule et l’offre à une autre association, l’AMCA[10], Association Méridionale de Conservation d’Autobus, dont le siège est à Gardanne[12].

Références

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  1. Michel Lamarre (dir.), « Deux lignes de transport public au lieu d’une seule ! », Honfleur, Votre bulletin d’informations municipales, no 38,‎ , p. 28 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  2. a b c et d Pascal Faure (dir.), « H.O. Bus », sur data.inpi.fr, INPI, (consulté le ).
  3. a b et c Arrêté du 27 juillet 2004 relatif au contrôle technique des véhicules lourds
  4. Anne Duclos-Grisier (dir.), « Contrôle technique d'un poids-lourd », sur entreprendre.service-public.fr, Direction de l’information légale et administrative, (consulté le ).
  5. Olivier Meyer, « Contrôle technique des véhicules de transport en commun : bon bilan 2020 », sur transbus.org, (consulté le ).
  6. a et b Arrêté du 2 juillet 1982 relatif aux transports en commun de personnes.
  7. a et b Olivier Meyer, « Construction d'autobus : de l'assemblage à la livraison », sur transbus.org (consulté le ).
  8. a b et c Olivier Meyer, « Caractéristiques et fonctionnement des portes des autobus », sur transbus.org (consulté le ).
  9. a b et c Grégoire Leloup et Éric Tourniquet (dir.), « Associations : L’ASPAN 76 (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine des Autobus Normands) », Bulletin 93, Albi, Car-Histo-Bus, no 93,‎ , p. 58-60 (ISSN 1257-8770)
  10. a b et c « Notre collection : Renault V.I. PR112 n°9494 » Accès libre, sur association-amca.fr (consulté le ).
  11. « Détail d'une annonce | Associations — Journal Officiel », sur journal-officiel.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Détail d'une annonce | Associations — Journal Officiel », sur journal-officiel.gouv.fr (consulté le ).
Journaux
  • Ouest-France

Les références notées « OF » dans le texte proviennent du journal Ouest-France. ;


Site officiel du réseau
  • H.O. Bus

Les références notées « Off » dans le texte sont des documents officiels produits par le réseau et/ou proviennent du site officiel du réseau H.O. Bus (www.hobus.fr).


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Articles connexes

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Liens externes

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